J'ai écrit ce texte pour participer au concours 2023 de la Méridienne de Salers.
Le thème était : un tableau représentant des vaches Salers est volé à l'occasion de la foire agricole du comice de Salers. (Cantal). Le tableau sera retrouvé sans effusion de sang.
Je n'ai pas été dans les 27 textes primés. Classé dans les dix textes suivants, j'ai eu droit à un billet d'honneur. Petite consolation.
Comme avait repris un de nos grands auteurs compositeurs contemporains
"Dans la vie, quand on n'a pas ce que l'on aime, faut aimer ce que l'on a !"
Bref ! Je n'ai pas eu la chance de plaire au juré qui m'a lu… ou pas lu.
C'est comme ça !
J'ai donc le droit de faire ce que je veux de mon texte.
J'ai donc décidé de le publier sur Mbs.
Alors, bonne lecture.
FF
Ce livre est noté par
Ma chère @fauvette
Le texte désagréable a été mis par quelqu’un qui n’est plus sur le site. Enfin, je crois. Quant au site organisateur du concours, je pense que c’est mon début qui ne leur a pas plu.
Maintenant, c’est vieux, c’est loin, n’en parlons plus.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Ma chère @Chanelle75
Très heureux de vous avoir fait découvrir la Salers. Si vous allez la manger du côté d'Aurillac, il y de fortes chances pour que vous ne soyez pas déçue sur la qualité. Ça ne veut pas dire qu'ailleurs ce sont des filous, mais bon, aujourd'hui tout est galvaudé. C'est vrai que je suis meilleur conteur qu'écrivain, d'ailleurs je ne me suis jamais targué de l'être.
J'aime raconter des histoires. Soyez aux aguets je vais en publier trois coup sur coup très bientôt.
Merci pour ce commentaire de complaisance généreusement étoilé.
@Zoé Florent
Ma chère Michele
En 1999, j'ai rencontré une femme d'Aurillac qui m'a fait découvrir la Salers. J'ai décrété à l'époque que c'était la meilleure viande de France. Elle m'a fait visiter Salers (le village) petit patelin moyenâgeux avec des maisons d'époque bourrées de calades et d'échauguettes dans tous les coins. J'ai su plus tard qu'on dit des tourelles pour les maisons. Pour moi, la Salers est une des meilleures viande que l'on a en France, même si force est de constater que ce soit pour la viande, les légumes, les poissons etc… Plus on avance dans le temps plus la qualité des choses baisse. C'est le prix qu'il faut payer au développement démographique du monde. Ça me fait très plaisir de lire que tu as aimé ce texte. Merci pour ce commentaire de complaisance généreusement étoilé.
@Fernand Fallou
Si vous ne savez pas ce que vous dites...
Restons-en là, salut.
@Joseph Lestrange
Je ne vois pas pourquoi vous montez sur vos grands chevaux, il me semble que je n'ai rien dit de désobligeant.
Il ne faut pas laisser en plan le travail qui a été fait d'autant plus que je suis curieux de le lire.
Je suis demandeur, certes, mais de deux exemples, Pas de tout mon texte.
Alors si vous avez effectivement fait un travail sur mon texte n'hésitez pas à me l'envoyer.
dans mon monde, le travail, ça se respecte.
@Fernand Fallou
Parce que vous pensez que corriger ne serait-ce qu'un de vos paragraphes foutraques, c'est de la petite bière ?!?!
De toute façon, gros malin, je vous rappelle que c'était vous le demandeur, pas moi.
@Joseph Lestrange
trop facile..
mais j'en attendais pas plus de votre part.
bye !
@Fernand Fallou
J'étais en train de vous répondre, mais, puisque vous le prenez sur ce ton, vous pouvez tout aussi bien aller vous faire lanlaire. A votre santé.
@galodarsac
Mon ami, Patrick nous n'allons pas perdre notre temps à parler du troll et de ses théories, dans la mesure où il ne m'a pas répondu, ce qu'il dit ne vaut rien.
