Un synospis qui donne envie d'entrer dans la vie de ce trio. Une belle histoire d'amour, une enfance bafouée, la maladie et les conséquences, l'oubli d'un corps pour combattre la peur, des batailles perdues, d'autres gagnées, il y a tout cela dans ce roman.
Il y a tout dans cette histoire pour toucher le lecteur, malheureusement, j'ai été peinée pour Charlie, mais pas véritablement touchée. Quand Charlie raconte tout à Thomas, n'ayez pas peur d'entrer dans les détails, de trouver les bons mots pour faire passer les émotions. Je trouve que cette partie est racontée trop facilement. On veut ressentir toute cette souffrance dont Charlie a été victime.
Il y a beaucoup trop de virgules inutiles ; par exemple, au hasard : « Le naufrage de cette relation, me vaccina contre contre toute forme d'engagement. » Pourquoi une virgule ?
Page 9 : « Je suis persuadé, que me sachant misérable aujourd'hui »... que est de trop ici.
Page 19 : je l'aurais « plantée » là
Page 40 : quand s'emplissaient enfin ses beaux yeux
Page 85 : journaux « d'informations biaisées » ou « d'information biaisée »
Page 131 : C'est donc très « stressée » que je pris le train
Page 132 : m'aurait « amusée »
Page 144 : Les domestiques soupçonnèrent Catherine de l'avoir « aidée ».
Il y a matière à retravailler le roman pour une plongée avec les personnages encore meilleure.
Bonne continuation.
Publié le 15 Septembre 2016