Dans un futur proche où la loi martiale a été instaurée partout dans le monde, les parents et tous ceux en devenir sous soumis à un nouveau code de conduite en matière d'éducation des enfants.
@liliane Marques
Désolé pour cette réponse bien tardive je n'avais même pas vu votre commentaire presque trop élogieux mais tellement appréciable. Heureux que cela vous ai plu. J'avais commencé le second opus intitulé Le Code Parental : SOULEVEMENT ( lol ) qui fait suite quelques années plus tard alors que Nala a grandi, toujours surveillée de près par son flic ange gardien. Mais vu le peu d'intérêt qu'il a suscité et tous les refus qu'il a essuyé, je l'ai mis en attente et suis sur un tout autre thème, toujours emprunt de fantastique mais cette fois dans l'univers de la marionnette. Oh soyez sans crainte, j'y reviendrai tôt ou tard car il n'est pas totalement achevé. Cordialement.
Bonjour, Jean-luc Lys et merci infiniment pour votre retour qui me touche profondément et me donne un peu de baume au cœur quant au peu de visibilité de mon livre. J'aurais aimé qu'un éditeur un seul voit les mêmes choses que vous. Ne serait-ce que pour son actualité en ce qui concerne la parentalité mais qu'importe tout le monde s'en fout. Merci d'y avoir consacré tant de temps et de lignes, c'est un privilège rare. Je vous rejoins bien évidemment sur toute votre étude et encore, on n'a pas parlé des enfants soldats en Ouganda (LRA) toujours d'actualité ni de ceux qui sont enrôlés puis conditionnés en Afghanistan(...) Après, vous l'avez aussi remarqué, c'est surtout la parentalité qui est mise en avant et à mal. Et je ne suis pas très optimiste, effectivement. Mais ici, il est quasiment impossible de faire face à une telle situation à moins de combattre de l'intérieur, ce qu'essaie de faire mon couple témoin, à regret. La peur, Jean Luc. La peur. C'est elle qui mène la danse. En France comme partout, ils sont très fort pour la rentrer en chacun de nous et précisément avec le coronavirus qui tombe pile poil. Mais au-delà, peu de choses me rendent très optimiste, le saccage de la planète continue, les guéguerres de territoire n'en finiront jamais simplement parce que des hommes aiment la faire, les gangs prendront tôt ou tard le pouvoir, le terrorisme continuera de creuser son sillon meurtrier et l'individualisme triomphera toujours. J'ai vu et je vois chaque jour avec tristesse le civisme qui s'est perdu, la poésie qui a été balayée au détriment d'un langage lamentable une pure régression, un vrai retour à la l'âge de pierre.
Il était important pour moi d'exprimer certaines craintes à travers ce livre et vous les avez ressenties
Il y a peu, il y a eu débat houleux autour de la fessée qui a beaucoup fait jazzer.
Votre parabole chinoise sous Mao est sûrement la plus proche du Code Parenal en ce qui concerne la délation massive. J'essaie surtout d'avertir le père ou la mère qui sommeille en nous. Attention à ne pas mettre les enfants sur un piédestal de peur de devenir leurs instruments. Il y a une autorité nécessaire, mais elle doit être en permanence remise en question et c'est ce qui est le plus difficile à mettre en place avec la petite enfance. C'est d'ailleurs pour ça que le Code Parental ne s'embarrasse pas et s'impose dès l'âge de trois ans. Pour mieux contrôler. Et comme vous le dites si bien à la fin, le confinement actuel est si manifeste ! ( les masques, quelle hypocrisie et quel business miracle pour un pays anti burqa ) Ca va être sympa prochainement pour s'identifier les uns les autres. La déshumanisation poursuit sa grande route. Mais qu'importe, finalement, nous sommes si faciles à manipuler et à corrompre que le gouvernement fera bien ce qu'il voudra et nous pauvres moutons de
Panurge, nous mangerons ce pain empoisonné. Aussi triste aussi déprimant soit-il le Code Parental pourrait tout à fait avoir sa place dans la société actuelle.
Bonjour Agamemnon.
Cela se passe-t-il réellement dans le futur ? Car l’histoire de l’humanité nous a souvent gratifiés de ce genre de régime totalitaire ! Et d’ailleurs, en matière d’horreur, l’humain a déjà tout inventé, et il ne nous reste plus, à nous autres, pauvres auteurs, que les lieux et les dates à changer.
Ne croit-on pas lire ce que la Révolution culturelle a fait de pire, en Chine, au temps de Mao Ze Dong, quand les enfants dénonçaient leurs propres parents et/ou grands-parents au pouvoir central ou aux Gardes rouges, et qu’on les faisait défiler, portant un écriteau sur le dos, sur lequel étaient écrits leurs nombreux crimes (supposés), sous les injures et les crachats ?
