Ce dont nous parle Natalia Clément-Demange dans "Tout ce que la vie nous permet", c’est justement du rétrécissement de la vie dans un futur proche.
En 2042, les nouvelles générations n’ont pas encore assimilé les enjeux de la survie de la planète : virus, cancer, pollution, gaspillage battent leur plein. L’île de beauté a disparu, Marseille est sous l’eau et Roubaix est devenu le nouveau Saint Tropez. Seuls les aéroports des capitales fonctionnent.
A travers quelques personnages bien campés, l’auteur décrit notre futur immédiat en 2042, en 2064, en 2071… avec un trait d’union - une certaine foi dans le genre humain.
Dystopie sur l'environnement et la société dans les années 2042 et 2064. Grossesse futuriste, dérives de la société de consommation, place de la femme, écologie... Ce roman peut émoustiller, inquiéter, énerver, halluciner... ?
Natalia CLEMENT-DEMANGE découvre monBestSeller et a hâte de pouvoir lire et d'échanger. Elle se sent proche du style de Delphine de Vigan.
De la science-fiction sans en être. Tout ce que vous décrivez semble si proche et si plausible qu'en effet cela relève plus du roman que de la SF. De la manière de faire des enfants par assistance, du genre du nouveau-né, de la viande à 50 euros le kilo, des silentcube... on navigue dans votre univers pas si dépaysant que cela. Mais les humains restent des humains, ils réfléchissent, ils souffrent, ils aiment... Et si cette force technologique les emportent, ils souhaitent, un retour à la normalité et au raisonnable. Mais le point de non-retour est-il déjà franchi ? Un joli roman bien structuré qui pose de vraies questions d'aujourd'hui.
C’est pour ces échanges avec vous qu’elle a publié son roman sur monBestSeller.
@gaetan b