Dans le Congo Belge des années cinquante, deux adolescents autochtones, Martin M'Polesha et Jean-Gilbert Bomboko, fréquentent tous deux le Groupe scolaire "Saint-Damien", un internat pour garçons, dans la région de Coquilhatville.
Alors que Jean court les filles en enchaînant les échecs scolaires ; Martin, lui, ne pense qu'à une chose : être premier de sa classe en permanence (il ne vit, pour ainsi dire, que pour étudier)...
Mais tout bascule au commencement de l'année scolaire 1958-1959, lorsque, au retour des grandes vacances, Martin perd mystérieusement tout intérêt pour les études, devenant soudain l'un des cancres les plus paresseux de tout Saint-Damien...
"QU'AVAIT-IL BIEN PU VIVRE POUR CHANGER À CE POINT ?"
Bonjour Lydia,
Je vous remercie pour votre message qui m’a beaucoup touché. C’est une joie de savoir que mon texte a pu vous captiver et vous laisser une impression durable. Cela me donne encore plus d’élan pour continuer à écrire.
Je suis actuellement en pleine séance de réécriture : correction du texte et ajout d’illustrations dessinées de mes propres mains. J’espère que vous apprécierez la version finale de mon œuvre lorsqu’elle sera publiée.
Merci encore d’avoir pris le temps de partager vos impressions.
Bonjour Brandon,
je vous remercie pour votre réponse si gentille et sincère. J'ai commencé de découvrir le fond sonore de votre histoire en écoutant Henri Bowane. Comme une porte d'entrée supplémentaire dans l'univers que vous nous proposez à travers votre écrit... J'ai également lu quelques commentaires qui vous ont été adressés ainsi que certaines de vos réponses. Personnellement, je trouve que la nostalgie dont vous parlez est bien présente dans une grande partie de votre texte. C'est d'ailleurs ce sentiment qui contribue ( pour ma part) à offrir à votre récit cette tonalité légendaire, comme un écho qui nous parviendrait d'un temps englouti. Et c'est très joli!
Ne craignez ni vos doutes ni votre perfectionnisme, mais regardez-les comme un défi avec vous-même. L'exigence est un bon aiguillon, elle ne doit pas vous arrêter. Quant aux doutes, ils sont nécessaires ; quand on se croit arrivé, on n'avance plus! Par ailleurs, je pense qu'il est toujours difficile d'être son propre juge en matière de création ( quel que soit le domaine, on risque d'être trop sévère ou trop indugent selon le tempérament !). Par manque de recul, il est impossible de poser un regard neuf et neutre sur ce qui a réclamé, le plus souvent, tant de travail et d'efforts. Mais j'espère que tous les commentaires bienveillants qui vous ont été adressés vous apporteront une confiance suffisante en vous-même pour vous soutenir quand votre plume hésitera....
Bonsoir Armelle,
Je vous remercie infiniment pour votre retour détaillé et vos encouragements. Je suis ravi que ma nouvelle vous ait procuré du plaisir et ait éveillé votre intérêt pour les musiques citées. Il m'arrive également de rechercher des bandes originales de films ou de séries juste après le visionnage. Étant un gros mélomane, je pense que la musique peut vraiment nous immerger dans l'ambiance et l'atmosphère d'un lieu, d'une époque ou même d'une œuvre quelconque.
En ce qui concerne vos remarques sur la fin de l'histoire, je tiens vraiment compte de celles-ci, d'autant plus que plusieurs commentaires sur cette plateforme vont dans le même sens. Notamment celui de @Zoé Florent, pour qui la conclusion de mon histoire aurait donné "l'impression que je voulais écrire un roman dont je me suis lassé finalement". Ce raisonnement n'est pas loin de la vérité, et je dois avouer que @Zoé Florent et vous avez vu assez juste. Bien que j'aime les fins ouvertes, il est vrai que j'ai quelque peu douté de la qualité de mon œuvre pendant son écriture. En tant qu'artiste et (malheureusement) perfectionniste, je pense qu'il est difficile d'accepter que l'œuvre finale ne soit jamais à la hauteur du chef-d'œuvre imaginé dans notre tête. Cette réalité m'a amené à réfléchir profondément sur cette "fin" et sur moi-même en général, sur mon manque d'assurance à me considérer comme un vrai écrivain.
