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Le 04 Jan 2019

Pourquoi monBestSeller ?

Le bon lecteur est d’abord généreux, il accueille sans préjugés. Mais attention, il est incorruptible.

La lecture précède l'écriture. Un bon écrivain est un bon lecteur

Mireille Bertrand Lhérisson - (Poète engagée)

 

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15 CommentairesAjouter un commentaire

Bon allez. Il est temps d’aller bosser.
Hop hop hop. Petit café.
Schluuurp.
Tiens, on va aller voir si la miss est partie.
Peut-être a-t-elle compris. À moins qu’elle ait réalisé ? Va t'elle enfin s'excuser ?
Magnanimes, on pourra lui pardonner.
Ha ben non. Toujours là.
Oulla ! Elle a pas bien dormi. Pour quelqu’un qui a bonne conscience et… oups… qui nous enseigne la concision, la réduction, diantre ! Que de circonvolutions et de contorsions dans tous les sens !
Ça m’inspire aussi, ce matin, allez, pour me fendre la poire cette brillante citation en guise de déduction qui tombe je pense, sous le sens : « ceux ne sont pas tous ceux qui en parlent le plus, finalement, qui le font le mieux ».
Avec tous ses ébats ne devrait-elle pas, franchement être hyper détendue et apaisée ?
Oui, nous avons affaire, en fait, pas de doute, à une adolescente frustrée qui vit décidément très mal ses crises d’acné.

Publié le 08 Janvier 2021

Oui, je disais les injections de voix c'est comme le botox. Il faut pas abuser après, regardez-vous, vous avez plus de face.

Publié le 08 Janvier 2021

Je sais que ce que je vais dire va sonner creux dans l’oreille d’un large public qui se rend sur le site en grande partie pour se détendre et se divertir et pour qui assister à des joutes verbales est souvent l’assurance de passer un bon moment. Je sais aussi que quoique l’on dira de vous, la miss, vous aurez toujours un public, puisque vous êtes rigolote et que ce à quoi le peuple s’attend d’un fou du roi, c’est de les faire rire, peu importe que sa conscience, à l’un ou l’autre, soit inexistante.
Je sais que vous avez aussi telle une chatte une capacité naturelle à écarter les jambes, amortir les chocs, et retomber sur vos pattes même si le fait que vous soyez de bas étage et que vous plafonniez complètement dès qu’il faut accéder à un niveau supérieur vous est utile pour ne pas trop vous blesser.
Je suis donc certain que vous vous en remettrez et ne m’attends pas à ce que mon post pour l’heure puisse susciter une quelconque réaction positive, mais je tiens, vraiment, vous concernant, à attirer l’attention de toutes et tous sur le genre de personne que vous êtes.
Car vous avez dépassé les bornes, à bien des égards.
En premier lieu vous osez interpeller, vilipender, ici et là, des personnes qui ne vous ont rien fait, dont Patricia (Fanny Dumond, pour ne pas la citer), jusqu’à l’inviter à boire la cigüe sur une tribune ?? Ce qui est, pardonnez-moi, tout de même une invitation au suicide, et ce, juste parce qu’elle voit les choses différemment de vous ? Que savez-vous de sa vie, de sa sensibilité, de son état psychologique au moment où vous lui dites cela ? Avez-vous conscience qu’avec vos mots vous pouvez la détruire ? En disant cela, pour moi vous avez dépassé la ligne rouge.
Mais ce n’est pas tout. Non, non. Il y a la cerise sur le gâteau.
Non seulement vous exercez vos talents de pitre aux dépends des autres d’une manière vindicative, agressive, et grossière, mais en plus vous trichez, et ouvertement !
En temps normal, je ne calcule pas les tricheurs, car je trouve cela tellement ridicule… mais votre attitude, de tout côté, est tellement abjecte !
Il est parfaitement compréhensible pourquoi, pour vous, la conscience de l’écrivain est hors sujet du thème de l’écriture. Vous ne savez pas ce dont il s’agit puisque vous n’en avez pas.
D’ordinaire, je ne partage pas du tout les habituelles critiques de Maryse Souffe qui a descendu en flamme des auteurs que j’apprécie comme Franck de « Rebecca » ou Fred de « je ne suis ». J’attache pour ma part bien plus d’importance aux personnes et au contenu et aux intentions qu’à la pureté stricte de la forme.
Mais en l’occurrence, force est de constater que sur ce point précis vous concernant, elle a parfaitement raison.
Il s’avère que je suis un homme de chiffre et d'analyses depuis plus de 30 ans. Aussi analyser l’évolution des 20 premiers est un véritable jeu d’enfant. Nous prenez-vous donc pour des billes ? Je travaille sur mon troisième tome et consulte régulièrement les évolutions par tranche de demi-heure. Votre évolution est caractérisée par des pics incroyables et des creux tout aussi insondables, ce qui, au regard de l’évolution progressive que connaît maintenant tout un chacun, est juste mathématiquement impossible.
Vous prétendez ne pas savoir comment faire ? Pour quelqu’un qui multiplie les avatars à tel point qu’on ne les compte plus votre argument est pour le coup super comique. Dire que vous vous moquiez de Sarah et de son évolution, convenons-en, ahurissante. Mais vous os(i)ez, en plus, la critiquer ? A minima, taisez-vous. Faites profil bas pour essayer de faire en sorte que l’on ne vous voie pas. Mais on, vous osez l’ouvrir !! Vous n’avez donc pas honte ? À aucun moment ? Vous arrivez à vous regarder dans une glace le matin avant d’entamer votre frénésie de pseudo-vues ?
Si vous n’avez pas de respect pour vous-même, essayez d’en avoir au moins un peu pour les près de 4 000 auteurs de ce site qui s’efforcent de respecter les règles que vous bafouez impunément.
Vraiment, pour toutes ces raisons cumulées et ce n’est que mon misérable avis, vous devriez être bannie de ce site, quel que soit votre talent de clown.

