
"Le doigt dans l'oeil"
Véro se sent bien. Elle virevolte parmi ses invités, sourit, investit tour à tour des bulles foisonnant de bons mots, de gaité… Il y a des jours comme ça. Des jours où l’humeur au beau fixe fait flirter avec une béatitude qui met toute forme de mauvaise gamberge au point mort, au risque de paraître ganache, pour qui observerait ce microcosme d’un point de vue extérieur. Mais de cela, Véro n’a cure...
"Ma soi-disant meilleure copine"
Après mon divorce, j’avais tourné la page et trouvé refuge dans une station de ski où j’avais acquis une agence immobilière. La vie coulait, parfaitement superficielle, et je m’en délectais avec un plaisir non dissimulé. Bon pouvoir d’achat, fêtes et copains me garantissaient un sentiment de totale insouciance...
Ce livre est noté par
@Annie Pic Te voici de retour après une période à écrire, je suppose, puisque je viens de remarquer ton petit dernier (aussitôt mis dans ma BV, of course ;-)), ce qui me ravit.
Mille mercis pour ton commentaire sensible et observateur, comme toujours. Pour les chaleureux coeurs associés aussi.
J'essaie toujours de fouiner au-delà des apparences, même dans les situations les plus banales, et suis heureuse que tu l'aies noté.
À très vite du plaisir de te lire à mon tour. Je t'embrasse,
Michèle
@Steren Mille mercis pour votre charmant commentaire, chère Steren.
J'ai vu le conseil de lecture d'un ami sur votre page, aussi ai-je mis votre roman dans ma BV et vous dis-je à très bientôt pour mon retour.
Bonne soirée. Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent, je découvre votre plume et vos 2 nouvelles. J'ai apprécié la fluidité avec laquelle vous décrivez les personnages, les histoires sont empreintes de ce petit quelque chose qui me touche, une belle découverte que votre plume !! Je vais revenir lire vos autres livres. Merci. Steren
@A.P. Gounon C'est toujours un plaisir de te retrouver sur mes pages, chère Anne !
Tu as raison sur toute la ligne à propos de mes personnages, entre Véro qui, inconsciemment, n'en peut plus de faire des concessions, et Quentin, qui confond aimer avec confort de vie et bonne entente sexuelle... comme souvent ;-)...
Mille mercis pour ton commentaire si fin et ton appréciation généreuse. J'accueille avec joie l'idée de pouvoir te lire prochainement. Bon courage pour boucler ton 3e opus de "le cycle d'Harmonie".
Bonne journée ! Je t'embrasse,
Michèle
@Bahloul Mille mercis, cher ami ! Et pour ta lecture sensible et pour ton commentaire avisé et, bien sûr, pour les chaleureux coeurs associés qui me comblent.
Tenter de démontrer que rien n'est anodin dans nos vies, détailler mécanismes et intentions, est effectivement une marotte (pour ne pas dire une déformation, dans mon cas ;-)), et cela me ravit que tu y sois réceptif et l'apprécies.
Merci encore et bonne soirée ! Amitiés à toi, aux tiens... J'espère que vous allez bien.
Michèle
@Alhéna Skat Mille mercis, amie très chère, pour votre adorable commentaire et vos coeurs chaleureux qui me ravissent tout particulièrement, venant de vous.
Loin de moi l'impression d'être une "reine de la littérature" cependant.
Pour le reste, votre regard féminin a saisi toutes les subtilités de la première nouvelle, et votre grande sensibilité vous a donné envie que je poursuive la seconde, ce que je comprends, puisqu'elle brosse une histoire assez incroyable mais vraie. Et vous avez vu juste : j'étais pour les deux limitée en nombre de caractères.
Merci encore, chère Alhéna, et à très vite (j'ai déjà deux fées de retard ;-)).
Prenez grand soin de vous et de Sir Jan (et réciproquement).
Je vous embrasse avec affection,
Michèle
@Zoé Florent
Chère amie, Michèle,
Il m’est toujours très agréable de vous lire, tant votre écriture est délicate et juste. Vous êtes une reine dans la littérature, n’en doutez pas !
