Il y a un côté « old fashion » (ça fait moins « old » que « vielle école ») dans l’atmosphère que vous contez. Et on déguste tranquillement ce rythme lent, posé, rédigé, de vos récits.
Vous dites bien joliment un pays dans lequel on n’a vraiment pas envie d’habiter. Et la quête de Lona d’évidence est universelle si l’on aime et si l’on croit.
Comme « le petit prince », votre conte est poétique et philosophique sous son apparence de conte pour enfants. C’est une jolie histoire à leur lire le soir. (mais je n’ai pas compris dans l’extrait le rapport entre le prologue et l’histoire de Sylvestre…)