Publié le 07 Janvier 2021

Chère Miss, en réponse à votre dernier commentaire effacé (pourquoi?), je suis sincèrement désolé si cette simple mise en perspective historique, cette tentative ô combien maladroite d'élargir le spectre de votre réflexion a provoqué chez vous une telle insupportable tension intellectuelle.
Concernant Socrate et Platon, voyez-vous, je ne partage pas du tout leur point de vue, ou plus exactement, leur source réelle d'inspiration. Toutefois, il faut leur rendre qu'en ayant remis le Logos au centre (le Verbe, mais surtout la Raison) avec pour objectif principal de décrire au mieux la Conscience, l'âme, l’Être ou l'étant, tous ces gros mots qui vous offusquent tant, ils ont posé les bases d'une nouvelle civilisation. Cette focalisation sur la Conscience a tout de même duré des millénaires et a été l'objet central de l'attention de tous les auteurs antiques ou classiques, y compris des Lumières, jusqu'au mouvement scientiste et ses dérives qui a alors nié toute valeur à la Conscience pour ne s'attacher qu'aux sciences et techniques.
Par vos propos, vous vous inscrivez simplement dans ce mouvement de pensée ambiant qui imprègne notre société, qui privilégie constamment la technique ou la met sur le même pied d'égalité que l'âme, l'être, l'idée ou l'idéal.
Vous êtes donc, pour l'instant en tout cas, myope, conformiste et grégaire.
Mais je ne décourage pas que votre pensée puisse un jour évoluer.
Vous êtes jeune et avez toute la vie devant vous pour ce faire.

