Je mets au défi tous ceux qui veulent refaire le monde de trouver des idées de notre futur plus réalistes et cohérentes que celles qui sont présentées dans ce livre d'anticipation !
Car le but n'est pas ici d'emporter le lecteur dans un vain délire de visions fantasmatiques , mais de l'inviter à un voyage instructif dans ce qui est scientifiquement NOTRE FUTUR LE PLUS PROBABLE :
L'humanité, gavée de technologies et promise à une quasi-éternité, pourra alors enfin comprendre où se situe vraiment pour elle le NEC PLUS ULTRA :
- le plus qu'on peut vouloir,
- le plus qu'on peut avoir,
- le plus qu'on peut aimer !
Sous forme d’une palpitante aventure de science-fiction, cet ouvrage expose une vision précise du bonheur futur, compatible avec les connaissances actuelles.
@Ursula Warnecke
Juste deux petites précisions :
1 - Mon style n'avait pas été jugé particulièrement déficient lorsque le comité de lecture de mBs accorda à ce livre le coup de cœur de la semaine début janvier 2023;
2 - Il est quand même singulier que vous ravaliez mon texte à une vulgaire paraphrase d'articles pris sur internet alors que de votre propre aveu, vous n'en avez lu que le début ! Si vous aviez poursuivi votre lecture, vous auriez pu constater au contraire l'originalité de la synthèse que j'ai réalisée, que je vous mets au défi de trouver où que ce soit ailleurs.
@Philippe RIBAGNAC Monsieur, je n'avais fait qu'exprimer mon désaccord sur vos spéculations et je persiste. Aussi intéressantes soient-elles, ce ne sont que des théories. Et concernant votre style (je me permets, tout comme vous, dans le commentaire sur mon livre), j’aperçois cette rupture entre le parler tantôt scientifique d’article Google et l’autre, plutôt populaire, en restant poli, de votre protagoniste. Ces deux faces du même personnage lui donnent un côté bipolaire un peu improbable. Mais je laisse là nos opinions divergentes et vous souhaite une belle vie (peut-être éternelle dans une capsule spatio-temporelle.
@Ursula Warnecke
Merci de l' intérêt que vous avez bien voulu manifester pour le début de mon livre.
Il me semble que vous négligez un élément pourtant absolument essentiel au sein de l'Univers : l'émergence de l' esprit, dont la caractéristique décisive est précisément l' individualité (qui nous distingue des fourmis).
L'évolution de l'esprit humain (assisté désormais de l' IA qui vous est si chère) est à ce point fantastique à l'échelle du Cosmos tout entier qu'elle autorise selon moi TOUTES les spéculations, et c'est à quoi j'ai voulu me livrer avec le maximum de rigueur intellectuelle dans "Nec plus ultra".
Alors, voila, quelques chapitres plus tard, j'arrête de lire votre livre. Intéressant, certes, tellement humain. Humain à ne pas accepter la mort, la disparition de soi-même. Cet égoïsme humain de penser que nos petits egos ont une importance primordiale pour l'univers... Je n'ai moi-même pas accepté la mort non plus. Je la hais, je je la disparition de mon moi et des êtres qui me manquent. Mais ce sont les lois de l'univers, nous faisons partie de cette chose que nous appelons la vie et la mort en fait parti. On est voué à un éternel recyclage de nos cellules, atomes et electrons. Quelle prétention de penser que nous sommes tellement important pour mériter l'éternité en tant qu'individu, vu ce que notre existence, pourtant si destructrice et autodestructrice cause autour de nous. Non, j'arrête de lire votre récit, je comprends votre essai de vouloir combattre votre propre disparition, mais il faut arriver à l'accepter.C'est la peur de ça, reconnaissez le, qui vous fait inventer des systèmes de survie de nos egos. Il serait plus important de disserter sur la preservation de cette vie sur cette planète à mon humble avis.
En vous souhaitant une belle vieillesse et bonne continuation!
