« Une dernière cigarette » entraîne le lecteur dans un univers imagé où Marie, une jeune fille, visite de façon obsessionnelle le cimetière dans lequel son papa adoré est enterré. Loin d’être une danse macabre, le début du texte est surtout un dialogue surréaliste entre une fille et son père disparu brutalement.Faire son deuil et grandir, tel est le chemin de Marie jusqu’à ce que celle-ci rencontre le Conquérant : « Il est d’une beauté brute rare, charpenté, adule les rois de France et roule en voiture de collection ».
Entre fantasme et réalité, chacun des personnages joue sa partition folle dans un monde où nul n’échappe à ce que la nature a prévu.
Ce livre est noté par
@SISSOKO Aïssata
Merci beaucoup, vous êtes tombé(e) à point nommé avec votre joli commentaire.
Sylvaine
.......Bonjours les silences,................................................................................... ............ ......Bonjours Sylvaine Allié,............................................................................ ............ ...................... .....Bonjours tous les silences, les silences de mBS, les silences de la vie, tous les silences qui font les bruits qu' on n' entends pas. Et ceux qui ne sont pas des bruits et qui le deviennent. Voici le texte envoyé sur Messenger................. ............ ................... ................ .......................... ................................................................................. ...............................................................
......Je n' ai pas bu le bouillon... Yo ! alors j' appuie... Tu as eu de bonnes impressions ?... Eh bien tournes, tournes encore, envoles-toi, voles, prends le ciel, il est assez grand, il y a de la place pour toi. Mets le couteau dans les dents, révèles-toi, éveilles-nous, tu nous en donnes l' envie, pour 2020, il est le souhait que je te fais. .... ......................................................................................... .....Et je me demande, après quelques jours d' avoir lu ton ouvrage, j' ai comme une sensation d'être au bord d' en haut de quelque chose qui est haut et ça me turlupine entre les oreilles, je ferme les yeux................. ................. ............................................................. ................. ............................. .......................................... .................. . ................. ........................ ..............
.....Voilà,... ...Ceci. Comme il est; ton père, il fait seul, il fait caillou; comme il est, le Conquérant, il fait seul et caillou aussi. Ils font tous les deux cailloux parce qu' ils flottent ou bien ils volent dans un vide de fond. Un vide de décorum, un manque. Deux forces, deux gros cailloux, deux énormes cailloux, deux piliers et qui ne posent nulle part. Deux piliers majeurs, mais '' majeurs '' de quoi ? Il n' y a rien d' autres. ( il est où, il est comment le courant de la vie dans ton récit ? ). ................. .....Ce qu' il suffit, peut-être, c' est un arrangement, une disposition autre, un socle, une assise aux deux piliers pour qu' ils soient plus démontrables, mieux considérés, - d' un accès moins trigonométrique -. Ce serait de commencer à adoucir les présentations, de part le volume, l'imposition, le nerf apporté à ton récit, poser du rose, de la vie, du charme, une pelouse douce et grasse, de l' origine, une histoire qui émerge et qui s' élance. Ta romance '' père-fille '', il y a 23 années qui ne sont pas là, une fondation pour le pilier '' père ''. Cours les papillons, montres tes poupées, chantes, chantes faux mais chantes, aimes et balances, des amis et la balançoire, - un épanouissement envié -. De même pour le Conquérant, vas-y, jettes du bleu, du bleu beau, du bleu clair, religieux, vas-y ! Poses de la dentelle, triches les tricheurs, sers le vin, danses ivre, galopes une chaise, embrasses un bouquet de fleurs comme tu embrasses ta mère. Ainsi tu allonges tes écritures, tu embellis ce qui devient une histoire et tu sacralises d' autant les valeurs des sentiments d' amour pour ton père et pour le Conquérant. Une oeuvre plus complète, plus à lire, plus commerciale, moins un événement, pas un témoignage, - le roman d' un roman -......... ....... ......... ............................... ............................ ........................................................................... ......Voilà ce que je pense doucement, j' ouvre les yeux. Je te prie pour que du bonheur t' arrose, je te souffle, en défilé et en nombre, les visages de mon affection et de mes sympathies.
@Bruno Verdin
Non !
@Bruno Verdin
Cher Bruno Verdin,
Longue balade en fête foraine que de lire votre commentaire. Oui, c'est encore Noël, merci de vous être lâché dans une critique aussi longue qu'originale.
Elle est un petit cadeau oublié au fond de ma hotte (je ne vous « ouvre» qu'aujourd'hui) de laquelle jaillit combien de mots d'ailleurs ? Vous en avez écrit beaucoup, vous semblez les aimer et les choisir dans une sorte de folie intentionnelle et passagère. Votre ton donne l'impression d'être sur une grande roue qui ne s'arrêterait jamais, à en donner le tournis. Mais le tournis n'est pas forcément désagréable alors merci pour cette sensation de manège en ce dernier jour de l'année !
