Cassandre Martel, vingt-deux ans, croise le chemin d’un mystérieux contact en ligne, Jakab Kátai, avant de commettre une tentative de suicide. Elle réchappe de peu à la mort et fait enfin la connaissance de son correspondant hongrois à Paris.
Tandis que Cassandre se raccroche à l'écriture pour dépasser les expériences traumatisantes qui lui ont fait perdre confiance en elle, Jakab se tourne vers le trafic d'armes pour évacuer sa douleur et sa haine dues à une situation familiale difficile.
Une alliance hérétique, folle et salvatrice.
La tragédie de deux êtres, exilés dans la solitude et la singularité de leurs âmes.
Ce livre est noté par
@Sophie Druard, je vous remercie d'avoir lu mes lignes. Vous pointez certains aspects qui auraient besoin d'être retravaillés, par exemple la répétition de certaines scènes, ce que je suis en train de faire pour resserrer l'action et rendre le récit plus dynamique. On peut y voir des soupçons de gothique, mais je pense que les racines du mal-être qu'éprouvent Cassandre et Jakab ont des causes profondes et bien réelles, abordées plus en détail au fil du roman. Merci beaucoup en tout cas pour votre retour très complet, qui me permet d'avancer.
@Marie Berchoud, merci pour votre retour constructif. Mon pseudo résonne en effet avec l'image des lignes parallèles, très présent dans mon roman. Cela dit, je compte le publier sous mon vrai nom. Je me permets juste de vous dire que vous avez échangé les pseudos, DaMihiMortem désigne bien Jakab et Nocturnal, Cassandre. Quant à dire lequel des deux est le plus désespéré, c'est une question intéressante. Les deux le sont à leur manière, ils se retrouvent dans un sentiment d'extrémisme même s'ils ont traversé des épreuves différentes, et je réfléchis à approfondir le contraste entre eux lors du retravail du manuscrit. Je vous suis reconnaissante pour vos conseils et vous remercie d'avoir mis le doigt sur les aspects qui pourraient être améliorés, par exemple la longueur de certaines scènes, la besoin de resserrer l'action, l'importance de l'essentiel. Ce sont justement des points que je suis en train de retravailler. Un grand merci pour vos encouragements !
Bonjour Bérengère,
Plus que quelques heures avant la remise des prix.
Je souhaite le meilleur à votre ouvrage,
Cordialement, Catarina
@fredo78 : Un grand merci pour cette critique sensible et très attentive. Elle tape en plein dans le mille en reflétant ce que j'ai voulu transmettre dans ce livre.
Merci @Thierry Vitteau d'avoir pris le temps de lire mon roman jusqu'au bout. J'en suis touchée, même s'il n'est pas allé dans la direction que vous auriez souhaitée. Certes, les réflexions peuvent être sombres, mais elles me paraissent assez importantes et graves pour mériter d'être évoquées. J'ai tout de même voulu l'accompagner de lumière.
@Laure Avedian : Je suis toujours ravie de lire les commentaires des lecteurs, quelle que soit leur opinion, donc je vous suis reconnaissante de m'avoir fait part de votre avis. Comme vous dites, je pense que ces lignes résonnent de façon personnelle à chaque lecteur, peut-être selon son âge, mais surtout son vécu et sa sensibilité. L'atmosphère est sombre, mais il s'agit vraiment de sujets que je souhaite évoquer, dénoncer. Les difficultés que rencontrent les personnages sont peut-être plus présentes qu'on ne le pense dans notre société, et ces vies ne doivent pas être ignorées. Cela dit, le noir ne fait pas tout, et j'ai voulu, progressivement, faire entrevoir la lumière. Merci beaucoup pour vos encouragements, il me vont droit au cœur.
Bonjour @MALISA,
Merci pour votre lecture et votre retour. Malgré le fait que vous ne soyez pas parvenue à vous attacher à Cassandre et Jakab comme je l'aurais souhaité, je suis heureuse que vous ayez apprécié l'écriture et la description des personnages. Certaines lignes suivent de curieux chemins que j'ai voulu immortaliser.