Bonjour, je n'ai pas encore fini votre récit, mais il me démange de vous écrire un petit mot déjà en arrivant à la page 25.Je trouve intéressant votre procédé de réflexion, à nous diriger la ou vous voulez aller. Concernant la conscience, le Soi, qui pourrait être transposé dans une machine par exemple (voir même dans un genre de paradis, de fusion avec l'univers) j'ai des sérieux doutes convenant le fait physique du fonctionnement de notre cerveau. Quel "moi" sera transplanté ? Celui augmenté par notre propre "deep learning"? Nous sommes en grande partie nous-mêmes constitués de notre apprentissage de toute une vie. Sauf que ce savoir accumulé disparaît avec le grand âge et s'évanouit dans la senelité, ou plus tôt, comme dans le cas de mon compagnon, victime d'un accident cérébral qui a passé les 5 dernières années de sa vie à côté de moi dans un état grabataire. Sa mémoire et toutes ses connaissances avaient quasiment disparus, restaient les émotions, les sentiments. C'était bien lui, mais plus le même. Alors qui nous sommes réellement, qu'est-ce qu'on peut et qu'est ce qu'on ne gardera pas de nous?
Ou faut-il simplement faire tout ce qu'on peut faire de notre vivant et accepter la disparition que la biologie nous impose ?
Je vais continuer votre livre.
Cordialement Ursula Warnecke
@Philippe RIBAGNAC. Lol! Cela fait longtemps que je vais sur ce site, je lis beaucoup d'histoire ICI, mais j'utilisais l'ordinateur de ma fille, et donc son compte ! Et comme je viens d'acheter une tablette je me suis fait un compte et voilà j'ai voulu écrire un commentaire !! J'avoue que je suis un peu choquée de votre réponse, je ne vois pas pourquoi j'aurai mis des étoiles sans lire le live ! J'étais contente moi, de vous envoyer ces étoiles ! Bonne journée !
@Sophie Etallak
Comment pouvez-vous mettre ce livre dans votre bibliothèque hier à 22 h 36' et le noter - avec trois généreuses étoiles- aussitôt après à 22h 38' ?????
Je sais qu'on peut avoir un HPI, mais à ce point là !
@BAITZ Pierre Heol
Difficile d'échanger avec quelqu'un qui a peur de montrer son visage, qui se complet dans le mystère et l'absurde et qui - péché ultime - est fâché avec l'orthographe...
Soit vous n'avez pas lu mon livre, soit vous n'y avez rien compris : dans les deux cas, je ne vois pas comment vous répondre.
"Il m'a fallu un effort intellectuel puissant pour parvenir au schéma cohérent que je revendique".
Affirmer cela laisse sous entendre qu'un mensonge plane sur l'aide d'une AI. un auteur peux très bien avoir eu l'aide de son avatar du Metaver. Attention de ne pas être pris à son propre jeux.
l'essai est une suite de déballage de théorie scientifique sans âme, sans "esprit humain", sans sentiment. La croyance (ou pas) au sujet de la résurrection est une part de ce qui fait que nous soyons humain.
non, nous ne sommes pas vivant ou mort (p46). une part de mystère persistera et doit persister en dehors des théories de la science.
et ce n'est pas parce qu'une AI m'assène ces croyances scientifique qu'elles sont vrai.
Cet essai est l'encéphalogramme plat d'un Artifice Intellectuel.
Le méchant jaloux.
@Annie Pic
Merci pour cette mise au point :
"Choisir à la carte nos émotions du jour", comme vous l'écrivez, n'est-ce pas déjà ce que nous nous délectons sans cesse à faire, par exemple en choisissant notre programme TV du soir dans l'infinité des offres disponibles toujours d'avantage ?
Une belle vie terrestre restant la plus grande aspiration concevable, faut-il redouter une éternité garantissant tout simplement sa pérennité, avec tous les plaisirs et les peines qui vont avec (y compris l'ennui quand il n'est qu' intermittent), mais où sont simplement éradiqués les maux IRRÉMÉDIABLES ?
Quant à la question de la raison de nos existences, j'essaie d'expliquer à partir des données de la science quantique que ce ne peut être que le HASARD...C'est ce prologue de mon livre qui est selon moi le plus important, car il est 100% rationnel, donc crédible...
Bien à vous
Philippe
@Philippe RIBAGNAC
Je ne remets pas en cause votre excellent travail de recherche et son résultat. Je vous félicite pour sa cohérence.
J'ai très bien saisi votre théorie d'une réincarnation électronique se situant dans le cyber monde.
En définitive recréer le même schéma que nous vivons ici-bas, avec la mort en moins, et la possibilité de choisir à la carte nos émotions du jour, ne m'attire pas.