Publié le 06 Janvier 2021

J'ai cherché dans mon dictionnaire mais n'ai pas trouvé d'expression plus adaptée pour qualifier vos réactions. Comprenez-moi. Je suis limité. En revanche si pour vous l'âme de l'écrivain est hors-sujet, je comprends beaucoup de choses en effet.
PPS : oui. C'est une bonne question ça. Je passe, tout simplement mais je crois en l'humain et ne désespère jamais qu'une personne puisse finir par trouver sa voie. C'est un long chemin qui prend toute une vie parfois.

Publié le 06 Janvier 2021

@ la miss 11
Pour vous aider à quitter la voie de l’esquive et de l’offense que vous pratiquez comme une racaille lettrée des cités, et afin d’essayer de discuter avec vous du fond du sujet (je ne perds pas espoir), j’aimerais, pour le fun, parce que franchement, je me marre bien aussi, essayer de vous mettre sur la voie de la prévalence évidente du fond sur la forme.
Raisonnez par l'absurde et demandez-vous, puisque cela vous est visiblement accessible, si, par exemple, ce que l'on appelle très vulgairement un nègre (terme que j'abhorre, mais c’est le mot usuel) ou un prête plume est à considérer comme un écrivain ?
Pour ce qui me concerne, et ce n’est que mon misérable avis, ce n’en est pas un.
À la manière des sophistes antiques, il vend sa plume au plus offrant.
C’est certes, un expert de l’écriture, mais il n’a pas d’âme propre et ne porte pas de projet défini. C’est un comédien de l’écrit sans visage. Un technocrate, un technicien du verbe.
Un bon écrivain, au sens de vrai écrivain, doit avoir une âme.
La sienne.
Non factice.
N’est-ce pas le plus important ?
L’écriture est essentielle aussi, mais en second.
Après, je peux comprendre que vous ne compreniez pas toute la différence que cela implique et ce que cela signifie, mais ça c’est un autre vaste sujet qui tient davantage à vos valeurs et votre éducation.

Publié le 05 Janvier 2021

invectives mais pas d'explication. Toujours très pauvre. Allez, un petit effort de réflexion. Vous pouvez le faire.

Publié le 05 Janvier 2021

Merci pour cet interlude musical bienvenu.
Pour ce qui est du débat sur la forme et le fond, il a déjà été tranché depuis longtemps.
Au fondement de la pensée philosophie grecque se trouve en effet la lutte entre Socrate et les sophistes qui avaient érigé la seule éloquence comme axe de vie.
Mais n’ayant que des discours creux à lui offrir, plus ils faisaient preuve d’éloquence, et plus la vacuité de leur propos en devenait évidente.
On assiste aujourd’hui aussi, dans notre société du paraître, à de similaires concours d’éloquence.
Transposons cela dans l’écriture et ne commettons pas les mêmes erreurs en privilégiant la forme au fond ou même en cherchant à les mettre sur un plan d’équivalence.
Il faut d’abord en premier et quoiqu’on dise, encourager les auteurs à rechercher une cause, pour laquelle ils se passionnent. Cette passion leur donnera alors, progressivement, l’énergie pour s’améliorer et réussir, avec le temps, à donner du sens à leurs mots.
Commencer par lire pour écrire, juste pour savoir bien écrire comme des sophistes pour exceller dans la rhétorique, sans cause et sans passion ne mènera qu’à du, porompompero, du verbiage dont jamais personne ne se souviendra.

Publié le 05 Janvier 2021

@ la miss 12
Excusez-moi mais quand je lis vos textes, ne le prenez pas mal, mais on est quand même dans un univers très local : schtroumphs, groumchs, vilebreuquaines, patembrouilles... Vous voyez, j'essaie mais je n'y arrive pas. Je n'ai pas votre talent. Mais je vais m'y atteler, c'est promis.. Je viens d'ailleurs d'acheter moults dictionnaires de patois franchouillards pour incrémenter mon vocabulaire afin de tenter, un jour, peut-être, de rejoindre vos sommets pittoresques.
La barre est très, très haute. Je sais.
Après, si vous êtes lasse, je vous avoue, c'est pour moi, une victoire.
Je ne vais pas entonner le chant de la reine des neiges mais c'est presque ça.
Peut-être cesserez vous à chaque fois que l'on émet une idée, de nous interpeller nominativement. Dans un débat d'idée, vous devez pouvoir, comme l'a fait Michel et à l'instant Boris, par exemple, de donner votre pensée sans invectiver votre voisin et rechercher avec lui le rapport de force permanent. Donnez juste votre avis, ce sera parfait et suffisant. Ce n'est tout de même pas à moi, un manant, de vous faire une leçon de démocratie, en sachant la grande lectrice que vous êtes de tous ses hérauts.

