Raphaël M
Présentation

lecteur du dimanche

Raphaël M a noté ces livres

2.4
Voilà un roman très écrit, dans un style que l’on ne connaît plus. Cela m’a fait penser à ce que l’on lisait à l’école, à la cour de récréation où l’on s’échangeait des billes, aux vacances où la tante Monique, ou Françoise, venait nous chercher dans sa dauphine, où l’on jouait à fabriquer des bateaux en papier qui régateraient dans les rigoles des caniveaux, c’est frais, totalement suranné, sympathique et cultivé… merci pour ce voyage en retour
Publié le 29 Décembre 2019
2.4
L’univers est sympathique, ça change, l’intrigue est classique, ça fait du bien aussi, mais peut-être un peu lente à mon goût (qui suis certainement trop impatient !). N’empêche, on devine un peu j’ai trouvé, on sent bien que vous voulez nous perdre dans quelques méandres, faire durer le temps, mais je trouve que ça pourrait, devrait, aller un peu plus rapidement au but. Ce qui je crois permettrait de plus nous tenir en haleine. Merci en tout cas pour ce partage, un bon moment.
Publié le 06 Décembre 2019
2.4
La presse Belge a raison, parfait pour week end d’hiver, j’ai passé un excellent moment, mi roman d’aventures, mi roman policier. Bravo et merci, une fois !
Publié le 25 Novembre 2019
2.4
Le mot qui me vient en vous lisant, c’est : énigmatique. Votre écriture est vive, un peu désordonnée pour moi, vos dialogues mènent la danse, mais on doit toujours se rappeler qui parle, l’intrigue est omni présente, et m’a menée… sur un sujet où je ne comprends pas tout j’avoue. Voilà pourquoi je dirais énigmatique. Et intrigant. Ce qui est finalement deux bonnes raisons d’aller au bout.
Publié le 01 Novembre 2019
3
Ouhhhh on ne sort pas indemne de cette histoire. Quelle densité. Telle qu’elle devient pesante, étouffante. J’ai eu envie d’arrêter, tant je trouvais cette lourdeur envahissante. Et puis dans un roman on est formé à la rédemption, au lendemain meilleur. Mais non, avec vous, on s’enfonce. Pas de dialogues, que de la narration qui rajoute à la pesanteur de ces répétitions et de ce trou qu’elle persiste à creuser. Au bout d’un moment, on aimerait une pause, de la légèreté peut-être, une diversion, quelques pages sur un week end à la campagne, et on sait en même temps que cela ne serait plus le sujet de cette descente perpétuelle. A tel point que je me suis demandé pourquoi vous aviez voulu finir sur une fenêtre d’espoir ? Parce qu’on ne peut pas résister au potentiel de l’happy end quand on écrit un roman noir ?
Publié le 10 Octobre 2019

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