@Elefthería
La liberté (apparemment chérie par nous deux, à en croire votre pseudo) nous autorise à glisser dans les méandres du sale que pourtant tous nomment le Beau.
Alors pourquoi pas nommer belle une hyène :-)
Merci beaucoup pour vos commentaires inspirés.
Damian.
Hello,
Trop bien! Sujet d'une grande originalité que vous proposez là.
J'ai adoré la métaphore de l'enfer sur Terre!
Par ailleurs je suis un immense fan des images saugrenues et de mots étranges qui fleurissaient facilement dans le terreau de cette première conscience dont on ne connait rien et peut donc tout imaginer. la hyène par exemple m'a beaucoup plu.
@Damian Jade
Un rythme effréné de lecture que j'aime beaucoup et qui tient en haleine jusqu'au bout avec une chute digne de ce nom. L'imaginaire à 100 à l'heure jusqu'au bout, génial. J'ai adoré. Merci pour ce joli moment.
Amicalement
Maureen
@galodarsac Ha ha ! Très bien vu pour l'air de famille. Il se trouve que je suis le papa des deux :-))
Dans mon esprit, rien ne les reliait, mais maintenant que vous le dites... Il se pourrait bien qu'inconsciemment j'ai voulu suivre une trame. A voir...
Peut-être un recueil ?
Merci beaucoup pour votre double passage et ces petits soleils jaunes qui éclairent mon paysage ;-)
Je commente quelques jours après lecture, entre temps j'ai lu "les fleurs du genêt", ai-je tort de sentir un air de famille entre les deux ? Ce récit pourrait être le tome 1 de la série... bravo pour vote sens de la narration !
-LGA
@Pascal.S Bonjour, merci pour votre gentille appréciation et votre interprétation. En effet, l'idée de cette nouvelle était d'évoquer plusieurs possibilités en laissant le lecteur dans le doute.
Elle est jolie cette image du bébé qui passe par des couloirs avant de naître. Vous avez su mettre de l’intensité dans votre texte, il y a des changements de rythme, du suspens, de la peur, de l’espoir de voir la lumière qui approche. Au début j’ai cru que c’était une personne qui était dans le coma ou qui allait mourir. Certaines personnes qui ont approché la mort ont fait des témoignages et ont parlé de ce passage du tunnel avec une lumière au bout qui attend.
En vous lisant j'ai pensé à l'actrice Mireille Darc qui a fait il me semble un documentaire sur les gens qui ont approché la mort. Certains décrivent cette expérience vécue comme vraiment agréable.
@Louise H Merci Louise pour ce qualificatif (absurde) qui me fait tant plaisir. Je trouve qu'il en faut toujours une petite dose pour vraiment se laisser glisser.
@Blanchet Rachid Vous y avez trouvé de la souplesse, et cela suffit à mon bonheur. Que le lecteur se sente confortable, voià ce qui m'importe. Pas tout le temps, cela dit, sinon il s'endort ! :-) Encore merci pour vos bons mots ;-) @Guy Catalo Vous m'honorez de bien des compliments, et je vous en remercie. C'est une modeste contribution au genre de la nouvelle, en effet. Content qu'elle vous ait parlé. Merci !
Bien d'accord avec @Guy Catalo, vous honorez le genre en mettant, en si peu de pages, autant de suspense et de tension. L'absurde nourrit aussi le propos et on se laisse 'glisser' sans pouvoir résister.
Bonjour@damian jade
Leucosélophobie !...
Comment passer du tunnel de l’écriture à la matrice de la vie ? De la page blanche à la page écrite terminée.
Voilà un sujet fort bien traité à mon goût, par un texte qui nous bluffe un peu même si on sent bien vers la page 5 que quelque chose se passe : « Une sorte de tunnel sombre dont la sortie se ferait vers le bas. » Va-t-il disparaitre ? Et le final est une (re)naissance.
Il a accouché sur cette feuille blanche !
Je pense à TRIO le dernier opus de William Boyd ( Seuil/05/2021) en cours de lecture. L’écrivaine alcoolique ne peut accoucher de son nouveau roman. « Elfrida Wing, autrefois saluée comme la « nouvelle Virginia Woolf » avec son premier roman, elle combat sa panne d’écrivain à grand renfort de gin tonic. » (qu'elle cache dans une bouteille de vinaigre blanc)
J’aime bien aussi le crescendo qui nous amène vers la chute finale.
