Lydia KARVINE

Biographie

Née en 1964 à Toulon, j'ai poursuivi des études de philosophie à Nice, ce qui m'a amené à enseigner. J'enseigne aujourd'hui à Nantes, et me consacre à mes passions: la nature, la culture dans tous les sens du terme, le jardin clos et l'autre... le jardin intérieur sans limites, infini comme les rêves, et bien sûr la lecture et l'écriture. J'ai écrit des pièces de théâtre qui ont été mises en scène et jouées; des nouvelles, de la poésie mais je n'ai pas publié. Le roman épistolaire que je présente ici est mon premier roman.

Lydia KARVINE a publié

Lydia KARVINE a noté ces livres

3
J’ai apprécié le découpage : chaque personnage fait avancer l’histoire, avec son point de vue singulier. Belle ouverture d’horizon !
Publié le 12 Novembre 2024
3
Une belle histoire que celle de ce Terre-neuve vivant au Mourillon. Les lieux familiers prennent une autre dimension à travers son regard. Votre écriture est attrayante, sensible, émouvante. Merci pour ce recit très original.
Publié le 10 Novembre 2024
3
Quelle histoire foisonnante et quelle imagination ! Vous êtes une étonnante conteuse. Même si je ne suis pas habituée à lire des romans fantaisy, je trouve que vous créez un univers très singulier, onirique, poétique même, tel que j’aimerais le voir sur un écran . À. quand le scénario ?
Publié le 01 Novembre 2024
3
Une lecture passionnante qui mêle références bibliques et historiques. Le cri de Julius Striecher qui s'exclame avant sa pendaison: "Pourimfest 1946" faisant référence à l'histoire d'Esther est très insolite. Pourquoi prononce-t-il cela avant de mourir ? Votre étude a le mérite d'apporter un éclairage très personnel et intéressant. Votre riche bibliographie montre tout le sérieux et la qualité de votre travail.
Publié le 27 Octobre 2024
3
À chacun ses insomnies. J’ai bien aimé « Poubelles » que j’ai trouvé poétique et irréel, ambiance « Les nuits blanches »de Visconti. Et restée dans cette ambiance j’ai aimé « juste une petite erreur ». L’amour heureux , pris pour modèle par des chinois, il fallait le trouver ! Phil était déjà en pointillé, dans un clair-obscur cinématographique et même philosophique: le couple parfait et encensé, pouvait-il être vrai ? J’ai deviné la fin, dès les premiers mots, à cause du brouillard qui continuait d’arriver sur la pellicule. Belle journée blanche.
Publié le 18 Octobre 2024

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