J’ai beaucoup aimé votre première nouvelle, qui parle de trahison, de revanche et de surprise finale avec un twist que l’on n’attendait pas !
En ce qui concerne la deuxième, j’étais tellement dans l’histoire que j’aurais aimé qu’elle se poursuive plus longuement, vous étiez peut-être contrainte par la longueur, mais on vous sentait tellement à l’aise que j’aurai pris une part de gâteau supplémentaire…
Je vous embrasse très amicalement,
Alhéna.
@Lapolice wilfried Mille mercis pour votre commentaire bulle fort sympathique.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
Ecriture inspirante. Bravo
@Vanessa Michel Mille mercis pour ton commentaire sensible, chère Vanessa. Pour les trois coeurs généreux qui l'accompagnent aussi.
Que tu aies noté l'histoire dans l'histoire principale de la première me ravit. En fait, cette nouvelle sert de prétexte à évocations multiples (l'adultère, le vieillissement au féminin, la confiance...), mais l'idée était d'évoquer l'émergence de sentiments qui peut se produire, au-delà de cette rage initiale qui les occulte.
Quant à la deuxième, le scénario se prêtait plus à mon style habituel, il est vrai ;-).
Merci encore, bises et bonne journée !
Michèle
@Galodarsac Mille mercis pour tes commentaire avisé et généreuse appréciation, mon cher Patrick. Ils me comblent, venant de toi.
À te lire, je constate une fois de plus qu'il est quasi impossible de tromper ton infaillible flair... ou devrais-je dire ton anima, vu ton aveu ;-) ?
Merci aussi pour cette vilaine coquille. Je n'ai toujours pas automatisé les accords du verbe faire, dans sa forme réfléchie... Une révision s'impose...
Au plaisir de te lire à mon tour, merci encore, bises et bonne journée !
Michèle
Ah juste p9, "elle s'est faite belle" et ce sera parfait :)
@Alain Lamoliatte Mille mercis pour votre commentaire aussi amusant qu'enthousiaste, cher Alain ! Pour vos trois coeurs chaleureux aussi. Voilà qui me ravit sincèrement.
Il va de soi que je ne vais pas vous contredire sur le premier point évoqué. Une amie me disait récemment : "À vingt ans, j'étais gaulée comme une fée et bourrée de complexes, alors que maintenant, avec l'âge, je n'ai jamais été aussi bien dans ma peau... Va comprendre !"
Quant au deuxième point, j'apprécie que vous ayez capté et soyez sensible au fait que j'aime fouiner au-delà des apparences.
Merci encore et bonne soirée !
Michèle
@Parthemise33 Que nenni, chère Annie ! Avec vos commentaires, qui traitent de ces deux nouvelles sans chercher à anathématiser hors sujet, vous êtes plutôt du genre qui tombe à pic, avec Fernand ;-). Mille mercis pour cela !
Et mille autres pour ce commentaire émaillé de ce délicieux humour, qui te caractérise, et pour les trois coeurs chaleureux qui l'accompagnent.
Sinon, j'ai perdu Claire de vue, contrairement à Quentin, dont j'ai régulièrement des nouvelles. Et si je ne sais pas si elle a déchanté, lui va bien. Grand-père depuis peu, il est toujours en grande forme, mais méconnaissable, depuis qu'il a opté pour un look de biker à la ZZ Top :-).
Merci encore, plein de bises et bonne soirée !
Michèle
Mille mercis pour ton commentaire qui m'a bien fait rire, cher @Fernand Fallou. Pour les trois généreux coeurs associés aussi !
Pour le reste, si c'était aussi simple ! La méprise de la première lui laisse entrevoir une autre vie - meilleure ? pire ? - seul l'avenir le lui dira... Quant à la seconde, elle a tout le temps, une fois son désir exaucé, de réaliser que la vie à deux ne se résume pas à cela.
Ceci dit, et même si elle prête à sourire, la solidarité masculine ne donne pas vraiment dans la nuance non plus ;-).
Merci encore, bises et bonne soirée !
Michèle
PS : l'autre mec a récupéré ses deux yeux depuis, je te rassure ;-)...
