Passion et flétrissures

Bonjour,
merci de votre retour et de votre petit cours de vocabulaire. Peut-être devrais-je remplacer alors mélo. par pathétique: à mi chemin entre émouvant et pitoyable.
Oui je vous ai lu jusqu'au bout, dans l'ensemble avec plaisir et curiosité.
En tout cas, merci de votre écrit.

@JFLorne
Votre commentaire, dont je vous remercie, appelle deux remarques de ma part:
Primo : le "mélo" se définit comme "compliqué, pathétique et peu vraisemblable" : or il n'y a pas une seule ligne dans mon livre (témoignage d'une passion amoureuse telle qu'exactement vécue) qui ne soit pas la stricte réalité.
Deuxio: vous m'avez quand même lu, semble-t-il : or le seul véritable but d'un livre, c'est justement d'être LU, et je suis heureux d'avoir pu capter un moment votre esprit. Ce privilège de communion avec autrui est la vraie récompense d'un auteur, quel qu'il soit...

un peu mélo. mais lisible.

Imposs de lire un livre, tous ne me donnent que la flèche de gauche, donc accès à RIEN

4

Pas mal

@LIBERTUDE: Merci pour ce commentaire précis et sensible. J'apprécie particulièrement votre citation de Mark Twain : c'est très exactement ce qu'elle et moi avons brièvement vécu, comme si à deux reprises à 16 ans d'intervalle,une porte s'était entrouverte pour nous sur le paradis, nous faisant croire à l'impossible.
Je penses aussi à Jankélévitch : "Seul l'amour, inestimable dans sa générosité infinie, confère une valeur à tout ce qui est; et le fait d'avoir vécu un bonheur éphémère reste un fait éternel que ni la mort ni le désespoir ne peuvent annihiler".

Très belle histoire, mélange de romantisme à "l'ancienne" et de modernité dans l'expression de la sensualité, accompagnée d'une précision "chirurgicale" dans le souvenir. Concernant cette belle histoire d'amour à tendance destructrice finalement abandonnée en conscience, je pense irrésistiblement à cette phrase de Mark Twain, "ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait". Seul petit bémol, par moment ma pudeur a été mise à rude épreuve.

@Sheriff : Avoir pu vous plaire, cher lecteur, quelle belle récompense ! Merci à vous.

J’ai bien aimé !

@Morcire sanoh : Votre note témoigne du plaisir que la lecture de "Passion et flétrissures" à dû vous procurer, et j'y suis profondément sensible. Merci, cher lecteur, d'avoir vous-même accepté ce message de bienvenue dans ma propre vie que j'ai voulu formuler en écrivant ce livre.

Bienvenue

J'ai adoré !

@jbonni : Votre commentaire me va droit au cœur. C'est pour des personnes comme vous, sensible et ouverte à autrui, que j'ai écrit ce récit. Je suis profondément heureux qu'il existe toujours en cette époque des âmes romantiques, et qui n'aient pas peur de le proclamer ! Je vous souhaite une bonne fin de lecture, en espérant jusqu'au bout ne pas vous décevoir. Merci encore, chère lectrice.

@Philippe Ribagnac : Je n'ai pas encore terminé la lecture de votre livre mais je tiens déjà à vous dire que c'est un réel bonheur ... bien écrit, vocabulaire fourni (ce qui n'est pas toujours le cas), on s'attache aux personnages (que j'appelle comme tels, même si j'ai compris qu'il s'agissait de votre propre histoire). Et puis quelle belle histoire! On en rêve un peu toutes ...
J'en suis à la page 166, je vais le terminer aujourd'hui. Bref, merci, vous avez bien fait de l'écrire!

@Annie-Pic : pour info, je me permets de vous signaler ma mise au point du 13 août faite à un nouveau lecteur, en rapport avec votre propre commentaire sur mon synopsis en juin dernier,

@Saint-Bleyras : Je vous remercie pour l'intérêt que vous voulez bien porter à mon livre.

En vous lisant, je me rends compte de l'erreur que j'ai commise en ne démentant pas immédiatement le propos d' Annie Pic du 7 juin mettant en cause la sincérité de ce témoignage d'un lecteur que j'ai pris comme synopsis. Je tiens à votre disposition la preuve de sa parfaite véracité (lettre manuscrite du 3 avril 2019 de cet ancien client, ex-dirigeant d'un grand cabinet de recrutement "chasseur de têtes" , donc a priori digne de foi...).

J'espère qu'au bénéfice de cette mise au point, assurément importante, vous n'aurez plus de réticence à vous jeter dans la lecture de mon petit bouquin...

@Lila L P.S : En même temps, j'avoue m'être moi-même surpris à constater à quel point on peut vraiment TOUT dire quand on sent qu'on trouve les mots justes...Le risque d'impudeur était le prix à payer pour que le lecteur perçoive à chaque page mon absolue sincérité et mon invitation à s'évader un moment en toute complicité dans ma propre vie...

@Lila L Merci pour l'honnêteté de votre commentaire : Je crains hélas que la folle passion romantique à la Chateaubriand ou Lamartine ne soit elle-même devenue surannée, mais toute femme doit savoir jusqu'à quel point elle peut marquer de son emprise un type a priori "normal", pas spécialement névrosé mais simplement en quête de sincérité et d'exigence amoureuse tel que j'ai pu l'être moi-même en ce 20 ème siècle pas si lointain...

En tout cas, je suppose que seule une profonde passion peut expliquer autant de souvenirs précis, et la seule ambition de mon récit tient justement dans cette rigoureuse authenticité jusque dans les moindres détails, comme témoignage du caractère indélébile d'un " grand " amour.

@Agostini François-Xavier

Merci pour votre commentaire : nous sommes sur la même longueur d'ondes, ce qui me motive à aller dés que possible jeter un œil à votre propre livre. En effet, figurez-vous que j'avais envisagé comme titre provisoire de mon récit : "Baby boom et badaboum ! La fin du romantisme"...

Ceci dit, je persiste à penser que même au 21ème siècle, la passion amoureuse reste un privilège fantastique et qu'il ne faut surtout pas avoir peur de la regarder en face ni de l'assumer quand elle daigne venir frapper à la porte de notre petite existence.

Bonsoir, efficace, à découvrir. Vous parlez de flétrissure, chacun sur terre a ses marquages au fer rouge, que l'on souhaite cacher en fonction du métier ou de la vie que l'on mène. C'est comme Julia, Sophia et Clémence dans mon roman "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" en lecture sur monbsetseller, chacune a ses flétrissures qui, soit, empêchent d'avancer soit vous font prendre des chemins osés que d'autres ne veulent pas essayer. Quant à la passion c'est une idée romantique qui s'est effilochée au XXIéme siècle. Vous dites introspection les anglais disent : "self-examination" c'est utile parfois, mais trop d'introspection abaisse la charge émotionnelle et diminue l'envie d'avancer. Il y a mieux que l'introspection il y a l'imagination que vous avez pour écrire. Quant au style, qu'il soit classique, ordinaire, académique, délirant et fantastique comme dans "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" qu'importe ! Chacun son style, le jugement des autres on s'en moque bien. Bonne lecture AGOSTINI François-Xavier