C'est pourquoi, après mon merveilleux voyage sur ce site et grâce à tous ces retours constructifs, je commence à prendre confiance en mes capacités. J'envisage même de donner une suite à ce récit sous la forme de deux petits livres. Le tome II serait une sorte de préquelle, se concentrant sur l'histoire personnelle du narrateur, Jean-Gilbert, explorant en détail son passé, son enfance, ainsi que les raisons qui l'ont poussé à quitter Coquilhatville. Enfin, la dernière partie (le Tome III) serait une suite chronologique du livre actuel, traitant de l'aventure de mes deux protagonistes à Léopoldville, résolvant ainsi les grandes questions de l'intrigue, notamment la conclusion de la relation entre Martin, Marie-Louise, et d'autres.
Je vais prendre le temps de réfléchir à cette option, compte tenu du désir de beaucoup de connaître la suite de mon histoire. Encore merci pour votre retour et pour ceux de tous les autres qui ont été vraiment constructifs (vous ne savez pas à quel point !). Un simple commentaire peut suffire à sauver une bonne œuvre de la "Corbeille". Je suis impatient de partager avec vous la version retravaillée de cette histoire, probablement l'année prochaine lorsque je l'aurai achevée. Et qui sait, peut-être les deux tomes suivants.
Merci encore, @Armelle Guégant !
Bonjour Brandon,
je viens de terminer la lecture de votre touchante nouvelle que j'ai lue avec un réel plaisir et beaucoup d'intérêt (elle m'a notamment donné l'envie de rechercher pour les écouter les chanteurs et musiciens que vous citez). Néanmoins, j'ai été un peu frustrée par la fin de votre texte qui semble soudain tourner court, comme si vous aviez brusquement été pris de doute (concernant votre sujet, vos aptitudes ou votre envie à prolonger davantage cette première expérience d'écriture?...). Pourtant, le début est véritablement prometteur. L'écriture, fluide mais cadencée, déroule naturellement le récit au rythme de la parole. Une parole prise dans l'Histoire, qui tout à la fois fixe des repères temporels et offre au récit un aspect presque légendaire, celui d'une époque révolue, engloutie, comme un conte qui pouvait advenir parce qu'il était inclus dans un univers différent. C'était au temps des dancings et du cha-cha-cha... Un ailleurs où deux jeunes gens se rencontrent, mais se découvrent-ils? Qu'il n'y ait aucune conclusion à cette histoire et que la fin reste ouverte, soit, mais puisque vous retravaillez votre texte, offrez-nous le temps de poursuivre avec vos personnages cette traversée romanesque et historique que l'on quitte un peu trop vite à mon gré... et avec regret.
C'est moi qui vous remercie, @Isabelle Blondeau ! Je suis heureux que cette histoire vous ait touchée. En réalité, ce que je voulais accomplir en écrivant ce livre, c'était partager ce qui me tient vraiment à cœur, des choses comme la philosophie, l'art, la beauté, mais aussi les sentiments de nostalgie et de mélancolie, en particulier la nostalgie.
C'est pourquoi j'ai choisi de situer mon récit à l'époque du Congo Belge, même si je n'ai pas vécu à cette période.
En ce qui concerne la fin de l'histoire, maintenant que j'y pense, j'ai toujours apprécié les récits qui se terminent un peu en suspens, comme celui de Jules Barbey d'Aurevilly dans "Le Rideau cramoisi" par exemple. J'aime l'idée de pouvoir considerer plusieurs plans d'existence, de laisser à chqaue lecteur sa propre marge d'interprétation, sans jouer le rôle d'un "Auteur-Dieu" détenant la vérité absolue et décidant de tout.
