Le Printemps de Chloé

151 pages de carpov
Le Printemps de Chloé carpov
Synopsis

Roman de la lente reconstruction, Le Printemps de Chloé explore la puissance du lien à la terre, à l’autre et à soi-même. Dans un vallon provençal presque hors du temps, deux femmes cherchent un nouveau départ après la perte et le silence.

Publié le 12 Avril 2025

Les statistiques du livre

  63 Classement
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"Le Printemps de Chloé" est le "Livre le +" du 12 mai. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Carpov, c’est pour cela qu'il publie ses textes sur monBestSeller. Vou

Publié le 13 Mai 2025

Ce livre est noté par

10 commentaires , 3 notes

Bonjour @Bruno Bonheur,
Merci pour ton retour très élogieux!
Ce récit est né d’une envie simple : explorer ce moment fragile où l’on touche le fond… pour mieux renaître. Le Printemps de Chloé raconte une rupture, un exil intérieur et géographique, mais surtout un retour à soi. En quittant Paris, Chloé part à la rencontre d’un héritage inattendu, d’un village oublié, mais aussi d’une part d’elle-même qu’elle avait enfouie. À travers son parcours, j’ai voulu parler de deuil, de reconstruction, de liens humains et de cette terre – la Provence – qui guérit, inspire et transforme. C’est un roman sur les chemins de traverse, les rencontres qui bouleversent et les recommencements. J’espère que ce texte touchera les lecteurs là où tout commence : dans le cœur.

Publié le 12 Mai 2025
3
Le printemps de Chloé est un très beau livre. Une romance, certes, surtout dans la première partie, mais bien plus : d'abord parce que c'est TRES bien écrit. Ensuite parce que c'est aussi tragique. La douleur est présente et racontée de façon très juste et très pudique. Si ça reste une romance, c'est parce que la vie l'emporte, l'amitié, la sensualité, le pardon et un lien puissant avec la terre, qui nourrit, répare et remet l'homme/ la femme debout. Pudeur, délicatesse, sensualité, profondeur de la douleur et foi en l'homme, en la vie, en la nature : voici, en résumé, ce qui fait de ce livre une romance littéraire que même un lecteur (comme moi) qui n'aime pas les romances peut apprécier. Le livre d'un très talentueux écrivain.
Publié le 12 Mai 2025

Bonjour @Bruno Bonheur,
Merci pour ta lecture attentive, elle m'a permis de corriger plusieurs imperfections. La tonalité de cette première partie est effectivement romanesque et très feel-good.

Publié le 11 Mai 2025

Tu as raison pour le "petit à petit". Je vais essayer de faire ça. Je télécharge, je le mets sur une tablette et je le lis tranquillement. A plus dans le bus !

J'édite au fur et à mesure de ma lecture :
Première partie :
- chapitres 3, 4 et 5 : super ! (j'ai déjà commenté 1 et 2)
La suite bientôt !

Publié le 10 Mai 2025

Bonjour @Bruno Bonheur,
Je suis comme toi, j'ai beaucoup de mal à lire sur l'ordi, alors j'y vais vraiment petit à petit, un peu comme je le fais avec les copies... Merci pour ta visite.

Publié le 10 Mai 2025

Bonsoir Laurent,
J’ai lu les deux premiers chapitres (j’ai peu de temps et je lis mal sur écran) et je les ai trouvés très bien écrits. Tu as beaucoup de talent, comme je te l’ai déjà dit : une capacité à évoquer en peu de mots des choses fortes, de créer des personnages qui ont une intériorité, d’aller à l’essentiel. Ton récit est maîtrisé, fluide. Je te souhaite beaucoup de lectures et de retours. Bien à toi.
Bruno

Publié le 08 Mai 2025

Bonjour @Eva Verna,
Mille mercis pour votre retour! Pour votre temps, votre attention, et les coeurs que vous avez octroyés à ce récit. Je le voulais sincère et condensé, resserré sur l'essentiel, sans grandes analyses psychologiques ou considérations universelles. Savoir que vous avez trouvé une certaine qualité à ce texte m'encourage à poursuivre dans cette voie. On se donne beaucoup dans l'écriture, on pose tout notre être sur la table et on l'offre comme un plat, et je suis très heureux que vous y ayez trouvé du goût.

Publié le 03 Mai 2025
3
Réapprendre à vivre, à ressentir et à s’ouvrir... Un thème a priori banal mais ici avec une sincérité revigorante. Entre mélancolie urbaine et renaissance grâce à la ruralité, Chloé se reconstruit. Une atmosphère vivante pleine de sensations, de sons, d’odeurs et d’images. On passe progressivement du désespoir à une forme d’éveil. La chaleur humaine du sud donne de la cohérence à ce parcours intérieur.
Publié le 02 Mai 2025

Bonjour @Zoé Florent,
C'est gentil de venir dire de belles choses par ici, d'autant que je te crois très occupée en ce moment! J'ai effectivement abandonné la forme initiale pour ne favoriser qu'une seule ligne de scénario, un arc narratif que je pense plus intense.
Bises

Publié le 16 Avril 2025
3
@Carpov Belles descriptions de bourgades et paysages provençaux, belle complicité féminine naissante, et une adorable petite Juliette à laquelle on s'attache vite... Beaucoup de douceur dans ce début de roman dans lequel on s'installe en nous glissant progressivement dans les peaux de Chloé et de Claudia. Deux femmes aux tempéraments opposés que tu détailles avec justesse. / Deux suites possibles dans la première version... Aussi vais-je voir de ce pas (empressé ;-)) pour laquelle tu as finalement opté. / Merci pour ce nouveau partage, cher Laurent. Bises et bonne fin de journée, Michèle
Publié le 16 Avril 2025

@Mathieu Langeon
Tout va bien alors, Carpov, car un homme averti en vaut deux !

Publié le 14 Avril 2025

Bonjour, @St-Bleyras,
Il y a tant de mots, et si peu que je connais, que lorsqu'il y a quelque chose à dire et que j'ai la chance de connaître le terme exact, je l'utilise volontiers. Aussi, tu risques de tomber sur un luctueux dans la deuxième partie, si tu vas jusque là, et ce matin j'ai employé précellence dans un paragraphe de la troisième... Je sais que cela peut gêner la lecture, mais j'ai toujours aimé apprendre de nouveaux mots, alors j'essaie de les partager. J'ai grandi un peu plus au nord que St-Louis, à St-Antoine, et je ne devais avoir alors qu'une centaine de mots à mon vocabulaire. Tout ce que j'ai appris depuis, c'est une richesse pour moi, et elle fait effectivement de moi un parvenu.

Publié le 14 Avril 2025

@Carpov
J'ai passé toute ma scolarité secondaire à Marseille, au lycée Nord Saint-Exupéry. Je n'ai jamais entendu cet "omineux" que vous employez, au féminin, à la page trois de votre écrit. Tout au plus ai-je pu ouïr des "Oh, minot !"
L'emploi de mots rares me semble ne pas devoir entraver la lecture. Je me rappelle "siccité".
Ceci dit, je m'apprête à continuer avec votre texte, a priori avec plaisir. En espérant ne pas être bloqué par un "apocatastase" qui ferait, lui aussi, nouveau riche.

Publié le 14 Avril 2025