@Bérangère Patatras Les saucisses, voyons, très cher... euh... j'hésite : orchidoclaste ou Pthirus pubis ? Bye et bon week-end !
Quel rapport avec la choucroute ???
@Catarina Viti Fuyant les généralités et adorant la diversité, je n'ose imaginer de tels cas de figure...
@Zoé Florent, si nous ne devions échanger que des propos intelligents, ce site sombrerait dans un silence monastique. Et si nous ne devions poster que des textes à HTL (Haute Teneur Littéraire), ce serait un silence monastique dans un immmmmense désert.
Bon WE.
@Catarina Viti Je t'en prie ! Pour ma part, ayant perçu la pointe ironique de ce commentaire, je n'ai pas vu l'intérêt de prendre ce sobriquet (pas plus que l'allusion à une quelconque victoire) au pied de la lettre ;-).
Bon week-end,
Michèle
@Autant en emporte le vent (désolée, Zoé, d’être invitée sur ta page) : je ne suis pas une (des) « reines des lettres » de mBS. Si vous allez sur ma page, vous constaterez que je n’ai rien produit d’autre qu’un fascicule à l’attention des auteurs souhaitant faire connaître leurs livres.
*
Sur mBS, je me contente d’encourager les auteurs, et de leur suggérer — quand il y a nécessité — d’envisager l’éventuelle possibilité de revoir quelques aspects mineurs de leurs textes.
Décidément, ce "doigt dans l'oeil" innocent fait couler beaucoup d'encre ! Bashung avait raison de dire que les mots sont casse-gueule ;-)...
Merci pour votre intervention, chère @Autant en emporte le vent, et bon week-end !
Amicalement,
Michèle
@Catarina Viti @Zoé Florent J'ai un peu de mal à suivre la subtile et délicate querelle sémantique entre les deux reines des lettres MBS, Catarina et Zoé... Je ne prendrai pas parti, mais je me permets d'apporter ma modeste contribution à ce savant débat. Le puits, "putus" en bas latin, le trou, désignait également le sexe féminin et par extension, les prostituées, (putes pour les exégètes). J'ajouterai aussi, pour ne pas laisser Zoé savourer les fruits d'une victoire trop facile, qu'au fond de certains vases de nuit, pour malotrus ( en un seul mot) un œil est dessiné...
Aussi intéressant que juste, cher @St-Bleyras, merci !
Pour autant, cette première nouvelle et son titre ne méritent pas d'être analysés, dans le sens où j'ai voulu écrire une méprise sous forme de bluette, le choix de l'expression "Le doigt dans l'oeil" pour la nommer visant tout simplement à donner le ton.
Ceci dit, votre lien me fait réaliser qu'il n'est jamais question de regard dans ce texte court, alors que dans "Le va-tout", il joue un rôle essentiel, mon heroïne fuyant volontairement celui de son compagnon et le rapport de sincérité associé... Une fois de plus, j'apprécie de bénéficier du vôtre en tout cas ;-).
Belle journée et big bec,
Michèle
@Zoé Florent
J'aimerais apporter ma petite contribution, ayant lu quelque chose chez Lacan (me semble-t-il), il y a bien longtemps. Il s'agissait d'interpréter l'expression dont nous parlons en mettant en exergue la pupille de l’œil. Nous étions alors dans un contexte non-anal, dans la perspective de cette citation tirée d'une page internet :
https://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/OEil-Yeux-regard
Signification : Œil / Yeux (regard)
"(...) Très souvent, l’œil symbolise ainsi le sexe féminin dans sa préciosité et son extrême fragilité, surtout quand l’accent est mis sur un seul œil".
Deux origines sont avancées pour l'expression. La première serait une référence à une personne qui se met malencontreusement le doigt dans l’œil en faisant un signe de croix. La deuxième interprétation proviendrait de l’argot où l'œil est un synonyme d'anus. L'image est alors plus que claire... Mais quelle qu’en soit l'origine, "se mettre le doigt dans l'œil" C'EST SE TROMPER LOURDEMENT.