En ce qui concerne les parenthèses que j'utilise fréquemment dans mon récit, je reconnais que cette remarque revient souvent, et beaucoup ont trouvé que j'en abusais un peu. Je dois admettre que je suis très tatillon dans ma façon d'écrire, même si cela n'apparaît pas nécessairement. J'ai du mal à rédiger de longs textes. J'ai une préférence pour l'écriture de courtes histoires où je peux contrôler chaque mot et chaque petit détail. C'est une obsession chez moi. Et ma nouvelle étant un récit historique, ce qui signifie qu'il faut beaucoup de détails pour qu'elle paraisse authentique et pour que les lecteurs puissent s'immerger. C'est pourquoi il y a autant de paragraphes, puisque le defis était de transmettre beaucoup d'informations tout en restant en même temps très concis. Je vais certainement essayer de corriger cela dans ma réécriture, en trouvant le juste milieu, un équilibre entre les détails importants et mon désir de rester bref. C'est le grand challenge que je me suis fixé !
Encore une fois, merci pour votre commentaire, Isabelle. Cela m'a vraiment fait plaisir !
PS : J'ai également vécu à Brazzaville et y ai passé une partie de mon enfance, donc je comprends pourquoi vous avez pu vous identifier à mon histoire. Le Congo Brazzaville et la RDC ont en effet beaucoup en commun.
Merci pour cette histoire touchante. Le fait que la fin n’en soit pas vraiment une est intéressant. À nous de parcourir le champ des possibles du destin...
J’ai vécu au Congo-Brazzaville et, même si l’on n'est pas au même endroit, j’ai apprécié les précisions historiques et lexicales.
J’ai un peu moins adhéré aux parenthèses très fréquentes pour préciser à tout bout de champ ce qui se passe. Mais rien de rédhibitoire ! Encore merci !
Merci, Raissaciel, d'avoir pris le temps de lire mon livre et de partager tes impressions. Je suis ravi que les personnages t'aient touchée. Et sache egalement que je garde tes remarques en tête.... Encore merci pour tes mots.
Brandon.
J'ai beaucoup aimé les personnages du livre, ils sont tellement profonds et authentiques. Sauf que j'ai trouvé la relation entre Martin et Marie-Louise peu développée... Ça serait mieux d'avoir une suite...
Merci infiniment pour vos mots chaleureux et encourageants. C'est vraiment gratifiant d'apprendre que mon histoire a eu un tel impact sur vous. Je suis particulièrement touché de savoir que mon personnage, Martin, a suscité en vous des sentiments aussi profonds et que mon écriture a éveillé votre curiosité pour en apprendre davantage sur le Congo.
Encore une fois, merci pour votre soutien et vos retours.
Brandon Bafalanga
Je vous remercie pour votre commentaire. C'est toujours un bonheur de savoir que mes personnages ont touché le cœur des lecteurs dès les premières pages.
Je comprends parfaitement votre sentiment d'être restée sur votre faim. Mais bien que je n'envisage pas de suite directe pour le moment, l'idée d'un préquel m'attire davantage. Ce dernier serait un retour en arrière, se focalisant sur l'histoire du narrateur, Jean-Gilbert, et abordant son passé, son enfance, ainsi que les raisons qui l'ont poussé à quitter Coquilhatville.
Je vous remercie encore pour vos mots touchants.
PS : En parcourant votre profil, j'ai été ravi de découvrir votre passion pour l'univers des vampires. J'espère que votre ouvrage "Faust, l'appel du Sang" me procurera autant de plaisir que j'ai eu en parcourant "Entretien avec un Vampire" d'Anne Rice, ou encore "Le Journal de Stefan", inspiré de la série de livres de L.J. Smith. Damon et Lestat sont, à mes yeux, des personnages inoubliables.
Au plaisir de vous lire !
Amicalement,
Brandon.
