Michael Sherwood
Présentation

Ayant vécu longtemps à l'étranger, j'ai une passion pour les voyages, les langues et les cultures étrangères. Mes pays préférés ? La Tanzanie, Zanzibar, l'Angleterre, la Turquie, Chypres, la Somalie et d'autres encore. Mes écrivains préférés ? Charles Dickens, Jane Austen, Thomas Hardy, Alain Robbe-Grillet, L.F. Céline, Michel Houellebecq, Stephen King, et d'autres encore. J'ai toujours voulu écrire, ce n'est pas le manque d'imagination qui m'a retenu jusqu'ici mais la paresse !

Michael Sherwood a noté ces livres

3
Très beau récit. On sent le vécu, l'authentique derrière ce drame humain unique mais universel. Cela aurait mérité un récit plus long, plus développé, une présentation plus aérée, une relecture attentive aussi, car il y a beaucoup de petites fautes de ponctuation, de choix d'articles, de prépositions ou d'oubli. Mais malgré ces défauts de précipitation cette histoire m'a beaucoup touché, car proche de mes préoccupations personnelles.
Publié le 24 Octobre 2021
3
@Hervé Sugeres Un excellent conte cruel comme on les aime : solide intrigue, des personnages bien dessinés, de l'action, des meurtres gratuits ou non, des viols, de la cruauté, de la vengeance. L'histoire n'est située ni précisément dans le temps, ni dans l'espace, en Hollande ? On sait juste qu'il y a un port marchand. Tout ça rajoute à l'aura de mystère qui entoure le récit. Une petite confusion de prénom (Karl/Hans) p. 16 On attend une suite ! ou un autre conte... Amitiés, Michael
Publié le 17 Septembre 2021
1.8
@Moulay Cherif CHEBIHI HASSANI C'est bien de proposer un texte en anglais, c'est original sur ce site, et je pensai me régaler à vous lire. Mais dès les premières lignes je tombe sur : "the mind muse (muses) as it pleases and the soul in (is)..." et un peu plus loin : "and immediately with draws (withdraws)..." Ah ! ça fait mal à la tête de lire une langue aussi peu maîtrisée. Je n'ai pas eu le courage de m'aventurer plus loin... J'espère que vous ne m'en voudrez pas de ma franchise. Amitiés, Michael
Publié le 17 Septembre 2021
1.8
@GUIDEE Je me suis accroché pour lire jusqu'au bout. C'est tellement aride ! Un vrai rapport d'administration : mais où sont le vécu, les sentiments, le cœur, dans ce catalogue de jobs, de déplacements, de mariages, d'enfants successifs, de CDD, de mi-temps, d'engagements divers à travers toutes ces structures sociales éphémères, aux sigles improbables ? Une vie sans boussole, sans cap, si ce n'est la volonté de se mêler de la vie des autres "pour leur bien". Plus qu'un médecin, c'est un missionnaire laïque chrétien dont on retient le portrait. Trois épisodes surnagent malgré tout : l'installation du jeune médecin au Mali, l'adoption "partielle" de la petite Nadia, la perte d'Eponine. Il aurait certainement fallu vous concentrer sur ces tranches de vie émouvantes et filtrer le reste. Je sais que mon jugement paraîtra dur, s'agissant du récit de votre propre vie, j'en suis désolé. Amitiés, Michael
Publié le 11 Septembre 2021
3
Mon cher @Fernand Fallou Je découvre ce texte avec bonheur ce matin. Comme une petite récréation après toute une journée d’écriture hier. A real page turner! This made my day! Le texte en noir c'est très très fort, très prenant. (Je n’ai pas entamé le bleu). On dirait du vécu ! Quelle ironie du destin : malgré son bagage scientifique, ce jeune ingénieur accumule faute sur faute, et finit par choisir la réalité virtuelle de sa carte à la réalité tangible du terrain ! Toutes ses journées de marche sous le soleil implacable lui ont certainement réduit le cerveau en bouillie ! La fin est improbable, tragique, magnifique. Puisqu’il faut en venir aux choses désagréables : un petit peu trop de répétitions sur les circonstances et causes de son accident au début. On peut penser aussi qu’il serait techniquement possible de réamorcer le pompage du 1er puits, plutôt que d’être obligé d’en forer un autre (ça marche comme ça avec les points d’eau…). Enfin la masturbation pour se nourrir : ça c’est du nouveau, du jamais lu, mais je crains qu’au final la balance effort/apport de calories soit nulle, voir négative. Sauf psychologiquement ? Cette phrase aussi qui me gêne : « le moteur avait calé définitivement à 1500 mètres d’altitude. » Les pilotes donnent leur altitude en pieds. Ce qui ferait 4000 pieds ! Mais ne boudons pas notre plaisir...
Publié le 08 Septembre 2021

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