Chère Mel Pilguric, vous revoilà ! Enfin. Depuis, d’évidence, vous avez des aficionados nombreux et mérités. Ce genre (épistolaire) vous va si bien. Vous excellez. Pourvu que votre feuilleton ne s’arrête pas à la page 128 !
ps. Merci, vous êtes un bonheur (et un honneur) à lire.
Publié le 14 Juillet 2016