Publié le 05 Janvier 2021

Je suis bien d'accord avec vous deux, @lamish, @Michel CANAL : il faut lire le plus souvent possible et le faire avec un large éclectisme si l'on souhaite écrire "correctement", ou du moins s'approcher d'une aisance stylistique permettant de "surfer" sur plusieurs registres. Ne pas le faire signifierait alors s'enfermer dans un dogmatisme pervers d'autosatisfaction relatif à ses propres écrits.
Quant à définir ce que pourrait être un "bon lecteur", in fine un auteur acceptable, c'est un terrain sur lequel je préfère ne m'aventurer qu'avec prudence afin d'éviter le "pas de clerc"... peut-être ouvert et curieux de tout ? Nous avons la chance, grâce à monBestSeller de pouvoir l'être, profitons-en !
Amicalement et avec humour.
Philippe.

Publié le 05 Janvier 2021

@ la miss 11
Pour le reste, je précise juste le sens de mon propos.
Le talent d'écrivain, la forme ne suffit pas et il ne faut donc jamais mépriser le début des petites choses des autres, en les regardant d'un air condescendant
Car à force de travail et de rigueur, une personne ayant de bonnes idées et de la volonté peut parfaitement développer ses compétences en écriture et parvenir à un niveau, même meilleur de celles et ceux qui s'autosuffisent de leur seul talent et lectures.
C'est, pour reprendre dans la veine des citations élémentaires et lapalissades, l'histoire du lièvre et de la tortue.
Donc idée + travail et rigueur > pas d'idée + bourré(e) de talent.
En mode télégraphique ce devrait être, pour Vous, je pense un peu plus clair.

Publié le 05 Janvier 2021

@ la miss 11
Le souci c'est qu'à chaque fois que vous vous exprimez, en croyant déstabiliser vous faites un peu plus, à chaque fois davantage étalage, de votre médiocrité morale et aussi culturelle maladroitement surcompensée par vos gabegies verbales. Permettez-moi, SVP, Mademoiselle, puisque nous sommes avec vous en Franche-Comté et qu'il faut se vouvoyer, que l'écriture n'est pas née en 1996 dans votre localité rabougrie.
Dire que l'écriture, qu'elle soit de Sumer, de l'Elam, de Crête ou d'Egypte ait consisté à compter les moutons est profondément affligeant et révélateur de votre superficialité extrême de connaissance comme de jugement. Il n'y a pas eu une seule thèse avancée par les fondateurs (déistes je le rappelle) de ce qui allait devenir notre République, celle-là même où vous traînez votre mal-être, qui n'avait déjà été énoncée et traitée depuis longtemps par les antiques. La civilisation n'a certainement pas commencée avec Proust et tous vos auteurs favoris dont vous nous faites étalage à tout bout de champ. Ils n'en sont qu'un aimable et souvent bien discutable prolongement. Je vous croyais intelligente mais vous êtes décidément bien sotte. et sacrément orgueilleuse ce qui vous aveugle totalement.
De ce point de vue, en effet, j'avoue m'être lourdement trompée !
Toutes mes excuses.