Pour ma part, cette nouvelle vie, se révèlerait plutôt comme une prison éternelle. Car même en usant de toutes les ficèles, je ne vois pas l'intérêt de recréer un monde privilégié qui revivrait ad vitam æternam, les joies, les peines, les bonheurs, les malheurs ; puis de tout effacer, recommencer, etc, etc.
Dans notre monde, vieillir jusqu'à 120 ans et plus, pourquoi pas ; mais à condition que nous profitions de toutes les technologies nous permettant de bloquer le processus des maladies et de la dégradation, et ce justement grâce aux xénobots, qui œuvreraient en permanence à l'intérieur de nos corps.
Rassurez-vous, j'ai conscience que nous ne vivons pas dans un monde de bisounours, mais c'est le notre. Quant à l'ennui, il nous permet de développer notre créativité. Il suffit d'utiliser les bonnes clés.
Nous n'avons rien choisi ; ni notre naissance, ni notre hérédité, ni notre langage, ni notre vieillesse, ni notre mort !
Qui nous impose cela ?
Par quel miracle sommes-nous arrivés sur cette terre avec un temps programmé ?
Votre essai se tient.
Peut-être, sommes-nous déjà la mise en application d'une certaine immortalité.
Bien à vous, Annie
@Annie Pic
Vous m'avez lu trop vite !
Mon propos va bien au-delà de celui de "Life forever" traité dans l'article publié sur "We Demain" et que j'avais moi-même déjà évoqué dès 2015 à propos de l'expérience "BINA 48" (cf.page 107 de mon ouvrage "L'argent d'autrui ", également publié sur MBS).
Car le vrai challenge intéressant n'est pas de reconstituer un avatar qui nous ressemble parfaitement au point de réagir électriquement en transmettant des sensations tactiles aux humains utilisant ce métavers en pouvant même évoluer de façon autonome grâce à l' I.A. :
Dans "Nec plus ultra", il ne s'agit plus de simulations mais d'une RÉINCARNATION électronique dans laquelle l' hologramme éprouve lui-même physiquement toute la gamme des sensations corporelles -plaisirs autant que souffrances - grâce à sa composition en cellules électroniques VIVANTES (mais indéfiniment auto régénératrices) qu'on nomme Xénobots.
Ceci change absolument tout, car on dépasse la distinction terrestre entre l'avatar et l'humain qui tient les manettes, pour parvenir à un nouvel être à part entière qui n'a plus besoin d'un humain pour tout ressentir directement lui-même : ce n'est donc plus un JEU métaversien, c'est carrément une nouvelle VIE, mais désormais éternelle car totalement affranchie de toute existence terrestre !
Désolé, mais se borner à "bien vieillir" en regardant jusqu'à 120 ans nos corps se dégrader inexorablement malgré les pathétiques effets retardateurs de la médecine ne me séduit pas vraiment... Pas plus que l'obsession d'égalité entre les individus : j'aimerais bien connaître votre recette à vous contre l'ennui dans une société constamment "chaleureuse" pour reprendre votre terme.
Et je regrette que vous n'ayez pas davantage capté la particularité de mon essai : sauf erreur, personne n'avait encore sérieusement tenté de simuler l' ORGANISATION de ce que pourrait être une véritable vie éternelle : comment ressentir l'ivresse de la vie sans la peur du trépas ? À quel âge devront vivre les immortels ? Comment éviter l'ennui si tout tombe "tout cuit", si "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil " ? Il ma fallu un effort intellectuel puissant pour parvenir au schéma COHÉRENT que je revendique.
Merci en tout cas pour cet échange.
@monBestSeller
Le petit cœur que vous avez bien voulu attribuer à "Nec plus ultra" dès sa publication
méritait vraiment semble-t-il cette distinction :
Le tout premier commentaire d'un lecteur de ce livre sur mBS disait : "À NE PAS RATER" !
Le dernier reçu à ce jour reprend , comme en écho : "À LIRE DE TOUTE URGENCE".
Voici assurément les plus beaux compliments qu'il puisse être donné de lire à un auteur sachant qu'ils émanent de lecteurs qui m'étaient totalement INCONNUS, contrairement à tant de jugements de complaisance.