Avec mes voeux cordiaux.
Sylvaine Allié
@Catarina Viti
Chère Catarina Viti, je vous remercie pour votre delicate attention et je vous retourne le souhait ! À demain. Sylvaine
Bonjour Sylvaine,
Plus que quelques heures avant la remise des prix.
Je souhaite le meilleur à votre ouvrage,
Cordialement, Catarina
@Agostini Francois-Xavier
Merci beaucoup pour le «épatant» !
Bien à vous.
Sylvaine
@Maud MEDARD
Merci pour votre petit mot pas moins touchant.
Heureuse que ce court texte fasse partie de vos souvenirs.
Sylvaine
@fred opalka
Une dernière cigarette ou la cigarette du condamné ; la meilleure ? L'ultime en tout cas ! Cela me rappelle Deux hommes dans la ville avec Gabin et Delon. Ce regard que Delon plonge dans les yeux transparents et embués de Gabin juste avant de monter sur l'échafaud. Une vie entière et brûlée par les deux bouts baigne dans ce regard. La peur du personnage nous éclabousse cependant. Les larmes s'ensuivent. À découvrir ou à revoir.
Merci à vous pour votre sincère et puissant message et pour votre manière de me souhaiter bonne chance.
Bonne écriture à vous aussi.
@CANAC
Cher monsieur,
Merci pour la précision de votre appréciation.
« Quel bel adjectif », écrivez-vous à propos de « conquérant ». Merci. Il n'y en avait pas d'autres qui puissent représenter aussi justement ce personnage, mort au combat ! J'ai, en fait, longuement hésité entre «Une dernière cigarette» et «Le Conquérant» comme titre. Il a fallu trancher presque à rebrousse coeur.
Par ailleurs, si l'écriture relève d'un premier jet un peu thérapeutique, on connait ses bienfaits dans ce qu'elle peut permettre de se reconstruire, l'idée était tout de même de créer, autour de faits réels, une histoire racontable et captive pour les lecteurs.
Toutes les occasions sont bonnes pour moi de prendre ma plume. Je suis même très épistolière.
Ce texte n'est que le premier devant quatre autres romans plus longs et peut-être plus accessibles dans leur genre littéraire.
Merci encore.
Sylvaine
Chère Sylvaine, je viens d’être en apnée durant vos 50 pages.
Vous avez un style c’est indéniable. Rythmé, incisif, qui crée la surprise à chaque fin phrase par l’utilisation d’adjectifs détournés. J’adore. J’aurais pu lire un bouquin sur votre père et un autre sur votre « Conquérant ». Quel bel adjectif! Tout est dit: amour, admiration, force et tendresse aussi.
Vous devez continuer d'écrire, c’est une très bonne thérapie.
@Laure Avedian,
À vous aussi, merci de vous être promenée à travers les saisons de mon livre. D'avoir traversé l'hiver comme l'été sans abandonner, malgré un climat rude.
Je vous assure que mes autres romans sont plus légers, même si chacun d'eux a un peu de ma fibre.
Car le point de depart vient toujours de là, ensuite, oui je me suis éloignée de mon chemin pour rejoindre la fiction.
Merci beaucoup d'avoir lu et d'avoir pris la peine de m'écrire.
Sylvaine
@Michel CANAL,
Cher monsieur, c'est avec mes plus sincères remerciements que je prends ma plume pour répondre à votre très laudatif mot.
De toutes les émotions que Marie a traversées, elle a effectivement eu la chance de ne pas ressentir l'injustice. Peut-être a-t-elle vecu "ses" drames comme une facture des jours anciens et heureux.
Je vous remercie aussi pour la longeur de votre retour-critique, et à ce sujet, je veux bien changer le format de mon texte dès que j'aurai repris possession de mon ordinateur tombé entre les mains d'un pirate. L'aventure continue, mais Dieu merci, tous mes textes sont soigneusement sauvegardés dans ma mémoire et sur une clef !
Merci pour "la prouesse", a-t'elle été l'objet d'un miracle ? Parfois, je me sentais guidée aveuglement, j'eus pu fermer les yeux en écrivant, il ne fait pas l'ombre d'un doute que j'aurais joué la même musique.
Merci d'avoir compris. Compris qu'à la tristesse et au pathos, j'ai choisi la résilience, même si chaque jour peut encore me surprendre dans ce que je me rappelle avoir vecu pour de vrai !
Juste une suggestion @Sylvaine Allié, pour le confort de lecture : changez le format A4 en format A5 et augmentez la taille de la police. En principe, la police Times new roman taille 12 permet une vision correcte y compris sur tablette. Il me semble que ce soit une taille inférieure.
@Migue
C'était le but.
Merci, à travers vos félicitations, de me laisser espérer que c'est réussi !