C’est tout l’art de la nouvelle que l’on ne trouve vraiment sur MBS que si on la cherche alors qu’elle est un genre à part entière…
Cordialement.
Ce livre est noté par
@Elefthería
La liberté (apparemment chérie par nous deux, à en croire votre pseudo) nous autorise à glisser dans les méandres du sale que pourtant tous nomment le Beau.
Alors pourquoi pas nommer belle une hyène :-)
Merci beaucoup pour vos commentaires inspirés.
Damian.
@Stog Merci, votre appréciation me touche.
@Maureen Hann Merci de votre nouvelle visite et de ce commentaire. Content que vous ayez apprécié.
Amicalement, Damian.
@Damian Jade
Un rythme effréné de lecture que j'aime beaucoup et qui tient en haleine jusqu'au bout avec une chute digne de ce nom. L'imaginaire à 100 à l'heure jusqu'au bout, génial. J'ai adoré. Merci pour ce joli moment.
Amicalement
Maureen
@anna-h Content que cette petite nouvelle vous ait plu. Merci pour votre aimable commentaire.
Vous avez accouché d´un beau bébé ;-)
@galodarsac Ha ha ! Très bien vu pour l'air de famille. Il se trouve que je suis le papa des deux :-))
Dans mon esprit, rien ne les reliait, mais maintenant que vous le dites... Il se pourrait bien qu'inconsciemment j'ai voulu suivre une trame. A voir...
Peut-être un recueil ?
Merci beaucoup pour votre double passage et ces petits soleils jaunes qui éclairent mon paysage ;-)
@Pascal.S Bonjour, merci pour votre gentille appréciation et votre interprétation. En effet, l'idée de cette nouvelle était d'évoquer plusieurs possibilités en laissant le lecteur dans le doute.
Elle est jolie cette image du bébé qui passe par des couloirs avant de naître. Vous avez su mettre de l’intensité dans votre texte, il y a des changements de rythme, du suspens, de la peur, de l’espoir de voir la lumière qui approche. Au début j’ai cru que c’était une personne qui était dans le coma ou qui allait mourir. Certaines personnes qui ont approché la mort ont fait des témoignages et ont parlé de ce passage du tunnel avec une lumière au bout qui attend.
En vous lisant j'ai pensé à l'actrice Mireille Darc qui a fait il me semble un documentaire sur les gens qui ont approché la mort. Certains décrivent cette expérience vécue comme vraiment agréable.
@Michael Sherwood Merci pour ce commentaire, Michael
@Louise H Merci Louise pour ce qualificatif (absurde) qui me fait tant plaisir. Je trouve qu'il en faut toujours une petite dose pour vraiment se laisser glisser.
@Blanchet Rachid Vous y avez trouvé de la souplesse, et cela suffit à mon bonheur. Que le lecteur se sente confortable, voià ce qui m'importe. Pas tout le temps, cela dit, sinon il s'endort ! :-) Encore merci pour vos bons mots ;-)
@Guy Catalo Vous m'honorez de bien des compliments, et je vous en remercie. C'est une modeste contribution au genre de la nouvelle, en effet. Content qu'elle vous ait parlé. Merci !
Bonjour@damian jade
Leucosélophobie !...
Comment passer du tunnel de l’écriture à la matrice de la vie ? De la page blanche à la page écrite terminée.
Voilà un sujet fort bien traité à mon goût, par un texte qui nous bluffe un peu même si on sent bien vers la page 5 que quelque chose se passe : « Une sorte de tunnel sombre dont la sortie se ferait vers le bas. » Va-t-il disparaitre ? Et le final est une (re)naissance.
Il a accouché sur cette feuille blanche !
Je pense à TRIO le dernier opus de William Boyd ( Seuil/05/2021) en cours de lecture. L’écrivaine alcoolique ne peut accoucher de son nouveau roman. « Elfrida Wing, autrefois saluée comme la « nouvelle Virginia Woolf » avec son premier roman, elle combat sa panne d’écrivain à grand renfort de gin tonic. » (qu'elle cache dans une bouteille de vinaigre blanc)
J’aime bien aussi le crescendo qui nous amène vers la chute finale.
C’est tout l’art de la nouvelle que l’on ne trouve vraiment sur MBS que si on la cherche alors qu’elle est un genre à part entière…
Cordialement.
@lamish Merci, Michèle, d'accueillir ce dernier petit écrit avec tant de générosité :-) Amicalement.