Publié le 05 Janvier 2021

Lire et écrire sont les bases pour ne pas être catégorisé analphabète.
Partant de cette base, comment un simple "auteur" de mots alignés sur un support quelconque pourrait-il faire passer autre chose que ses annotations mémorielles ?
La citation de Mireille Bertrand Lhérisson s'adresse à l'auteur d'un niveau beaucoup plus élevé : le bon lecteur et le bon écrivain. Ma conclusion est qu'il s'agit d'une évidence que personne ne pourrait contester tant elle s'apparente à une "lapalissade".
Cette citation pour illustrer le thème sur l'écriture est un simple rappel qu'il est souhaitable de lire le plus possible (on est ici sur une plateforme de publications d'auteurs proposant leurs écrits à un lectorat potentiel) pour mieux écrire. Et s'il fallait apporter une précision, j'ajouterais que plus on lit, plus on est susceptible d'assimiler les styles d'écriture, les constructions de phrases, la syntaxe, la conjugaison... plus on devient capable de bien écrire (ou d'écrire bien).
Comme dit @lamish : « Élémentaire, mon cher Watson ! »
Et comme dit le "chat" de Geluck : « Je vous souhaite tout ce que vous souhaitiez qu'on vous souhaite... mais en mieux ! » en ce début d'année 2021.

Publié le 05 Janvier 2021

Je vais m'efforcer de donner mon avis en espérant (attendez, je regarde le ciel de MBs, non, ç'est plutôt calme, en tout cas sur cette page ça à l'air) que les foudres de Zeus(ette 8888/6/8/910/11...) ne s'abattent pas sur moi.
alors bon, ok je me lance :
Si on part du premier degré de ce que Mireille a voulu exprimer, bien sûr, pour pouvoir écrire correctement, il est tout de même bienvenu d'avoir accumulé de la lecture, maitrisé un minimum de syntaxe, grammaire et vocabulaire pour être capable d'agencer et de présenter correctement ses idées sans heurter le lecteur au point qu'il se refuse à s'intéresser, sinon au prix d'un effort violent, aux idées qui ont voulu être exprimées, idées qui sont, je le crois, le cœur de l'écriture.
En disant cela, je reste convaincu que le joyau, le cœur donc, est toujours l'idée de celle/celui qui écrit (une possibilité donc ouverte à toutes et à tous et pas qu'aux auteurs ayant un don naturel et/ou travaillé) même si, bien évidemment, la présentation par l'écrit est très importante pour la mettre justement en valeur. D'où la nécessité de lire pour bien écrire afin de pouvoir au mieux effectuer ce précieux travail de mise en forme.
Et la boucle est bouclée.
(si quelqu'un veut la rouvrir, y'a pas de souci je ne lui tomberai pas dessus ;)
Juste une dernière chose cependant :
Prise au second degré, il faut tout de même interroger la logique de cette phrase : comment l'homme (ou la femme) qui a posé des mots sur un bloc d'argile pour la première fois a t'il fait puisqu'il/elle n'avait encore jamais rien lu ?
Par cette question, nous comprenons alors d'autant mieux, je pense, que l'écriture, malgré ce lieu commun énoncé par Mireille, prime, en vérité, sur la lecture, en ce que l'idée précède l'écriture qui elle-même précède la lecture.
L'écriture est avant toute chose, une idée, bien avant sa mise en forme pour qu'elle se pose et s'impose (ou pas) avec ses moyens, qu'ils soient rudimentaires ou raffinés, sur l'argile ou le clavier.
Personne n'ayant le monopole des belles et/ou bonnes idées, il est clair que l'écriture doit donc rester ouverte à toutes et tous.

Publié le 05 Janvier 2021

Tout métier s'apprend auprès d'un maître d'apprentissage. Je suis parfois étonnée en tentant de lire la prose de certaines personnes qui semblent n'avoir jamais lu un seul livre. Selon l'expression, elles mettent la charrue avant les bœufs et ce, dans de nombreux autres domaines. C'est comme si je me mettais à mon compte en tant qu'électricien parce que je sais tenir un tournevis !

Publié le 05 Janvier 2021