@François E.
Bonjour,
Merci pour votre retour-critique mélange savoureux d'encouragement et d'impatience. Le prochain texte est déjà écrit depuis longtemps, les prochains même. Mais je ne veux pas interférer dans le destin d'Une dernière cigarette, si tant est que ce livre en ait un !
Je mets donc votre attente à l'épreuve, et merci encore pour cet engouement qui place le baromètre de mon livre au beau fixe !
Sylvaine
@Augustine
Merci pour tous ces compliments.
Si vous trouvez chaque mot juste et utile c'est que j'ai réussi mon tir !
Le calcul a été minutieux pour donner rudesse, cruauté, mais aussi et heureusement une musique qui permette de revenir à la vie comme vous le dites si joliment.
Je pourrais relire ce texte cent fois, je crois que je ne le trouverai jamais assez fort. L'idée n'était pas de tabasser non plus, mais peut-être de « réveiller ». Un jour on m'a aussi dit : « ****** , ça réveille » ! Qui ? Quoi ?
Je n'ai pas le monopole de la souffrance, mais je suis fière d'avoir fait matière de « mes » drames. D'avoir rencontré cette résilience qui permet de continuer le chemin dans la joie et sans aucun sentiment d'injustice. Parce que c'est la vie !
Merci d'avoir lu !
@Medi
Merci beaucoup !
@Jedi 56410
Tu as été le deuxième lecteur de ce texte, de sa première version à son aboutissement.
Merci pour les quelques coquilles que tu avais relevées.
Les correcteurs sont toujours les plus mal « lunettés » pour leur propre texte !
Merci merci.
Sylvaine
@matthieuallie
Merci beaucoup cher frère !
@SDSA
Chère Stéphanie,
Je ne sais pas si tu es objective, mais ta critique pointue est le reflet de ton amitié et de tes connaissances littéraires. Merci d'avoir pris le temps de relire «Une dernière cigarette» pour la énième fois. Plutôt d'avoir pris la «peine» (le mot est mesuré) de découvrir cette version dans laquelle j'ai poussé les mots à l'extrême de leur jeu !
On aurait bien souhaité toutes les deux que ce récit ne fût que pure fiction. Peut-être fallait-il passer par là pour que ma plume ait un certain ton ? C'est «chair» payé. Mais les drames sont l'occasion délicate d'une nouvelle vie. Aujourd'hui, Marie danse… combien d'années ont passé ? Une vie entière d'émotions…
Merci chère amie.
@Berthe,
Avant tout un immense merci. Je suis si heureuse que vous ayez «pris» le bon sens de ce court livre. Ces phrases brèves et assassines, fruit de souffrance et de résilience, ont été taillées à l'espace près. Ce n'est plus un secret, Marie c'est moi. J'aime bien que vous l'imaginiez hors sol avec une énergie à toute épreuve.
Quant à votre « magistral », je crois ne pas avoir encore reçu un tel compliment !
Merci !
Sylvaine
@lamish
Chère Iamish,
Ce texte a effectivement été travaillé sans fin. La quête du mot cousu sur mesure pour cette folle histoire me semblait inlassable. Sans doute, étais-je inconsciemment habitée par l'envie de ne pas le quitter. De continuer à faire vivre ces êtres de chair partis si brutalement. Grâce à vous, à votre plume critique, assurément, ils vivent.
Si toutefois, vous souhaitiez lire « l'original », vous pouvez le commander sur le site de la fnac :
https://livre.fnac.com/a2047719/Sylvaine-Allie-Le-Vallois-Un-papa-pour-Noel
Merci pour votre amitié de lectrice.
Bon succès à vous dans « notre langue » de l'écriture. Sylvaine
@Syloubonnet
Très heureuse que mon livre vous ait plu.
Merci pour la recommandation, cela me va droit au coeur.
@Kroussar
Bonjour et merci aussi à vous pour votre retour-critique enthousiaste, d'avoir pris la peine de signifier votre coup de coeur.
Vos mots ici sont si proches des miens, j'aurais pu les choisir d'ailleurs…
C'est drôle.
Merci !
@Colette Bacro
Chère Colette Bacro, je ne savais pas qu'on pouvait rendre la mort sexy. J'aime bien cette idée folle. J'entendais tout à l'heure à la radio qu'elle se mettait même au vert. Il y a de quoi bien la vivre pour le jour J. Merci pour vos mots qui me réjouissent et l'accueil chaleureux que vous me réservez au sein de la sélection.
@Colette Bacro
Chère Colette Bacro, je ne savais pas qu'on pouvait rendre la mort sexy. J'aime bien cette idée folle. J'entendais tout à l'heure à la radio qu'elle se mettait même au vert. Il y a de quoi bien la vivre pour le jour J. Merci pour vos mots qui me réjouissent et l'accueil chaleureux que vous me réservez au sein de la sélection.