J'en ai marre, nous sommes vraiment mal lotis, nous pauvres gens du vingt-et-unième siècle. Les anciens de Confucius à Jean-Paul Sartre ont déjà tout écrit, on peut éventuellement tenter de les mimer, et finir par les copier.
C'est con, mais je ne savais pas que ce Corneille, que je ne sais même pas d’où il sort, il avait déjà écrit les paroles de la chanson de Gainsbourg, "suspends un violon et un jambon à ta porte et tu verras les copains vont arriver" faut faire gaffe, ils peuvent partir à cinq-cents du neuf trois et arriver à trois mille dans mon studio de la rue de la roquette. Ça va pas le faire.
Merci pour tes étoiles, contrairement à ce que j'ai dit à ce @Joseph Lestrange les commentaires de complaisances dithyrambiques ne servent pas à rien, ils servent à confirmer une amitié. Chaque auteur est comme un mur et chaque lecteur ami est une brique de ce mur. L'auteur, il est aussi solide qu'il a de commentaires de complaisances dithyrambiques. C'est sûr !
Fernand Fallou
@Joseph Lestrange Inutile de vous tire-bouchonner la dure -mère pour torcher des réponses chiadées autant qu’amphigouriques afin de m’impressionner. Vous êtes si prévisible que j’en bâille d’ennui. Merci Bisous Merci
@Parthemise 33
Chère Madame (car j'imagine assez volontiers, Madame, que vous êtes une femme ; on me dit d'ailleurs que vous possédez à vous seule une croupe de bayadère madrilène et la forte poitrine de la caissière en chef de la Galerie de la Chaussette) ; chère Madame, disais-je (avant de m'égarer dans des considérations d'orographie féminine) ; chère Madame, permettez-moi d'apaiser le tourment qui vous déclimatise la glande pinéale (à moins que ça ne soit la vésicule biliaire) : je ne suis pas vexé le moins du monde ; au demeurant, je ne suis pas de nature vexatile ; si j'ai un handicap, c'est plutôt celui de ne parvenir jamais à distinguer entre un tire-comédon et une pompe à bière ; comme bien vous le comprenez, c'est chose trop futile pour me démonétiser le caractère ; dès lors, vous pouvez bien, tout à votre aise, propager sur mon compte les plus exophtalmiques médisances, les plus exorbitantes calomnies ; comme le dit ma cousine Bérénice, parlant des désagréments que pourrait lui causer sa profession d'ichtyologue auprès du Saint-Siège, je m'en bats la nageoire caudale. Bref et quoi qu'il en soit, je reste votre obligé.
@Fernand Fallou Pour info, ta citation dans le synopsis est à l'origine de Thomas Corneille (frère de), le "grand compositeur contemporain" n'ayant fait que la reprendre.
Quand au troll qui déverse ses insultes (et qui s'imagine sans doute qu'on ne l'a pas reconnu), le mieux à faire est de l'ignorer. Ce genre de personnage n'existant que par et pour la provocation, le silence est la meilleure arme pour le renvoyer dans son néant.
À bientôt chez les Salers
Patrick
@Joseph Lestrange Qu'est ce quoi que je apprentivé ? La vexitude emplit votre petit coeur ? Vous êtes d'une sensibilité.... On ne peut vraiment rien vous dire. Dommage, car je vous adore et apprécie particulièrement votre remarquable logorrhée atrabilaire qui culmine dans les sphères hymalaiesques du génie. Et le génie c'est fondamental. Merci Bisous Merci
Cher @Joseph Lestrange
Je viens de lire votre commentaire (violent) adressé à Parhemise33 et comme je ne suis pas homme à nier la pluie quand il pleut. Et que je vous donne raison sur le fond, de ce que vous dites sur les commentaires de complaisances dithyrambiques qui ne valent rien. Le commentaire est là pour faire avancer le schmilblick comme dirait. Papy Mougeau, un de mes amis disparu.