@Brandon Bafalanga,
J'ai vraiment aimé votre histoire. Votre personnage Martin est très profond… et votre écriture me donne une sensation de tristesse et de souvenirs. J'ai adoré comment vous mélangez les vies des personnages avec la vraie histoire du Congo. Votre livre m'a fait chercher plein de choses sur le Congo que je ne connaissais pas bien alors même que je suis Congolais. La façon dont vous parlez de l’amour m’a beaucoup touché, et la nostalgie de votre personnage pour son enfance et son village natale m’a fait penser à ma propre enfance. C'est incroyable comment vous avez mis tout ça dans un petit livre. Vous écrivez vraiment bien ! J'espère qu'il y aura une suite parce que je veux en savoir plus… Pour finir, je pense que des films basés sur des livres africains comme la vôtre pourrait plus montrer notre culture au monde entier. J'espère que votre histoire fera connaître la RDC à plus de gens. Bravo @Brandon Bafalanga !
Bonjour@Brandon Bafalanga Je vous en prie ! Le but de mon inscription sur le site était justement de pouvoir dialoguer avec d'autres auteurs (comme moi, seuls avec leurs écritures) et avec le monde entier ! C'est vrai qu'une mise en page aérée facilite la lecture, soi-disant 50 % sur téléphone. Comme je vous disais, j'ai beaucoup aimé votre écriture en zappant les nombreux renvois qui font perdre le fil de la lecture. Comment dire ? Je vois plusieurs textes en un : une histoire et l'Histoire. N'aurait-on pas, finalement, ce besoin de tout vouloir dire dans un premier texte ??? J'aime certaines de vos parenthèses qui accentuent la pensée, tandis que d'autres sont inutiles, elles répètent ce que l'on a compris, par ex : la lettre de cette fille... que j'avais ramassée dans le dortoir. L'écriture, comme tout art, c'est remettre cent fois l'ouvrage sur le métier, mais quand elle devient passion, on ne compte pas le temps passé à peaufiner, à ajuster. Personnellement, je ne suis pas pour revoir un texte de fond en comble sous peine de voir s'échapper l'élan créatif initial qui nous vient comme ça ! quand vous évoquez une réécriture, j'espère que vous n'allez pas le perdre ;-) à trop vouloir bien faire, parfois, on abime. Bonne journée à vous. Cordialement. Fanny
Bonjour @FANNY DUMOND,
Merci d'avoir pris le temps de lire mon travail et de partager vos impressions. Les avis sont précieux pour apprendre de ses erreurs et s'améliorer.
Je suis content que mon histoire vous ait plu, et je suis particulièrement reconnaissant pour les efforts que vous avez dû consentir pour la lire malgré vos problèmes oculaires. Je tiens à vous informer que je vais revoir la mise en page de mon livre dans les plus brefs délais et accélérer le processus de réécriture. Étant moi-même un lecteur assidu, je comprends l'importance d'une écriture soignée, qui peut grandement influencer la qualité et le potentiel d'une histoire.
Merci infiniment pour vos réflexions et vos encouragements, Fanny !
Cordialement,
Brandon.
Je tiens à vous exprimer ma profonde gratitude pour votre commentaire sur mon livre. Vos goûts et vos critères de lecture sont une source d'inspiration (cela me donne d'ailleurs l'envie de jeter un œil à vos propres travaux). C'est donc un honneur pour moi d'avoir été lu et commenté par une lectrice perfectionniste telle que vous.
Vos mots sur la manière dont les auteurs africains (@Gueladio Sall, @Sosthène Mbernodji, et moi-même, notamment)... sur la manière dont nous utilisons la langue française pour redécouvrir l'écriture sont des encouragements vraiment précieux. Votre mention des "écrivains hiboux" est par conséquent un compliment que je chérirai pendant très longtemps, croyez-moi.
Je vous remercie chaleureusement, et je dois avouer (pour votre mention de ma participation au Comité de Lecture Nord-Sud) que vous m'avez bien pris de court, chère Catarina.