Ne retrouve-t-on pas la terreur qui régnait en URSS, sous Staline, quand la simple remarque ou réflexion d’un enfant en classe (même involontaire et c’est ce qui nous distingue de votre roman) pouvait conduire leur père au goulag pour 10 ans minimum, sans avoir même le droit de communiquer avec lui.
Ne retrouve-t-on pas la surveillance très étroite de la police des mœurs en Iran, qui peut condamner à des peines très lourdes, des personnes accusées d’avoir offensé Dieu Lui-même, pour un non-respect du port du voile, ou simplement, pour s’être tenus la main en dehors des liens sacrés du mariage ?
Ne retrouve-t-on pas les pires moments de la Terreur pendant la grande Révolution de 1789 que nous glorifions tant en France ?
Mais ce qui est plus subtil dans votre roman, c’est de montrer que ce totalitarisme de l’enfant roi est déjà bien ancré dans nos sociétés occidentales, dans lesquelles la démission des parents (ils ne peuvent pas toujours faire autrement dans nos sociétés de service où tout tourne maintenant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, et dont ils sont bien souvent, les salariés, et nous les clients) ; et dans lesquelles cette absence est compensée par des biens matériels : jouets, tablettes, ordinateurs, etc… N’a-t-on jamais entendu les cris déchirants d’un enfant auquel on refusait un jouet parce que trop cher, mais que son copain possédait déjà ?
Sur la passivité des adultes face à cette dictature que représentent ce Code parental, et l’obéissance à l’autorité publique, ne vit-on pas en cette période de confinement la même chose ?
Pourquoi acceptons-nous ce confinement ? Parce que c’est pour notre bien, à tous, cela, nous le savons. Alors, si l’on arrive à nous inculquer que le respect du Code parental est bon pour la société, ne serions-nous pas d’accord pour le respecter ?
Votre livre n’est pas seulement agréable et intéressant à lire, il est surtout matière à réflexion, et nous pourrions en parler des heures.
Souhaitons seulement que cet avenir que vous nous décrivez ne reste qu’une fiction, alors soyons vigilants !
Amicalement. J2L
J'ai retrouvé du Georges Orwell, du Margaret Atwood, et j'ai beaucoup apprécié. La dystopie est bien menée, bien ficelée. Elle est effrayante dans sa subtilité. Je recommande vivement !
Portrait d'une société pas si utopique ou dystopique, une histoire que l'on sent toute proche de nous, de l'éducation que nous donnons à nos enfants "rois". Je serais curieuse de lire la suite, de voir ces enfants devenir adultes et à leur tour parents et éducateurs. De l'autre côté de la barricade, garderont-ils leur despotisme, leur perversité ou comprendront-ils que cette société est une erreur? Mais j'ai gardé le sentiment à la fin de votre livre, que cette société était déjà sur la pente descendante ou en train d'amorcer un virage.... je reste sur ma faim ! J'aime beaucoup votre style, le roman se lit très bien, merci pour ce moment.
Bonjour,
Le récit est très bien mené et prenant! Une dystopie d'autant plus effrayante par son réalisme.
J'étais frustrée de voir l'histoire s'arrêter si vite. A quand une suite?
Bien à vous.
@agamemnon roi des rois de la Grèce. Les temps ont changé depuis la première démocratie; En fait avec l'avènement d'Internet au milieu des années 90 du siècle dernier, il n'y a plus et il n'y aura jamais plus de code parental, c'est triste mais c'est ainsi; Il faudrait une refonte totale de l'humanité après un désastre planétaire pour retourner aux valeurs d'antan. BONNE LECTURE SUR MOMBESTSELLER.com François-Xavier AGOSTINI
@thierrry vitteau merci beaucoup pour votre critique. Je suis sidéré de lire ce que vous communiquez c est dire à quel point on touche du doigt cette ignominie
Dans la droite lignée du roman de Georges Orwell, vous nous offrez un récit d’anticipation en phase avec l’actualité. Bien menée, votre histoire captive rapidement en nous entrainant dans un monde pas très éloigné de notre société actuelle. En effet, le 2 juillet 2019, nos chers sénateurs ont ajouté au code civil une loi interdisant « toutes violences éducatives ordinaires ». Dorénavant, lors de chaque célébration de mariage, monsieur le maire sera chargé de lire à haute voix cette première règle d’or du futur « code parental ». Vous aviez raison, ce fameux code est bien en cours d’élaboration !
