Chris Martelli
Présentation

A vélo, en ville ou à la campagne. Je roule et je lis toujours à fond et "sans dérapage".

Chris Martelli a noté ces livres

3
Ah… on se laisse bien facilement prendre dans les tourbillons de votre plume, dans la poésie de vos mots. C’est joliment dit, c’est rythmé. Bravo et merci pour ce voyage au moyen-âge.
Publié le 27 Novembre 2016
3
Une chick lit écrit par un homme, c’est rare ! Et cela donne un récit gai, moderne, vif. Un peu « mâle » parfois, mais pas que. Sentimental aussi, comme on aurait envie que les hommes le soient ! sans se cacher derrière leur fausse pudeur. Et vrai, plein de lucides pensées. A conseiller à tous les amours déçus, à tous les espoirs de revival, etc etc… ps. Vos références de début de chapitres sont un pur plaisir, et parmi tant d’autres, mention spéciale pour « le tourbillon de la vie ».
Publié le 14 Novembre 2016
3
Il y a du Harry Potter, du Star Wars, du MacGyver, du Top Gun !! dans votre récit. Les simulations de batailles s’enchaînent sans pause, trahisons, courage, honneur, patrie, planète à défendre… l’équilibre de la recette est assez juste. C’est virevoltant et très plaisant… Bravo !
Publié le 09 Octobre 2016
3
Vous revoilà, vous aviez disparu pendant l’été pour pondre ce road trip d’antan ? Les amoureux des Alpilles peuvent vous remercier de remuer l’histoire ainsi et de rafraichir les souvenirs ! C’est lent, c’est joli, on sent le soleil, les lavandes, on a envie de trainer avec Olivier et Pomme, et surtout, on est moins bête après !
Publié le 04 Septembre 2016
2.4
C’est très sympa à lire, ce début de roman (je sais que le mot « sympa » n’est pas très beau… mais c’est quand même ce que je pense ! car vos mots sont si bien assemblés, vos idées si bien dites, qu’on le lit si bien). Charlie Baby est un personnage dont vous avez vraiment su dessiner une personnalité de roman : forte, nette, sans compromission, belle, comme son héroïne, Anna Karénine. Et s’il y avait plus de pages, je lui aurais bien volontiers mis toutes les étoiles qu’elle mérite… car on quitte, avec regret, le futur qu’elle ne manquera pas d’avoir.
Publié le 02 Septembre 2016

Pages