C’est vrai, il y a un paquet d’émotions variées et vous jouez avec les notres ! Votre écriture fluide rend tout facile. Mais je trouve que justement vous pourriez vous permettre de nous surprendre encore plus, que tout ne soit pas si évident que l’on devine non seulement l’issue, mais aussi les aléas par lesquels elle passe. Sans surtout rompre cette facilité d’écriture que vous avez et qui entraine. Merci de ce partage.

C’est gai, ça sent le vécu, le terrain connu ! on vous lit avec facilité, fluidité. Cela dit, et c’est un peu le jeu ici que de donner un avis le plus vrai possible, je trouve que vous devriez renforcer un peu la personnalité de vos personnages, leur donner du corps. Qu’au de là de leur apparence, des descriptions, on puisse mieux s’identifier. Mais je serais curieuse de lire d’autrres commentaires contradictoires au mien ! Je vous souhaite plein de lectures.

Sans mauvais jeux de mots, drôle de livre je trouve. drôles d’histoires, qui ont toutes quelque chose de dérangeant (pour moi). J’ai été un peu perdue par ces différents personnages, cherchant les liens, cherchant Jean (sans doute faudrait-il éclairer ce point), personnages dans ces vies dures (sans doute un effet confinement), sans beaucoup de douceur. Ou peut-être pas un moment pour moi sans douceur ? Mais j’ai apprécié vous lire, vous avez l’écriture fluide, douée. Merci pour ce partage.

Sentiments partagés, c’est à la fois totalement prenant, vous avez l’écriture fluide, la densité de l’intrigue, et en même temps, je trouve, un peu Barbara Cartland (que je n’ai jamais lue !! donc à l'image que je m'en fais), je veux dire avec des sentiments binaires, des relations presque simplettes (Rose et Elise, Elise et Marc, par exemple) et aussi, on ne doute ni au début de l’identité du criminel, ni après qu’Elise va le coincer. Et en même temps (comme dirait notre Président), ça se lit sans poser le bouquin ! accro de savoir comment elle va le coincer. Bravo et merci pour ce partage.

C’est une vraie idée, un fantasme que nous sommes beaucoup à avoir j’imagine, mais j’ai regretté que vous n’osiez pas y aller franchement, que vous étiez restée attachée à la terre par un fil à la patte. C’est drôle la sélection des souvenirs que vous avez amenés avec vous (Sigmund doit bicher), vous les traitez par petites touches pastel. En vous lisant, je me demandais lesquels je garderais avec moi, quels cauchemars ne me quitteraient pas. C’est ça je trouve la force de votre livre, l’évocation et la projection que l’on peut en faire.