Michael Sherwood
Présentation

Ayant vécu longtemps à l'étranger, j'ai une passion pour les voyages, les langues et les cultures étrangères. Mes pays préférés ? La Tanzanie, Zanzibar, l'Angleterre, la Turquie, Chypres, la Somalie et d'autres encore. Mes écrivains préférés ? Charles Dickens, Jane Austen, Thomas Hardy, Alain Robbe-Grillet, L.F. Céline, Michel Houellebecq, Stephen King, et d'autres encore. J'ai toujours voulu écrire, ce n'est pas le manque d'imagination qui m'a retenu jusqu'ici mais la paresse !

Michael Sherwood a noté ces livres

3
@ Fernand Fallou votre essai sur « La pensée » a le mérite de nous faire réfléchir et de poursuivre la réflexion par des recherches personnelles. Il y a une proposition en particulier sur laquelle je suis en désaccord : « A part quelques cas exceptionnels, dans des circonstances exceptionnelles, aucun animal n’a jamais essayé de communiquer avec les hommes. » Déjà ce « circonstances exceptionnelles » introduit une faille : cela montre que les animaux communiquent avec les hommes quand ils le jugent nécessaire ! Ils vivent dans leurs mondes (pour ne citer que des mammifères, le monde des chats n’est déjà pas tout à fait celui des chiens, encore moins celui des éléphants ou encore des singes). On généralise en disant « les animaux ». Mais tous les animaux n’ont pas le même corps, la même taille, les mêmes besoins, et ils n’ont pas les mêmes référents, le même vécu que les hommes ! Imaginons la rencontre d’un homme et d’un extra-terrestre : on aura à peu près le même dialogue qu’avec un animal ! Mais si on ne peut pas précisément traduire ce que disent les animaux familiers (aboiements, miaulements), on peut malgré tout interpréter leurs comportements, leurs langages corporels, leurs regards (pupille du chat qui se dilate, ronronnement, feulement de colère, lèchement de la langue, museau qui touche le nez de l’homme ou d’un autre chat, avancée de la patte, roulement ventre en l’air, mouvements de la queue, etc.) Pour sortir du cadre des animaux de compagnie, que dire des éléphantes rencontrées au détour d’une piste dans la brousse africaine qui se mettent à battre furieusement leurs larges oreilles, pour crier aux humains « éloignez-vous », afin de protéger leurs petits ? Les animaux interagissent et communiquent avec nous quand leur besoin s’en fait sentir : A nous humains d’interpréter ces signes !
Publié le 05 Septembre 2021
3
Bravo @Damian Jade, cette nouvelle se lit avec un réel plaisir !
Publié le 02 Septembre 2021
3
Récit emmené tambour battant, constitué de 3 parties : le retard, la noce, la nuit de noce. Les 2 premières parties sont alertes, bien enlevées, réalistes, on aimerait juste un peu plus de folie dans la noce, façon Céline. Et puis la nuit de noce elle-même, où l'on attend l'auteur pour la scène érotique, le petit morceaux de bravoure final : on voudrait qu'il nous montre la jeune épousée dégrafer ses robes, ses jupes, défaire son corsage, libérant avec soulagement son ventre distendu, compressé depuis tant d'heures, le dévoilant à son jeune mari qui tombe en extase devant elle, s'agenouille et chérit et embrasse son ventre, gros du fruit précoce de leur amour. Mais là, RIEN ! Merci cependant d'avoir fait travailler notre imaginaire !
Publié le 31 Août 2021
3
Le ton est jeune (colloc, appart), le style concis, rapide, ça se lit comme on boit un verre d’eau fraîche. Et quand la frustration nous gagne quand on croit la 1ère nouvelle achevée, on découvre avec reconnaissance que c’est le même récit qui se poursuit, sur 7 courts chapitres. On vit un huis-clos à trois, qui se joue le plus souvent à deux. Par nécessité, le « Je » d’Eloïse (on apprend son nom à la toute fin) disparaît au profit du « je » de Marion, la plus lucide des trois, Antho (garçon au prénom féminin) étant l’instrument des circonstances. Dommage qu’il y ait ces 3 (4 ?) petites fautes d’orthographe, mais c’est l’ancien prof de FLE qui parle, pas moi !
Publié le 29 Août 2021

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