Donc je reconnais que j'ai beaucoup à faire pour que l'on me confonde avec Victor Hugo. Alors je dis : c'est trop facile de dire :
Dans trop de passages la prose de M. Fallou est contournée, portée par une syntaxe détraquée et rythmée par une ponctuation déréglée. Prétendre le contraire, c'est soit de l'aveuglement, soit de la malhonnêteté.
Ce sont vos mots.
Alors je vous demande sur ce texte ; de 5791 mots, en 33494 caractères, sur21 pages A4 de me donner un ou deux petits exemples… Mais pourquoi un petit, tant qu'à faire, crevez le punching ball donnez m'en deux gros. Les plus gros !
Allez-y ! Non seulement je vous serais reconnaissant, mais je chanterai vos louanges.
Ça je sais pas si c'est une bonne idée, je chante pas si bien que ça.
Mais ça sera pas pire que mon écriture.
Jai hâte de vous lire.
@Parthemise33
Si le but d'un commentaire est de flatter éhontément, indûment, l'auteur à qui il s'adresse, alors vous avez parfaitement raison. Car, par malheur, la nouvelle de M. Fallou ne mérite en aucune façon les éloges dont vous la couvrez. Celles-ci ne sont que des flagorneries grotesques, comme n'importe qui d'un peu lucide et sincère pourra s'en convaincre en lisant "Salers". Dans trop de passages la prose de M. Fallou est contournée, portée par une syntaxe détraquée et rythmée par une ponctuation déréglée. Prétendre le contraire, c'est soit de l'aveuglement, soit de la malhonnêteté. Ou encore de l'ignorance. En tout cas, ce n'est pas rendre service à l'auteur, c'est le conforter dans les travers qui handicapent gravement son écriture. Et c'est dommage, parce que, malgré tout, dans ce cas précis, il me semble que M. Fallou possède des qualités et le désir sincère de s'exprimer par l'écrit. Et il me semble aussi qu'il lui suffirait de peu de choses pour parvenir à porter sa prose jusqu'à une certaine forme d'excellence. A regarder les choses d'un peu près, il suffirait ici qu'il ait le courage de débroussailler la jungle de ses phrases ; il obtiendrait alors un texte d'une lisibilité accrue et qui exciterait sans partage le plaisir du lecteur. Mais il faudrait, d'abord, qu'il commence par ne pas prendre pour parole d'évangile les louanges imbéciles de certains préposés à la courtisanerie.
Il va de soi que je ne vous salue pas.
Ma chère @Parthemise33
Vous êtes très gentille.
Merci pour votre commentaire généreusement étoilé.
Ne vous inquiétez pas pour ce commentaire malfaisant. J'ai toujours pensé, peu importe comment les ânes sont nés, la connerie n'a rien à voir avec le nombre des ânées.
Regardez, réfléchissez, c'est une réalité.
@Fernand Fallou
Cher monsieur, c'est avec une émotion profonde que j'ai lu votre contre-commentaire. D'autant que vous brossez de moi un portrait d'une ressemblance hallucinante. Je ne saurai jamais vous exprimer toute la profondeur et toute la superficie de ma gratitude.
@Joseph Lestrange
Cher monsieur
Inutile de vous dire que je trouve dans votre commentaire encore plus de faconde que dans mon texte. Commentaire uniquement écrit pour salir, pour ensauvager, déciviliser, rétrograder, comme un excrément puant qui se décompose au cœur d'une décharge d'immondices. Tel un spécialiste des salmigondis. D'ailleurs on n'a jamais vu un client des thanatopracteurs en nage de pratiquer finir ailleurs que dans la putréfaction et la désolation d'un cimetière abandonné où je vous conseille d'aller vous installer.
@Fernand Fallou
Votre style est empreint de faconde, mais, comme vous la maîtrisez mal, voire pas du tout, elle est prompte, aidée en cela par une ponctuation souvent défectueuse, à transformer votre récit en un salmigondis quasi impénétrable, dont la lecture devient vite assommante. Si vous m'autorisez un conseil, ce serait celui de tailler à grands coups de serpe dans cette broussaille.