Le sujet est pourtant fort exigeant car, à la différence de beaucoup d'autre ouvrages publiés ici, je ne cherche pas uniquement à divertir mais avant tout à instruire et ouvrir une réflexion scientifique sur la DESTINÉE HUMAINE. Je suis donc comblé de voir que cet objectif a été superbement atteint... Merci à votre site de permettre parfois des échanges de cette qualité.
Philippe Ribagnac
@Michel Ettewiller
Le tout premier commentaire de "Nec plus ultra" disait : "À NE PAS RATER" !
Le vôtre, dernier à ce jour, reprend comme en écho : "À LIRE DE TOUTE URGENCE".
Voici assurément les plus beaux compliments qu'il puisse être donné de lire à un auteur.
Contrairement à beaucoup d'autre ouvrages publiés ici, je ne cherche pas uniquement à divertir mais avant tout à instruire et ouvrir une réflexion scientifique sur la DESTINÉE HUMAINE. Je suis donc comblé de voir que cet objectif a été superbement atteint...
J'ai repéré votre propre ouvrage que je vais consulter dès que possible.
@A.P.Gounon
"Nec plus ultra" de mon lectorat, ces derniers jours !
Après Zoé Florent et Alain-Paul, j'ai donc eu la chance d'être lu par vous : qui mieux que l'autrice du "Cycle d' Harmonie" pouvait être apte à apprécier dans ses moindres détails le travail "démiurgique" intense et exigeant de se mettre à la place de Dieu, fût-ce pour le temps si bref d'un petit livre...
C'est amusant mais votre réflexion première sur mes "vieilles peaux" semble sous-entendre que je serais plus jeune que vous, ce qui ne me semble pas du tout évident, surtout au vu de votre si élégante photo, car j'ai 73 ans : mais merci quand même pour la phrase d' Oscar Wilde que je n'avais pas su apprécier à sa juste valeur jusqu'à présent.
J'adore votre "pinaillage" :
1)- Désactiver la fonction d' ennui ? C'est une pirouette de ce genre que j'ai utilisée pour neutraliser les cyber-atteintes venant du "MAL ABSOLU", ou pour protéger les mortels des abus de pouvoir des immortels :
Mais l'ennui fait partie de ce que j'appelle le "MAL UTILE" : c'est l'indispensable signal permettant à la conscience de comprendre qu'elle doit changer d'activité, évoluer, et par là-même s'enrichir et se bonifier...
2) - Pérennité des ordinateurs ?
La qualité exceptionnelle de leurs composants futurs (condensats d'atomes du hard-ware, Q-bits du soft-ware), ne sera effectivement pas suffisante pour garantir la même éternité absolue que celle de la "mer de Dirac" même si elle se compose essentiellement comme elle d'électrons.
En revanche, cette éternité absolue pourra provenir de la capacité d'auto-régénération dont l'intelligence artificielle sera capable ainsi que le "jeu de la vie" de Conway le prouve déjà (le jeu finit par générer lui même un jeu autonome en son propre sein !), et ainsi que pourra le confirmer l'intégration dans les machines de ces Xénobots organiques - déjà expérimentés à Harvard - que j'évoque dans le livre (= puces électroniques de nature biologique, dont la propriété physique principale est .la capacité de s'auto répliquer !).
Votre conclusion de rejet du "paradis" électronique, partagée par Zoé comme par la plupart des lecteurs, est sans doute influencée par la chute glaçante que j'ai voulu donner au livre dans un but, je l'avoue, de pur divertissement du lecteur plutôt que de cohérence avec le fond de mon message : en pure logique, j'aurais dû m'en tenir à ce cybermonde LE MOINS MAUVAIS POSSIBLE que je m'étais efforcé de construire jusque là . Car il me semble qu'il faut une certaine dose de mauvaise foi pour lui préférer un pur néant...
Merci en tout cas de votre intelligente et bienveillante lecture.
Philippe
@Alain-Paul
Ravi d'avoir pu intéresser un auteur de votre calibre, dont j'ai beaucoup apprécié l'extrait sur MBS de "Si c'est amer, tu dois l'aimer" !
J'ai d'ailleurs trouvé dans votre texte une brève réflexion qui recoupe, curieusement, la conclusion de mon "Nec plus ultra" :
"La disparition spectaculaire de la détresse de l'enfant l'avait renvoyé à son néant".