Merci et bonne journée !
Brandon.
@Brandon Bafalanga. Bonsoir ! Alors là, je peux dire que vous avez accompli un exploit. Je m'explique : ayant des soucis oculaires, en général, je ne lis pas un texte pratiquement illisible pour moi (surtout dans vos renvois). Mais, dès l'incipit, j'ai été happée par votre écriture propre aux auteurs francophones que j'aime lire sur le site. Votre histoire à l'apparence brouillonne, mais avec un je ne sais quoi d'attachant, de profondeur, de poésie m'a beaucoup plu. Elle est très condensée, peut-être un peu trop pour tout dire dans votre premier texte : l'incompréhension de " la maladie d'amour " prétexte à nous faire découvrir votre pays, son langage, son instabilité politique, les émeutes, votre culture, le mal-être, la soif d'évasion des protagonistes et tant d'autres choses entre vos lignes. Bravo et avec tous mes encouragements pour poursuivre dans cette voie ! Cordialement. Fanny
@Brandon Bafalanga Vous avez mille fois raison, cher Brandon. N'ayant aucune nostalgie pour cette période de ma vie, je suis probablement passée à côté. Nous avons tous une lecture qui subit l'écho déformé de nos expériences.
Quoi qu'il en soit, merci pour votre belle ouverture d'esprit. Pour des raisons personnelles encore, je la trouve terriblement rassurante ;-) !
Je vous souhaite le meilleur, ainsi qu'à vos écrits.
Bon weekend. Amicalement,
Michèle
Chère Michèle @Zoé Florent,
Tout d'abord, je tiens à vous exprimer ma profonde gratitude pour avoir consacré du temps à la lecture de ma nouvelle et pour m'avoir fait part de vos réflexions. Chaque lecteur a une perception unique, et j'apprécie sincèrement que vous ayez partagé la vôtre.
En ce qui concerne le fond de l'histoire, je comprends parfaitement vos observations. Ma démarche visait à approfondir une narration centrée sur une tranche de vie teintée de nostalgie. Mon objectif principal était de mettre en lumière le thème du « bonheur de l'enfance perdue » plutôt que celui de l'amour post-adolescent. Je suis conscient que le message que l'auteur souhaite transmettre ne résonne pas toujours comme il l'avait imaginé auprès de ses lecteurs. Votre point de vue m'est donc précieux et m'offre matière à réflexion.
Concernant la forme, j'apprécie votre remarque sur la richesse du vocabulaire. Je prends également bonne note de vos suggestions. En effet, il est essentiel de trouver un équilibre entre détails et concision. Soyez assurée que vos critiques, loin de m'offenser, m'incitent à peaufiner ma plume. La décision de publier cette œuvre en phase de réécriture, comme mentionné sur mon profil, était audacieuse. Chaque jour m'enseigne donc quelque chose de nouveau.
Vos retours, chère Michèle, seront un guide précieux pour mes prochaines créations. Merci d'avoir été franche tout en restant bienveillante.
Ayant visité votre profil, je suis curieux de découvrir vos histoires dont les commentaires élogieux attisent ma curiosité.
Je vous souhaite une excellente journée.
Avec toute ma considération,
Brandon Bafalanga.
@RodrigueHatu a résumé en une phrase ce que j’ai envie de développer un peu, en y ajoutant une remarque de @Fukiandi gloire (dont on m’a chaudement recommandé de lire le texte) sur votre art de tresser votre histoire et l’Histoire. Je trouve aux textes africains (comme chez @Sosthène Mbernodji, par exemple) l’immense intérêt de faire de la littérature un outil de construction identitaire. Il en va de même chez @Gueladio Sall, et cela est une des raisons pour laquelle nous sommes tellement sensibles ici, sur monBestSeller, aux plumes africaines.