@Catarina Viti Ça laisse songeurs certains esprits tordus. Pour le reste et entre nous, ta vie comme tes avis iniques ou tes théories perchées, je m'en balance... Merci encore et bonne soirée !
"Et mon cul c'est du poulet."
Rufus Dagobert
Mais justement, c’est parce que je connais les origines de cette expression que je suis étonnée que tu l’emploies (remarque, à l’époque où je travaillais chez Vuitton, j’avais remarqué que personne n’osait dire à la petite nouvelle du service com que « tête de nœud » ne signifiait pas « un esprit compliqué », et que même avec l’accent et les manières du XVIe arrondissement, cela ne passait pas trop d’entendre répéter que le directeur de la boutique de Londres, etc.).
« Le doigt dans l’œil » et jusqu’au coude, voire jusqu’à l’omoplate... ça laisse songeur.
Au passage, il en va de même pour la paille et la poutre dans l’œil... sauf que dans la Holly Bible, œil ne signifie pas trou de balle, mais puits.
Ou alors, il faut donner à l’orbite oculaire une sorte d’élasticité mystique... Orbite oculaire... Ô, richesse de la langue françouaise !
@Catarina Viti Merci pour ton passage, même si je ne comprends pas pourquoi tu te sens dans l'obligation de "t'y coller", comme tu dis, alors qu'il serait si facile de m'ignorer.
Quant à "l'auto-sodomie", peut-être confonds-tu l'oeil avec le fion, auquel cas je t'invite à prendre connaissance de la signification de l'expression "se mettre le doigt dans l'oeil".
Ceci dit, je te souhaite une excellente fin de journée !
Michèle
@Catarina Viti
L’œil... C'est vrai qu'on peut penser à Bataille... Mais ne serait-ce pas lui faire injure ?...
Salut, Zoé
Vu que personne ne te pose la question, je m'y colle. (Tu remarqueras que j'ai attendu que quelqu'un se manifeste avant d'intervenir (lol), alors que ma réaction a été immédiate).
"Le doigt dans l'oeil"... J'ai bien failli tomber de ma chaise en lisant une pareille chose venant de toi !
Et cette Véro, dont le nom est dit en entier une seule fois...
Et cette petite société où tout le monde Véro nique...
Enfin, bref, peux-tu me dire si derrière cette nouvelle, tu as eu l'intention de traiter de l'auto-sodomie, ce qui expliquerait, par conséquence, la dernière réflexion du texte.
Et je t'assure que c'est une "vraie" question -comme disent les psy-, amusée, certes, mais que j'aimerais voir résolue ou au moins discutée.
@Bérangère Patatras Bla, bla, bla... Bye, disais-je !
@Zoé Florent
Deux jours, dites-vous ? Pardonnez-moi, voulez-vous, de ne m'être pas précipitée sur votre salmigondis narratif (on pourrait peut-être aussi parler des chambres au Sofitel, histoire de parfaire mon commentaire...) ; cela ne me paraissait pas d'une urgence vitale :°-§) %_"#(]-,^^|&!)=@{
Mille mercis pour vos lecture et commentaire fort sympathique, mon cher @St-Bleyras.
Bonne journée, sans oublier un big bec !
Michèle
@Zoé Florent
J'ai été sensible à l'écriture efficiente, rapide et adaptée au contenu narré dans la nouvelle deux, qui a particulièrement retenu mon attention. Bravo !
@Mathieu Langeon Ah, tu parlais de cette avant fin-là… Je comprends mieux ;-).
Sinon, étant allergique au mensonge, je te rejoins, mais ayant observé à quel point la chair est faible, je suis moins sévère que toi si la sincérité est au rendez-vous. Et puis imagine un peu : en France, où près de 50% des couples seraient infidèles, d’après les sondages, si toutes les tromperies devaient finir en tragédie, outre l’immensité du massacre, notre démographie serait bien vite en péril :-) !
Pour le reste, “encore un four”, écris-tu. S’il s’agit d’un jugement qualitatif, je le réfute, et s’il s’agit de “faire un four littéraire”, je te dis “bienvenue au club”, mon cher Laurent !
