Jusqu'au cœur de l'hiver... et retour

@Francis LEDER Comme promis, j'ai enfin trouvé le temps de parcourir votre ouvrage. On y perçoit beaucoup de sensibilité mais aussi et surtout, une certaine tristesse teintée de résignation, malgré un peu d'espérance.... Bref une impression plutôt complexe !
Votre interminable cabinet de curiosités qui clôt l'ouvrage m'a évoqué l'inventaire de Prévert :)
Voilà pour le fond, poétique sans aucun doute. Pour ce qui est de la forme, comme vous le savez, je ne la qualifierai pas de poésie dans la mesure où elle n'en respecte pas les règles, mais cela n'enlève rien à la qualité de l’œuvre.
Bien à vous
-LGA

J’ai nagé dans une mélancolie, perdue entre rêve ou réalité… j’ai beaucoup aimé bravo à vous

J’ai beaucoup aimé les poèmes inspirés de nos amis les bêtes, ces comparaisons anaphoriques, ces enchaînements qui conduisent à une chute (qu'on aimerait parfois plus brutale encore). La forme libre me plaît même si je reste une adepte du classique. Joli travail, belles images. Merci !

Entre rêve et réalté, j'ai voyagé. Merci

@JPierre MABILLE
Merci pour l'attention que vous avez portée à mes errances sentimentales et mémorielles. Écrire n'a de sens que parce qu'il y a un lecteur pour partager les émotions.
Merci aussi pour la notation.

Merci à vous, @Francis LEDER, poète facétieux qui montre ce qui se cache à l'intérieur de son coeur. Brûlez la vie en toute saison (avec Corinne ?) et laissez le vent disperser les cendres.

@Francis LEDER

Où vont-ils
Tous ces vivants
où je ne vais pas

3, 4, 5. Pour cela et bien d'autres, je dépose votre ouvrage dans ma bibliothèque.

Cordialement,
Albert H. Laul

Votre recueil a teinté ma soirée d’une douce mélancolie. Je vous remercie pour cette belle lecture.

@P atrick CHANTEBIEN
Merci pour votre commentaire. Je suis heureux que mes poèmes vous aient plu.
Du rêve et du cauchemar, de la peur et de la douceur, de la peine et de l'espoir... tout ceci à des doses variables, j'y ajoute un soupçon de folie et je laisse mijoter "un certain temps"; parfois ça prend, parfois non !

@Francis LEDER. J'aime la poésie lorsqu'elle laisse entrevoir la mélancolie, la"saudade" dirait les portugais, à moitié dans le rêve, un quart dans la réalité, un soupçon dans la folie et la tout dans la sérénité. Merci de vous lire ça fait du bien à l'âme

@Gaby Chantrie
Merci Gaby pour votre commentaire ; le vers libre a ceci de magique qu'il recèle sa propre musique... pour qui sait la percevoir. Vous l'avez su, c'est aussi un talent !