L’autre raison qui nous fait aimer vos textes, et « La dernière lettre de Marie-Louise » en est la parfaite illustration, c’est que vous avez, chers frères d’Afrique, une façon particulière d’employer notre langue française. Et, ce faisant, vous nous permettez de la redécouvrir. Et cela, pour des personnes, comme nous amoureuses de l’écriture, c’est un cadeau magnifique.
Il y a encore quelque chose de particulier (voir chez Gueladio), c’est votre manière de concevoir le récit, la narration. « La dernière lettre de Marie-Louise » en est l’illustration : raconter sans dire, en montrant à peine ; en évoquant. Ce qui vous permet de toucher, d’interpeller le lecteur à différents niveaux. En lisant Gueladio, j’ai eu ce sentiment que je retrouve chez vous : vous êtes des « écrivains hiboux » (rotation du cou à 270°/vision à 270°).
Bonne continuation, Brandon. Merci (et, au passage, un autre bravo pour le Comité de Lecture Nord-Sud)
Merci @Pelo,
Je suis ravi que vous ayez apprécié ma nouvelle ! En effet, l'amour a le pouvoir de transformer nos vies de diverses manières, parfois de manière imprévisible.
Merci d'avoir partagé ton point de vue @Pelo !
Merci infiniment, @RodrigueHatu, pour vos mots chaleureux et encourageants. Je suis extrêmement ravi que vous ayez apprécié mon court roman. Vos compliments, croyez-moi, signifient beaucoup pour moi. Merci de l'avoir lu et d'avoir partagé vos impressions
Merci @RodrigueHatu !
Cher @Fukiandi Gloire,
Je tiens sincèrement à vous exprimer ma gratitude pour votre message élogieux à propos de mon récit sur le Congo belge. Vos mots m'ont profondément touché... Je suis extrêmement heureux que mon travail ait suscité autant d'enthousiasme en vous bien que je pense (sans fausse modestie) qu'il y ait encore des choses à revoir (en tant qu'artiste, je pense qu'il faut beaucoup de pratique, un travail acharné et surtout de la persévérance avant de produire une œuvre de grande qualité). Étant de ceux qui s'efforcent absolument d'écrire avec le cœur, sans chercher à suivre les tendances et autres contraintes (ce qui est un pari fort risqué, je vous assure), tout soutien est une source de motivation, cher Gloire.
Encore une fois, merci pour ces mots encourageants.
Et je prendrai le temps de lire votre nouvelle...
Je vous souhaite tout le succès possible dans votre parcours d'écrivain.
Cordialement,
Brandon Bafalanga
J'ai vraiment bien apprécié cette nouvelle, cela peut être si beau l'amour et cela peut emporter tout sur votre passage ! L'amour, cela peut changer un être humain, aussi bien positivement que négativement, cela peut vous permettre de vous évader aussi lorsque le quotidien est trop dur. Un coup de foudre peut-être ravageur. Votre nouvelle montre tout cela.
Sinon cher brandon, impressionné par votre talent d'écrivain, je serai vraiment ravie d'avoir également votre avis sur ma nouvelle récemment publié ici même dans le site. La nouvelle est dénommée : La voix des inoffensifs. En voici le lien qui vous y mèneriez : https://www.monbestseller.com/manuscrit/19415-la-voix-des-inoffensifs
Merci d'avance pour la lecture et votre commentaire
Très cher brandon bafalanga, je dois avouer que cette nouvelle m'a complément émerveillé, je n'en reviens pas. C'est incroyable ! Mais vraiment j'espère lire la suite de cette fabuleuse histoire. Bravo, de la forme au fond, c'est carrément une brillante réussite. Merci beaucoup pour ce voyage dans le temps avec le Congo belge. Une variété culturelle et une exploration géographique et historique vraiment excitante. Ça contribue à l'érudition. Merci beaucoup !
Dessinateur, romancier, poète... Mon univers artistique s'inspire de...
"LA DERNIERE LETTRE DE MARIE-LOUISE" est le "Livre le +" du 22 septembre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Brandon Bafalanga, c’est pour cela qu'il publie sa nouvelle sur monBestSeller.