Merci pour ce bon moment de réflexion, Thierry
"LE CODE PARENTAL" est le "Livre le +" du 25 octobre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/11946-le-cod.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman SFF sur monBestSeller.
@Gaspard du Gevaudan,
Merci pour votre précieux retour critique et je vais essayer d'y répondre au mieux.
Le Code Parental se situe entre 2050, date de sa création, et 2112, date de fin du projet de construction des zones pavillonnaires. Il y a trois couples importants, le couple témoin, Joseph, Bintou et Kayla, et les deux couples actuels, Pierre et Anna, et Claire et William. Il y a une mise en abîme dès la première page et comme vous le dites si habilement, un embryon de résistance à la fin. Il y a une résistance plus qu'une rébellion. Des pères se battent, comme celui de Jonas, des femmes enceintes sur le point d'accoucher comme Claire, des insoumis comme Joseph, comme Félix, et ceux qui combattent à l'intérieur d'eux-même pour ne pas céder au Code comme Pierre, en pleine souffrance intérieure. Ce livre est mon premier essai, je n'avais écrit que des pièces de théâtre et des scénarios, aussi à travers votre critique, je vois que j'aurais du plus m'attarder sur tout cela en témoigne votre ressenti et j'en suis désolé. Je tâcherai de travailler davantage la chair, Le Code Parental n'étant que le premier opus, Gaspard, et cet embryon quand il aura atteint l'âge permis, portera peut-être cette rébellion. Merci infiniment pour votre retour.
Georges Orwell revisité 2019. Très glaçant effectivement. Et très fort. Michel T dit que cela fait réfléchir. Il a raison. Roman d’anticipation, sf, essai ? Cela dit, je crois que j’aurais aimé ne pas juste passer d’une famille à une autre, d’un pavillon à l’autre, d’une date à l’autre (d’ailleurs, je n’ai pas compris le sens des dates). Que le roman amène une progression. Qu’on sente que vous nous ameniez à une chute. Pas juste cette suite de scènes gênantes, choquantes. On aurait envie que les parents se rebellent, s’unissent contre cette dictature (oups… combien de points je viens de perdre là ? les 18 d’un coup ?). Même s’il y a un embryon de résistance… Belle réflexion !
julienfranz
merci infiniment pour votre commentaire qui me touche profondément.
Vous avez perçu, en fin limier, la matière première, ainsi que le chant environnant.
D'un nuancier du réel , la pertinence est telle que chavire la parentalité en question. Quid du socius *
Les psy vont se régaler a lire cet ouvrage subtil et d'un vocable musical.
Bravo **
Merci
Ah, les dérives totalitaires dans une société où l'enfant est roi...! Excellent livre . Auteur prometteur . Hâte de découvrir sa prochaine création.Top.
Merci infiniment pour votre retour shaki78. Il me fend le cœur dirait un vieil auteur provençal. En effet la parentalité tient une part importante dans mon roman dont le futur proche comme vous le glissez n est pas si lointain et qu il suffirait d un rien quand on voit comment tel ou tel post peut devenir viral pour que nous y prenions le chemin. La fessée était a l ordre du jour il y a peu.
Très beau livre qui mérite une suite, voire d'être décliné en série... Un vrai page-turner, toujours passionnant avec une vraie réflexion sur la relation fondamentale entre parents et enfants. La science fiction maîtrisé avec brio par l'auteur permet d'amplifier le questionnement sur une société à la fois totalitaire et aseptisé qui à renoncé à l'éducation en laissant les progénitures décréter ce qui est bon ou non. Écriture très visuelle... Ce qui bonifie encore l'œuvre, puisqu'elle nous l'a rend présente. Autre atout : la création d'un univers, d'un monde, parfois foisonnant, d'autres fois minimaliste, mais toujours à échelle humaine.
En un mot, un auteur à suivre et une œuvre à découvrir en toute urgence...
Merci Michel pour ces mots qui ne passent pas dans l oreille d un sourd. En effet a vouloir échanger les rôles on finit par créer un autre Etat totalitaire comme ce fut le cas pour Sa majesté des mouches ou encore les rescapés de l an 2000. l éducation n a pas a être régie par des lois ici elle fait office de sacerdoce et c est la qu elle devient dangereuse. Un enfant tout petit est suffisamment malléable pour devenir l artifice d un stratagème destructeur a ne pas négliger quand on voit les dérives actuelles du net qui m horrifient.