Bonne journée,
Michèle
@Bérangère Patatras Deux jours pour pondre ça... PTDR !
Alors interrogez-vous, très cher, interrogez-vous donc... puis oubliez-moi.
Bye !
@Zoé Florent
Outre que tout cela est fort mal écrit et que vous faites montre d'une perspicacité psychologique digne d'une fourchette à escargot, il y a, dans votre premier texte (je n'ai pas eu le courage de me taper le second), un détail mais un détail qui tue et rend nulle et non avenue votre nouvelle. Je sais bien qu'il est courant pour un auteur d'espérer chez son lecteur une suspension consentie de l'incrédulité, mais, là, vous faites fort. En effet, comment voulez-vous qu'avec la meilleure volonté du monde ce lecteur accepte le fait que deux collègues de travail, dont il est bien évident qu'ils se rencontrent tous les jours, choisissent justement celui d'une réception chez l'un d'eux pour s'enfermer à double tour dans la salle de bains conjugale afin d'y mettre au point les détails d'un complot, fût-il des plus charmants ? Dès lors, je m'interroge : est-ce que vous maîtrisez votre récit ou bien est-ce que vous prenez vos éventuels lecteurs pour des enfants de polichinelle ? Je serais curieuse de connaître votre réponse.
C'est un défi intéressant, ma chère @Zoé Florent, mais j'aurais trop peur d'écrire encore un four, et j'ai d'autres projets qui m'occupent. Je ne parviendrais pas de toutes façons à saisir aussi bien que toi le cheminement de ton héroïne car, il faut bien le dire, j'aurais été incapable de l'imaginer. Je suis bien plus basique. Pour moi, être trompé est une trahison qui ne saurait trouver de rédemption. C'est cela que je voulais dire en parlant de mon tempérament. Toi, tu parviens à dépasser ce sentiment primaire et à explorer tout un pan de la psychologie qui m'est parfaitement inconnu. D'ailleurs, la forme narrative que je te suggérais, beaucoup plus superficielle et laissant un place prépondérante au sensationnel, reflète bien cette impossibilité de plonger profondément dans les sentiments des personnages, ce que tu fais avec une plume légère comme des bulles de champagne. En ce qui concerne la scène finale de la deuxième
nouvelle que j'évoquais, après relecture elle n'est pas finale... dsl. Je pensais au passage où Quentin recroise Fabienne et il la c... comme un sauvage.
Bien à toi.
@Mathieu Langeon C’est moi qui te remercie mille fois, cher Laurent. Et pour ton commentaire à l’humour caustique et pour les trois cœurs associés.
Figure-toi que pour la couverture, je me suis heurtée à cette bourrique d’IA nommée bing.com. J’ai essayé toutes les formules, mais elle ne m’a proposé que des femmes assises ou de dos dans l’escalier… So…
Pour ce qui est de tes envies de meurtre, je ne pourrai jamais les satisfaire, les pulsions basiques qui y mènent n'étant vraiment pas ma tasse de thé ;-).
Sinon, la soirée finale ponctuant un cheminement, je n’ai pas vu l’intérêt de la développer. À vrai dire, je ne vois tellement pas ce pourrait donner le plan que tu proposes que je te suggère de t’y coller, si ça te dit. Ce pourrait être un exercice ludique...
Merci encore et bonne soirée ! Amicalement,
Michèle
PS : coeur méditerranéen de macho, je n’y crois pas une seconde :-) !
@Corine Messonique Mille mercis pour votre commentaire avisé et vos trois coeurs généreux qui me ravissent, chère Corine.
La première nouvelle se passe dans un milieu que j'ai imaginé aisé et petit-bourgeois, tandis que la seconde se passe en station de ski. Une ambiance à la fois fêtarde et sportive que je connais bien. L'origine paysanne de ces lieux de villégiature se mélangeant au fil du temps avec les mentalités de touristes de tous horizons, le résultat est assez particulier. Mais il me semble que les dénis comme les non-dits ne sont pas l'apanage de ces deux milieux.
Merci encore et bonne soirée !
Amicalement,
Michèle