@Floriana Vélasquez
Chère madame,
Votre nom à lui seul est un voyage enchanteur.
Je me délecte de votre plume-critique et je vous remercie d'avoir aimé. Cela n'est certes pas l'effet d'un choix, que vous ayez aimé, mais vous avez choisi mon texte parmi d'autres pour une lecture. Il se trouvait là, devant vous et vous avez plongé dans ma musique mi-tragique, mi-candide comme vous le dites.
C'est moi qui vous remercie encore.
Sylvaine
@Sylvaine Allié
Portrait d'une femme en creux
Portrait d'une femme en quête
Cachée et révélée par deux hommes
Ou bien est-ce le même idéalisé, par deux fois ?
Idéalisé le monde de la petite Marie ?
Portrait d'une femme en cloque
Portrait d'une femme en roc
Attaquée et convoitée par la mort
Un récit choc et sobre comme un conte
Une volonté d'éliminer le pathos ?
Une musique singulière à la fois tragique et candide illumine votre récit... du Bach peut-être ?
Une écriture épurée, ciselée (peut-être un peu désincarnée) sculpte les émotions... Du Brancusi peut-être ?
Une façon élégante de ne pas nommer les choses, distille une saveur véritable... Le vin de l'Hérault sans doute ?
J'ai beaucoup aimé
Merci
@Jean-Paul Andersen
Merci pour votre retour-critique élogieux. Il m'emeut. Je le reçois come une main tendue sur ce chemin parfois pierreux de l'écriture au long duquel je tente avec ténacité de donner un souffle à mes textes.
MERCI. Sylvaine
"Une dernière cigarette" est le "Livre le +" du 7. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : hhttps://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/11750-une-de.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’elle a publié son roman sur monBestSeller.
@Duncan Cartwright,
Cher monsieur,
Je viens de lire votre message et je vous remercie d'avoir lu Une dernière cigarette. Vous avez noté les phrases qui vous paraissaient sortir de l'ordinaire. Cela me comble. Certaines me faisaient faire des bonds, c'est vrai. Une phrase qui retient les yeux, qui résonne aux oreilles comme un son, qui occasionne peut-être même des frissons chez un lecteur, est une partie infime de gagnée pour l'auteur que je suis. La 1re page, dites vous, peut déstabiliser, pourtant vous vous êtes accroché et très vite vous avez rencontré un univers que vous n'avez plus lâché. On dirait que je plaide. Oui !
Car ce petit livre avait bien failli voir le jour sous un autre titre et soutenu par une belle maison…
Merci à vous.
Sylvaine
@isa33
Pardonnez-moi, vous aussi, je n'avais pas pris connaissance de votre commentaire et je vous en remercie tellement.
Avec votre « scalpel de l'âme », vous ne pouviez pas mieux décrire mon texte et rendre grâce à ma plume !
À ceux qui ont entrevu tristesse, vous avez su lire entre les lignes et retenu qu'il y a du beau dans la souffrance et que celle-ci n'existe plus, pour partie, dès lors qu'on en fait de la matière…
Ce livre a déjà une très longue vie, a presque vu la lumière, re-tente la scène, non pas pour être vu mais entendu (encore qu'elle m'irait bien, mon nom en 1re de couverture papier me donnerait comme un goût d'enracinement).
Puissiez-vous grâce à votre lecture influencer son sort.
MERCI
Sylvaine
@sandrine C
Pardonnez-moi, je suis nouvelle sur ce site, et je n'avais pas vu que je pouvais vous répondre.
Je suis bouleversée par votre commentaire. Bouleversée dans le bon sens du mot.
Pour répondre à vos doutes, la genèse de ce livre, est que, dans la vraie vie, Marie a vraiment voulu délivrer son papa. Épaulée d'un grand monsieur, armée de quelque chose d'ultra légitime, je m'apprêtais à revoir mon père, mort.
Et puis, ce grand monsieur savait mon aisance pour l'écriture, ma soif du mot juste, il m'a encouragée à raconter l'histoire de ce qu'il appelait une démarche artistique. Un papa pour Noël est alors né. Il a frôlé la publication chez un mastodonte de l'édition. Déçue, et toujours armée, j'ai créé ma propre maison d'édition pour accoucher de ce 1er livre. Quelque quinze années plus tard, je fais le pari de l'auto-édition.
J'a écrit beaucoup de romans, ils ont tous attiré l'attention des éditeurs mais rien ne s'est concrétisé. Pour autant, je crois en Une dernière cigarette comme dans un aucun de mes autres textes. Votre message est un soutien, je le garde précieusement auprès de ma plume…
J'aime beaucoup votre expression « double bang ». Puis-je vous l'emprunter ? Ça change du double effet kiss cool :-)
Merci de tout mon coeur pour votre message.
À VOUS. Sylvaine