Bonjour @AGAMEMNON , c'est un roman qui fait froid dans le dos ! Il est terriblement anxiogène parce que, petit à petit vous nous décrivez à travers ces couples une société totalitaire et nous amenez jusqu'à l'impensable : l'enfant roi. Ce ne sont plus les parents qui éduquent les enfants, mais les enfants qui dominent les parents en se réfugiant derrière le Code Parental. Ils en arrivent à craindre leur progéniture et tout respect, tout amour entre eux devient impossible. Je suis d'une ancienne génération élevée à la dure, dans la crainte et le respect de ses parents et de l'autorité. J'ai essayé de bien élever mes enfants, en supprimant la crainte, mais en gardant le respect de l'autre. Et je vois aujourd'hui avec consternation, cette dernière génération de parents qui démissionne, ces enfants rois à qui l'on cède tout. Je suis stupéfait de voir ces émissions de télévision qui viennent au secours de parents désemparés, ne sachant plus que faire pour se faire respecter de leurs enfants. Je suis inquiet de voir ces lois contre la fessée, inquiet de ces menaces de supprimer les allocations familiales pour les familles qui ne savent plus assumer l'éducation, comme si il n'y avait pas plus urgent et plus utile à faire... Elles peuvent être l'ébauche de ce Code Parental et ça c'est flippant ! Le politique n'a pas à se substituer au couple parental, mais il a le devoir de protéger les enfants contre tous les abus, et la frontière est si mince que tout peut déraper ...
Bravo pour ce roman très bien écrit qui pousse à la réflexion.
Amicalement, Michel T
Ce livre est dédié aux femmes et précisément aux mères et aux futures mères. En dépeignant le portrait de plusieurs femmes toutes soumises aux mêmes lois autoritaires, Il entend montrer leur courage, leur audace, leur témérité, leur panache, certaines luttant contre vents et marées pour arriver a leur fin.
Publié le 09 Octobre 2019
AGAMEMNON
Biographie
Je suis issu du Théâtre, de la danse, j' aime le cinéma sans modération, les contes, j' écris des pièces, des scénarios, je...
Ce livre est noté par
Salut Agamennon, il y a une coquille dans ton synopsis : "sont soumis". Bien à toi !
@liliane Marques
Désolé pour cette réponse bien tardive je n'avais même pas vu votre commentaire presque trop élogieux mais tellement appréciable. Heureux que cela vous ai plu. J'avais commencé le second opus intitulé Le Code Parental : SOULEVEMENT ( lol ) qui fait suite quelques années plus tard alors que Nala a grandi, toujours surveillée de près par son flic ange gardien. Mais vu le peu d'intérêt qu'il a suscité et tous les refus qu'il a essuyé, je l'ai mis en attente et suis sur un tout autre thème, toujours emprunt de fantastique mais cette fois dans l'univers de la marionnette. Oh soyez sans crainte, j'y reviendrai tôt ou tard car il n'est pas totalement achevé. Cordialement.
@lys Jean-luc,
Bonjour, Jean-luc Lys et merci infiniment pour votre retour qui me touche profondément et me donne un peu de baume au cœur quant au peu de visibilité de mon livre. J'aurais aimé qu'un éditeur un seul voit les mêmes choses que vous. Ne serait-ce que pour son actualité en ce qui concerne la parentalité mais qu'importe tout le monde s'en fout. Merci d'y avoir consacré tant de temps et de lignes, c'est un privilège rare. Je vous rejoins bien évidemment sur toute votre étude et encore, on n'a pas parlé des enfants soldats en Ouganda (LRA) toujours d'actualité ni de ceux qui sont enrôlés puis conditionnés en Afghanistan(...) Après, vous l'avez aussi remarqué, c'est surtout la parentalité qui est mise en avant et à mal. Et je ne suis pas très optimiste, effectivement. Mais ici, il est quasiment impossible de faire face à une telle situation à moins de combattre de l'intérieur, ce qu'essaie de faire mon couple témoin, à regret. La peur, Jean Luc. La peur. C'est elle qui mène la danse. En France comme partout, ils sont très fort pour la rentrer en chacun de nous et précisément avec le coronavirus qui tombe pile poil. Mais au-delà, peu de choses me rendent très optimiste, le saccage de la planète continue, les guéguerres de territoire n'en finiront jamais simplement parce que des hommes aiment la faire, les gangs prendront tôt ou tard le pouvoir, le terrorisme continuera de creuser son sillon meurtrier et l'individualisme triomphera toujours. J'ai vu et je vois chaque jour avec tristesse le civisme qui s'est perdu, la poésie qui a été balayée au détriment d'un langage lamentable une pure régression, un vrai retour à la l'âge de pierre.
Il était important pour moi d'exprimer certaines craintes à travers ce livre et vous les avez ressenties
Il y a peu, il y a eu débat houleux autour de la fessée qui a beaucoup fait jazzer.
