
Après son burnout, Rose a tout changé : abandonné le métier d’avocat,
et convaincu son mari d’habiter chacun chez soi, idée inspirée de Balzac.
Mais voilà que son mari, Milo, quitte Paris pour vivre son rêve de devenir vigneron dans le Beaujolais.
Décidée à rester à Paris, Rose s’organise cependant pour passer l’été près de Milo.
Trois mois au cœur du vignoble, le temps d’écrire un polar inspiré par une affaire de disparition jamais élucidée.
Rose, la citadine, découvre la sensualité de la campagne, retrouve son mari devenu vigneron, et se lie d’amitié avec Gaïa, une femme mystérieuse, qui l’initie à la nature.
A l’automne, de retour à Paris Rose se demande si son couple va-t-il survivre à l’éloignement.
Comment se trouver, sans perdre Milo ?
Ce livre est noté par
@Sylvie ETIENT Votre réponse me rassure, ce n'est donc pas du "feelgood" mais un roman qui fait du bien, nuance. Le feel good, en gros, c'est Oui-Oui au pays des Bisounours dans les décors chatoyants du pays de Candy, avec dégustation de guimauve à la fraise tagada enrobée de chantilly. Très à la mode depuis quelques temps, révélateur sans doute d'un monde de plus en plus angoissé. Mais une littérature tellement mièvre !
Rien à voir, donc, avec la richesse de votre style, la profondeur de vos descriptions. Je découvrirai avec plaisir le reste de votre œuvre !
PS en lisant votre biographie j'ai retrouvé le roman qui m'avait plu, "Ce qu’elles préfèrent dans le mariage", mais il me semble que c'était juste un extrait.
@galodarsac
Un jour, une lectrice a commenté un de mes romans en disant que ce livre lui avait fait du bien. Bêtement, j'ai traduit "feelgood", et je me demande, à vous lire, si j'ai eu raison. Parce qu'en "vrai", je m'intéresse aux cheminements, à nos lignes de vie tortueuses. Pour autant, je ne pense pas que mes romans relèvent des récits de voyages ou des guides touristiques. Pour être franche, j'ai un problème de genre avec ce que j'écris, et vous mettez le doigt dessus au moment où cette question me travaille. Mes romans sont des comédies, des comédies de la vie, Come di comme dans la chanson de Paolo Conte.
Merci d'avoir surmonté vos préjugés contre le genre feelgood et de m'avoir lue, votre commentaire me fait du bien.
Bonjour @zoé Florent alias Michèle,
Cela me fait plaisir de retrouver tes commentaires dont je me souviens qu'ils ont été les premiers à accueillir ROSE en 2017. Tu sembles retrouver Rose comme une vieille connaissance qu'on n'a pas oubliée. Pour moi, Rose est devenue une soeur, qui fait son miel de détails de ma vie, et à laquelle j'offre une autre vie que la mienne. Un personnage récurrent dont le chemin va sans doute se poursuivre dans un tome 3. Je t'y donne rendez-vous et suis certaine que tu y seras.
Et merci d'avoir lu le roman en entier, un soutien appréciable.
Chaleureusement,
Sylvie
@AndréSe
Bonjour André, l'extrait que vous avez lu fait partie du tome 2 de la série des ROSE: me trouver sans te perdre.
Le burnout est déjà un souvenir vieux de plus d'un an pour Rose, et elle a pris déjà un certain nombre de décisions dans le tome 1, plus exactement elle a fait du ménage dans sa vie.
Dans le tome 2, elle n'a pas pris la décision de vivre à la campagne mais va rejoindre son mari -parti vivre à la campagne- pour l'été. J'ai l'impression en tout cas que mon roman rencontre chez vous un désir de changer d'air…
Merci pour votre lecture et votre commentaire positif.
Ce projet de partir vivre à la campagne au milieu des vignes après un burn à out, je trouve qu'il tombe à pic et qu'il est positif. J'ai aimé l'humour de la narratrice notamment dans son compagnonnage avec le chat, son coté volontaire, son goût prononcé pour l'écriture et son originalité. Elle se retrouve d'ailleurs dans des situations étranges et insolites. Les dialogues de la fin sont surprenants et valent le détour.
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