Au combat des peuples ! - Résumé

46 pages
Extrait
de Pascal Pontolier..
Au combat des peuples ! - Résumé Pascal Pontolier..
Synopsis

Ce livre d’environ cent soixante pages découle de mes vives inquiétudes face aux choix faits dans notre monde d’aujourd'hui. Il est le fruit de mon vif intérêt pour l'histoire et la politique, qui sont le socle et le cap vers le monde de demain. Cela ne m’avait pas vraiment inquiété jusque-là, mais désormais je ressens au fond de moi que je ne crois plus en les valeurs auxquelles notre société désire petit à petit nous soumettre. Je trouve sa vision de la solidarité factice.
Après des études minutieuses développées dans le livre Au combat des peuples ! (version condensée + de complément), j’en ai extrait l’historique et le vocabulaire nécessaires qui je l'espère, permettraient de bâtir une société solidaire entre Nations, et non plus une spécifique aux migrants qi ont réussi leur travrsée

Publié le 29 Septembre 2015

Les statistiques du livre

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5 commentaires , 1 notes
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3
bien
Publié le 06 Février 2016

Je ressens de la mélancolie dans votre commentaire Val-Elysa. Je ne crois pas que nous, les Hommes, sommes incapables d'aller au-delà de nous-mêmes. L'histoire des peuples pour s'émanciper dans la solidarité avec les siens pour survivre, mais aussi dans le désir de se dépasser à travers l'art donnant des résultats quelques fois surprenants par leur beauté et leur grandeur, en est la preuve. Je crois en l'Homme dans son ensemble. Je crois que tous les peuples parviendront à atteindre le niveau de vie des occidentaux. Mais cela n'arrivera pas sans la solidarité de chacun envers son peuple, qui pour se réaliser, exige des mesures de notre part, issues d'un peuple stabilisé, qui ne me plaisent pas non plus, mais qui sont nécessaires comme je le développe dans mon livre.

Publié le 26 Octobre 2015

Une version papier est disponible ici:
http://www.librinova.com/shop/pascal-pontolier/au-combat-des-peuples-resume

Publié le 23 Octobre 2015

je trouve vos propos cohérents et d'une grande mesure. Y en a marre de ces actrices à la mode qui ouvrent toutes les portes (pas de leurs hôtels particuliers) et marre de discours xenophobes (qui viennent malheureusement le plus souvent de ceux qui souffrent) . C'est bien sûr dans une logique humaine et humanitaire qu'il faut considérer les choses, mais aussi d'un point de vue de logique économique et de capacité d'absorption. La France n'est plus riche, l'Europe non plus d'ailleurs. Les radicalismes reflètent le manque de culture et ou un humanisme dérisoire et utopique d'universitaires protégés. Ce n'est pas pour cela qu'il ne faut pas avoir de positions claires et déterminées.

Publié le 12 Octobre 2015

Bonjour Gaby, le sujet est particulièrement complexe, et je le trouve plutôt mal abordé aujourd’hui. Il est pour le bien de tous de comprendre ce qu’il se passe dans les sentiments des uns et des autres, et qu’une fois exprimés à leur juste mesure, doit conduire à des décisions qui les respectent.

Vos mots sont acérés, et témoignent d’une exaspération compréhensible. Cependant ce que je dénonce avant tout, c’est la solidarité revendiquée par notre société dans l’accueil des migrants. Or cette solidarité est trompeuse parce qu’elle n’aide pas les plus démunis qui sont au-delà de nos frontières occidentales. Elle permet en tout particulier, justement par cet accueil, de ne pas voir la misère du monde. De ne pas voir qu’elle se vide de ses talents qui à leur tour cherchent à se réfugier en Occident pour assurer leur avenir. Ainsi quand vous dites : « contrairement à vous je ne prônerais pas la lutte contre une minorité faible », vous vous trompez, il ne s’agit pas de lutte contre une minorité faible, mais d’une lutte pour aider les peuples qui voient leurs talents, ceux qui sont censés porter leur peuple vers le développement, les quitter.

D’autre part je vous prends au mot : « qui, pour le coup, à moi, me donne le goût de migrer à mon tour ». Seriez-vous prêt à changer de nationalité pour prendre celle d’un pays d’Asie, d’Amérique du Sud, d’Amérique central, d’Afrique, ou bien la nationalité d’un pays de l’Est de l’Europe ? Je vous gage que comme tous les autres vous choisirez un pays occidental parfaitement développé avec des perspectives professionnelles et personnelles ouvertes, et le tout dans une République démocratique fonctionnelle.

Pour ce qui est de : « comme vous sans doute, je dirais de tout cœur : luttons contre les quelques fous de dieu qui s'en prennent à des victimes innocentes. » Sachez que je n’aborde pas le sujet de la religion, je parle avant toute chose, des problèmes éthiques majeurs concernant les migrations mondiales.

Publié le 02 Octobre 2015

Si j'ai bien compris votre ouvrage (en le survolant tel un charter, d'où incompréhensions possibles et même souhaitées), vous refusez l'immigration par humanisme envers les pays pauvres, mais aussi par humanisme envers les autochtones (de souche) qui seraient moins bien traités que les immigrés (immigrés dont vous avez décrété que les Français ne voulaient pas). Les médias ont dû jouer sur vos convictions... Il est vrai qu'il nous vient l'impression, en les fréquentant, de crouler sous les immigrés, les islamistes, etc. Mais il faut consulter les chiffres. Nous sommes aujourd'hui en France parmi ceux qui accueillent le moins. Les années 50 et 60 sont de ce point de vue carrément révolues. Et vraiment, ce n'est pas avec votre discours que la partie arabe-orientale (comme vous dites) de la France va pouvoir (ni vouloir, en ce qui concerne les quelques jeunes radicalisés) s'intégrer. Moi, ça ne me dérange pas que 6 pourcent de la population soit musulmane et pratiquante (un tiers des musulmans se disent athées et moins de 15 pourcent vont à la mosquée). Alors encore une fois, en regardant les médias, difficile de croire qu'ils ne vont tous se faire exploser en Syrie. Qu'ils ne sont pas tous des jeunes de banlieues terrorisant le bourgeois à la nuit tombée. Mais il y a un mot pour désigner cette croyance : fantasme. Selon vous, nos compatriotes d'origines musulmanes imposent leur culture aux bon samaritains que nous sommes. J'espère que vous ne vous fondez pas sur quelques anecdotes de cantines (qui ressembleraient fort à des anecdotes de comptoir). Avec vous, quoi qu'il en soit, voilà au moins une personne qu'ils n'auront pas eue :-) Bref, je suis un peu fatigué de cette psychose nationale, cette obsession qui fait d'un peuple brillant, le nôtre, un peuple un peu beauf n'ayant qu'un seul sujet de conversation (ah non, 2 : l'Islam et les Arabes), et qui, pour le coup, à moi, me donne le goût de migrer à mon tour :-) Alors voilà, je suis du côté de l'immense majorité silencieuse des boucs émissaires, et contrairement à vous je ne prônerais pas la lutte contre une minorité faible. Mais, comme vous sans doute, je dirais de tout coeur : luttons contre les quelques fous de dieu qui s'en prennent à des victimes innocentes.

Publié le 30 Septembre 2015