«JEUX d’EAU»
Eté 1914 : après des adieux émouvants à sa mère et à Jacqueline, sa future fiancée, François Derambert, frais émoulu de l’École normale, musicien amateur, part sur le front. Dès son arrivée à Verdun, il est grièvement blessé. Transporté à l’hôpital, il fait la connaissance de Christine, infirmière doublée d’une excellente musicienne. Commence alors sa reconstruction, tant physique que morale : il est confronté à un affreux dilemme entre les deux femmes qu’il aime et le déchiffrage de cette fascinante Sonate qui ne cesse de le hanter nuit et jour.
Sa rencontre avec Maurice Ravel, donnera-t-elle à François Derambert la force et la volonté de se relever pour arriver au bout des Jeux d’Eau tout en assouvissant sa passion amoureuse ?
Ce livre est noté par
@ Marver
Merci pour votre commentaire qui réjouit mon cœur et ma plume !
Vous avez saisi pleinement que la Musique, ici, est traitée comme un personnage à part entière et que tout le récit repose sur la passion musicale du héros liée à sa passion amoureuse et son patriotisme à toute épreuve.
Bien sûr, la fragilité humaine du héros sera à la fois sa force et son tombeau. Heureusement que Maurice RAVEL illuminera quelques heures de sa vie comme vous l'avez - à juste titre- remarqué.
Bonne soirée à vous.
@ Alexandre B
Merci pour votre commentaire flatteur.
La fragilité humaine est une constante comme les passions humaines qui régissent les Hommes dans la plupart de leurs actes.
Je suis heureux de voir que la rencontre du héros avec Maurice RAVEL vous a particulièrement plu. J'ajouterai - vous le savez certainement- que RAVEL a bien été incorporé comme conducteur de camion (!!!) pendant la guerre de 14-18. Sa musique en fut le témoin quelques années plus tard (Le tombeau de Couperin), pièces de piano sublimes.
Bonne soirée à vous et encore tous mes remerciements.
@ Jean Jac
En ligne ??
@AndreSe
Tout d'abord, merci d'avoir choisi mon livre parmi les innombrables ouvrages que ce site recèle.
Merci aussi pour vos éloges sur mon écriture et le reste, mais... restons humble, je ne suis qu'un écrivain "lambda" !
Si je peux me permettre, je vous suggère d'aller jusqu'au bout de ce livre, car dans l'épilogue, la "chute" vous surprendra certainement. Je ne veux rien dévoiler de plus car je ne sais pas à quel endroit du roman vous vous êtes arrêté(e ?), et je veux vous laisser (ainsi qu'aux autres lecteurs) la surprise complète de la découverte finale.
En tout cas, je suis heureux de vous avoir fait passer un bon moment.
Mon souhait : faites partager ce bonheur !
@ Jean Jac
Je suis désolé... Je n'arrivais pas à me connecter (problème de mot de passe)
Je vous laisse mon adresse mail pour discuter du roman si vous le désirez : ainsi, je pourrai enfin communiquer avec vous.
Encore désolé
mail : lutavski@orange.fr
Vous ne répondez apparemment pas aux commentaires, j’avoue que cela me motive moins de vous lire et de vous en écrire un ! J’ai lu quelques pages. C’est un sujet toujours fascinant, preuve en est la très nombreuse littérature de guerre, ou encore le succès littéraire et cinématographique d’au revoir là-haut. Vous avez une écriture qui semble très écrite (si je peux me permettre cette expression), à contrario du non dit ou de ce qu’il faut deviner un peu et il m’a semblé que parfois cela ralentissait le rythme. Mais, bon, sur quelques pages, bien téméraire de ma part d’écrire ces mots.