Votre parabole chinoise sous Mao est sûrement la plus proche du Code Parenal en ce qui concerne la délation massive. J'essaie surtout d'avertir le père ou la mère qui sommeille en nous. Attention à ne pas mettre les enfants sur un piédestal de peur de devenir leurs instruments. Il y a une autorité nécessaire, mais elle doit être en permanence remise en question et c'est ce qui est le plus difficile à mettre en place avec la petite enfance. C'est d'ailleurs pour ça que le Code Parental ne s'embarrasse pas et s'impose dès l'âge de trois ans. Pour mieux contrôler. Et comme vous le dites si bien à la fin, le confinement actuel est si manifeste ! ( les masques, quelle hypocrisie et quel business miracle pour un pays anti burqa ) Ca va être sympa prochainement pour s'identifier les uns les autres. La déshumanisation poursuit sa grande route. Mais qu'importe, finalement, nous sommes si faciles à manipuler et à corrompre que le gouvernement fera bien ce qu'il voudra et nous pauvres moutons de
Panurge, nous mangerons ce pain empoisonné. Aussi triste aussi déprimant soit-il le Code Parental pourrait tout à fait avoir sa place dans la société actuelle.
@AGAMEMNON Merci à vous pour ce livre qui me touche en tant que femme, et potentielle mère ...
@pauline naret,
merci infiniment pour votre retour Pauline.
Bonjour,
Le récit est très bien mené et prenant! Une dystopie d'autant plus effrayante par son réalisme.
J'étais frustrée de voir l'histoire s'arrêter si vite. A quand une suite?
Bien à vous.
@thierrry vitteau merci beaucoup pour votre critique. Je suis sidéré de lire ce que vous communiquez c est dire à quel point on touche du doigt cette ignominie
"LE CODE PARENTAL" est le "Livre le +" du 25 octobre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/11946-le-cod.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman SFF sur monBestSeller.
@Gaspard du Gevaudan,
Merci pour votre précieux retour critique et je vais essayer d'y répondre au mieux.
Le Code Parental se situe entre 2050, date de sa création, et 2112, date de fin du projet de construction des zones pavillonnaires. Il y a trois couples importants, le couple témoin, Joseph, Bintou et Kayla, et les deux couples actuels, Pierre et Anna, et Claire et William. Il y a une mise en abîme dès la première page et comme vous le dites si habilement, un embryon de résistance à la fin. Il y a une résistance plus qu'une rébellion. Des pères se battent, comme celui de Jonas, des femmes enceintes sur le point d'accoucher comme Claire, des insoumis comme Joseph, comme Félix, et ceux qui combattent à l'intérieur d'eux-même pour ne pas céder au Code comme Pierre, en pleine souffrance intérieure. Ce livre est mon premier essai, je n'avais écrit que des pièces de théâtre et des scénarios, aussi à travers votre critique, je vois que j'aurais du plus m'attarder sur tout cela en témoigne votre ressenti et j'en suis désolé. Je tâcherai de travailler davantage la chair, Le Code Parental n'étant que le premier opus, Gaspard, et cet embryon quand il aura atteint l'âge permis, portera peut-être cette rébellion. Merci infiniment pour votre retour.
julienfranz
merci infiniment pour votre commentaire qui me touche profondément.
Vous avez perçu, en fin limier, la matière première, ainsi que le chant environnant.
Merci infiniment pour votre retour shaki78. Il me fend le cœur dirait un vieil auteur provençal. En effet la parentalité tient une part importante dans mon roman dont le futur proche comme vous le glissez n est pas si lointain et qu il suffirait d un rien quand on voit comment tel ou tel post peut devenir viral pour que nous y prenions le chemin. La fessée était a l ordre du jour il y a peu.
Merci Michel pour ces mots qui ne passent pas dans l oreille d un sourd. En effet a vouloir échanger les rôles on finit par créer un autre Etat totalitaire comme ce fut le cas pour Sa majesté des mouches ou encore les rescapés de l an 2000. l éducation n a pas a être régie par des lois ici elle fait office de sacerdoce et c est la qu elle devient dangereuse. Un enfant tout petit est suffisamment malléable pour devenir l artifice d un stratagème destructeur a ne pas négliger quand on voit les dérives actuelles du net qui m horrifient.
Ce livre est dédié aux femmes et précisément aux mères et aux futures mères. En dépeignant le portrait de plusieurs femmes toutes soumises aux mêmes lois autoritaires, Il entend montrer leur courage, leur audace, leur témérité, leur panache, certaines luttant contre vents et marées pour arriver a leur fin.