Dans une lettre ouverte à sa mère, intitulée : ''Nous chanterons encore... '', l'auteur Gérard Darmon nous propose de partager son chemin de vie sous forme d'une quête, d'une lutte face à la maladie, face à la mort imminente annoncée pour sa mère par les médecins.
Il écrit, pour sa mère : ''Nous perdrons mais nous combattrons.''
Oui combattre ! Combattre avec pour armes la mémoire de ce qui fut, et aussi l'art, la poésie, et surtout l'amour. L'amour... !
Des pages poétiques, de lutte et aussi d'espoir, de joie et de défi.
L'auteur s'interroge et affirme :
''Que fut vivre, sinon arracher à l'éternité la force de dire : j'ai aimé donc je suis.
Je t'aime donc nous serons.''
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L’amour d’un fils pour sa mère, icône pout toujours. Vous le dîtes avec beaucoup d’amour, bien sûr, et beaucoup de respect. C’est triste. Comme peut l’être les relations que nous, filles, pouvons avoir avec nos mères. Moins idylliques. Plus conflictuelles souvent ! Mais ce n’est pas l’histoire biographique que vous racontez, celle là est pure. Mais si nostalgique. Ne passe t-on pas une autre étape, après celles de la peine, et celle de la nostalgie ? N’y a t-il pas un moment où l’on est enfin, en paix de ce manque ?
@T.Guenard Commentaire sur monBestseller
Ô vous frères humains… ! , extrait d’un poème de François Villon, et aussi titre d’un livre d’ Albert Cohen, auteur , entre autres, du ‘’Livre de ma mère’’, votre commentaire, cher T.Guénard, m’y ramène . Vous avez partagé mon chemin de vie. Ce partage me touche, il est un partage de sensibilité, d’humanité, entre frères en la condition humaine. L’amour entre la mère et l’enfant ! (‘’Amour à nul autre pareil’’ ! ).
J’ai cherché une expression littéraire, poétique, un chant, où le temps n’aurait pas prise, qui, avec les jours et les années n’amoindrirait pas les émotions, les souvenirs, l’amour, comme serait une photo ancienne qui nous parlerait d’un temps qui n’est plus, mais qui nous parlerait encore. Merci pour ce partage et pour votre appréciation.
Gérard Darmon