Sur le fond, je me permets une remarque à propos du caractère "libérateur" du bouddhisme : pour moi, la fusion de l'esprit dans la nature revient à nier ce qui dans l'âme est le plus sublime : la petite part de SINGULARITÉ qui habite chaque esprit humain et qui, seule, rend l'INDIVIDU irremplaçable... Le paradis que j'ai voulu décrire respecte cette autonomie de la conscience individuelle : est-ce vraiment si inquiétant et rébarbatif ?
@Zoé Florent
Pardon pour mon léger retard à vous répondre. Je le confirme, c'est un réel privilège d'être lu par vous, car on retrouve dans vos commentaires la finesse d'analyse, l'élégance et l'amour de la vie qui illuminent vos propres livres.
J'ai donc cette fois encore réussi à vous intéresser, et j'en ressens une VRAIE fierté.
Je suis particulièrement touché par votre "impression de suivre en temps réel des raisonnements issus de votre esprit..." car, figurez-vous, c'est exactement ce que me disaient mes clients quand je réfléchissais tout haut devant eux pour faire progressivement émerger des solutions à leurs problèmes juridiques ou fiscaux.
À propos du phénomène de la conscience , je vous avoue humblement que certains aspects de ce problème si difficile (cf.David Chalmers) me dépassent largement moi aussi ! Mais je tiens à bien distinguer le mécanisme de la conscience du simple objet de celle-ci que sont les souvenirs. Dans le livre, je me borne à observer ses 3 niveaux superposés, ainsi que l'analogie de la conscience de soi avec un "feed back" informatique, un miroir renvoyant notre pensée à l'analyse d'elle même tel un super-programme chargé de contrôler le programme de base.
En fait ce qui continue de résister à l'analyse, c'est ce ressenti purement subjectif, sans aucune nécessité informative, appelé "QUALIA" : une sorte de plaisir "masturbatoire" de l'intelligence...
Votre appréhension instinctive à l'encontre de la vie éternelle que je tente de décrire est partagée par ma fille (mon autre lectrice préférée, qui est prof d'économie/compta dans une université canadienne). Mais ce n'est pas à une femme que j'apprendrai l'attrait quasi surnaturel de la CURIOSITÉ : pour pouvoir continuer d'assouvir celle-ci toujours plus loin, l' éternité (assortie de quelques temps de pause s'il le faut) n'est-elle pas quand même plus efficace que le vide stérile du repos éternel ?
Et si dans le livre j'insiste sur l'impossibilité de sortir de sa sphère temporelle d'éternité (encadrée par la durée de sa vie biologique), c'est pour sauvegarder ainsi à perpétuité le mystère du futur, dont je devine qu'il vous est, comme à moi, indispensable pour garder sa fraîcheur d'esprit...
Merci encore Michèle pour ce partage qui me ravit.
Bien à vous
Philippe
@Mary Montcalm
J'ai été avisé hier d'un commentaire de votre part sur mon livre "Nec plus ultra" mais curieusement, rien ne s'est affiché !
Je suis d'autant plus curieux de pouvoir vraiment vous lire si le logiciel de MBS veut bien corriger ce bug...
Bien à vous
Philippe
@Zoé Florent
Double plaisir en découvrant votre message :
1 - d'abord, j'ose le dire, le charme votre nouveau look !
2 - et bien sûr, la fierté d'avoir pu commencer à vous intéresser , en espérant que la suite du livre ne vous décevra pas trop...
J'ai lu votre texte "Bio", fort instructif, sur les "PN". La relation faite avec certains commentateurs du site donne à réfléchir ! Une nouvelle fois, vous faites la preuve de votre authentique liberté de pensée, et ça fait du bien.
@LIBERTUDE
Pouvoir -modestement- vous apprendre des choses que vous jugez intéressantes, c'est la meilleure récompense à l'effort intense qu'a nécessité la rédaction de ce livre où j'ai voulu coller au plus près des données scientifiques et culturelles avec l'obsession que tout réponde à une logique : car dès qu'on veut décoller de la réalité immédiate pour tenter d'extrapoler le futur, on s'expose à une multitude de contradictions extrêmement difficiles à gérer...