@Sylvie Giraud : Je me ferai un plaisir de découvrir les Balkans lorsque j'aurai l'occasion de lire votre roman. Étant donné que je ne connais absolument pas ces pays, c'est une belle perspective. Ces contrées méconnues sont souvent plus chaleureuses qu'on ne le pense et réservent des surprises inattendues.
Je suis auteure et lectrice, et je dois dire que dans mon roman "Le petit lutin de Pristina" qui se déroule au Kosovo et en Albanie, j'accorde moi aussi une importance toute particulière à la description de la nature qui est d'une beauté époustouflante ! C'est un élément incontournable de mon récit à lequel je confère presque le statut d'un personnage... J'ai voyagé à plusieurs reprises dans les pays Balkaniques et c'était à chaque fois quelque chose d'unique... Selon vos dires, ( et je vous crois !) je pense que la Hongrie n'échappe pas à la règle avec peut-être une part de mystère en plus... Et si l'accueil des ses habitants est aussi chaleureux qu'en Bulgarie, au Kosovo ou en Albanie, je ne peux que réserver mon vol !! :-)) Sylvie
@Sylvie Giraud : Merci beaucoup pour votre retour et vos encouragements, ils me font chaud au cœur. C'est toujours enrichissant d'avoir l'avis de lecteurs, je prends bonne note de votre ressenti.
Enfin, je suis comblée si mes mots vous ont donné envie de découvrir la Hongrie... je ne peux que vous recommander ce merveilleux pays.
"Les Lignes exilées" de Parallel, Sélection de février au Prix Concours monBestSeller. Découvrez l'interview de Parallel https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/10785-les-lignes-exi....
Merci beaucoup, Élisabeth, pour tant d'enthousiasme. La lumière et l'espoir sont là.
Merci pour votre retour, @lamish. Il me fait très plaisir, surtout si vous n'avez pas l'habitude de lire sur ce sujet. Je suis contente que vous vous soyez attachée aux personnages et ayez saisi leur complexité.
"Les Lignes exilées " est le "Livre le +" du 22 février. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/10747-parall.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteure, c’est pour cela qu’elle a publié son roman sur monBestSeller.
Merci à vous, @Chris Martelli, d'être venu me lire, de m'avoir fait part de votre ressenti et de vos réflexions. Si ces mots sont indélébiles, alors cela veut dire énormément pour moi. Je suppose que certains textes viennent du plus profond de nous-mêmes. L'écriture libère et mène à la lumière. Et parfois, il est beau de garder une part de secret.
Merci d'être venue lire ces lignes, @Sandrine C. La noirceur et la tristesse sont là, mais j'ai essayé de les rendre belles. Je suis touchée que vous vous soyez attachée à Cassandre et Jakab, et que vous ayez perçu de l'espoir.
En effet, le rythme au début, avec les échanges de messages, est assez différent par rapport à la suite du roman, mais cela me paraissait un passage obligé. Nécessaire pour rentrer dans leur monde, comme vous dites.
Par rapport au manque d'empathie que vous décrivez, je serais curieuse d'en savoir plus. Est-ce un manque d'empathie de la part des personnages, ou bien le fait que vous n'avez pas ressenti assez d'empathie pour eux ?
Merci beaucoup @ox 61 pour votre commentaire encourageant. Je suis heureuse que vous ayez aimé, et que ce livre ait pu résonner personnellement en vous.
vous m avez fait voyagé , c était sublime ! avec ce livre je comprend un peu les choses qui me hante , merci a vous et bravo
Merci beaucoup, @Kiran Syrova. Le sujet est délicat, en effet, mais il me semble important. J'ai essayé de l'aborder comme le soufflait mon cœur. Ces démons sont de ceux qui persistent, mais je caresse l'espoir que l'on puisse un jour s'en libérer.