Je crois savoir qu'outre votre propre ouvrage "Quand les sirènes ne chantent plus" qui fut coup de cœur sur MBS, vous êtes l'auteur de poèmes : aura-ton le privilège de les lire un jour ici ?
@Six-Blaireaux
Merci pour ce commentaire. Je suis heureux de ce partage de vue sur l'importance de la COHÉRENCE : c'est une exigence clairement indispensable dans une œuvre de fiction (qui sans crédibilité n'a que peu d'intérêt), mais il me semble que c'est aussi un principe clé pour construire sa propre vie. Au plaisir de vous lire bientôt sur ce site ?
@Philippe RIBAGNAC Bonjour Philippe,
En train de vous lire et d'ores et déjà bien hameçonnée, je viens de prendre connaissance de la mise en avant de votre roman. Aussi je tiens à vous féliciter avant mes retour et distribution d'étoiles, qui ne sauraient tarder. Bonne journée et meilleurs voeux de bonne année (je crois être encore dans les clous ;-)) !
Amicalement,
Michèle
Il y a des choses passionnantes à découvrir dans ce livre: j'ignorais par exemple ce qu'est un zombie philosophique, un robot biologique (xénobot), le claustrum, (siège de la conscience dans le cerveau), les "qualia"...
J'apprécie l'allégorie de cet ordinateur central dénommé "N.O.É", dont le cybermonde a sauvegardé toute l'information venue du monde terrestre, à l'image de ce que fit l'arche du fameux patriarche pour la survie de la faune et de la flore.
@bernadetteL
Votre réaction traduit très bien les enjeux du livre :
L'enrichissement intellectuel que j'ai cherché - le plus honnêtement possible -à apporter aux lecteurs dans cette réflexion sur un FUTUR IDÉAL n'était possible qu'avec un minimum d'informations et explications d'ordre scientifique et littéraire pour vous démontrer que je ne me moque pas de vous avec des affirmations gratuites plus ou moins fantasmatiques, mais qu'au contraire je veux vous donner quelques clés sérieuses vous permettant de poursuivre utilement votre propre réflexion sur ce sujet si important : de quoi l'avenir pourra-t-il bien être fait ?
NB : J'ai bien noté votre suggestion de reporter le prologue en fin d'ouvrage : je réfléchis à le faire dans la prochaine version du livre en cours. Merci à vous !
@Antoine Loiseul
J'apprécie la précision et la pertinence de votre commentaire : votre synthèse est si bonne qu'elle pourrait pratiquement tenir lieu de synopsis à mon livre !
Je vous confirme que ce mixage littéraire roman/philo/sciences est un exercice fort difficile quand on cherche à le faire avec honnêteté et rigueur dans le seul but de stimuler l'intelligence du lecteur tout en le divertissant autant que possible ! Vous ne pouvez imaginer les efforts de COHÉRENCE que j'ai dû déployer pendant des mois pour aboutir à une fiction aussi futuriste qui puisse néanmoins se tenir de bout en bout ... Rien n'est plus "casse-gueule" que le thème que j'ai voulu traiter !
Je prends bonne note de votre remarque sur le côté parfois un peu technique du texte : c'est hélas le "prix à payer" pour démontrer au lecteur que je ne raconte pas vainement un énième délire futuriste, mais qu'au contraire, RIEN dans tout ce que j'écris n'est incompatible avec les connaissances scientifiques actuelles.
Merci à vous
@philshycat 2
Votre brève mais gratifiante appréciation me comble, venant d'un petit génie de la philosophie dont je viens d'apprécier à sa juste valeur l'essai "Philshycat 2" publié sur MBS, où vous inventez le fort intéressant concept de PHILOFICTION. Nous nous intéressons manifestement à des thèmes communs et, comme vous, il m'arrive d'utiliser l'érotisme comme catalyseur (cf "L'homme qui ne voulut pas mourir idiot), voire carrément la scatologie ("Fables très culottées").
Je suivrai avec intérêt l'exploitation que vous parviendrez à faire de votre prometteuse "philofiction" !
Marié et père de trois enfants, je suis avocat d'affaires à la retraite.
Je ne cesse désormais de me documenter sur la physique...
"Nec plus ultra" est le "Livre le +" du 6 janvier. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Philippe RIBAGNAC, c’est pour cela qu'il publie ses romans sur monBestSeller.