Une Lolita extravagante bouleverse la vie d'un jeune coursier idéaliste ; l'innocente Hanka rêve du premier baiser dans son paisible shtetl; Rebecca jure sur la tête de Billy que ce sera son dernier shoot ; Hawa quitte l'Éden de son village africain pour rejoindre Lampedusa avec ses trois enfants ; Madame Hinata Okamoto, l'ancienne gardienne de prison, prépare des sushis d'exception pour sa fille Yuya ; la femme battue explique à ses petites filles la différence entre une dispute et une engueulade ; Lilou, l'ado blessée, veut créer l'événement sur Periscope au sommet de la grande roue...Onze portraits de femmes d'ici ou d'ailleurs.
Onze histoires d'amour fort, plus fort que la raison.
Onze parcours de vie chavirés, au dénouement souvent inattendu.
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@porphyre Eh bien, j'apprécie cette plaisanterie, vraiment ! Comme platitude, comme vérité de la Palisse, cet aphorisme est plutôt gratiné, je l'avoue ! À ma décharge, il était 4 heures du matin quand j'ai posté ce texte. J'étais rincé de fatigue, m'étant débattu durant au moins deux heures avec mon Word et mes transferts en PDF, lesquels me décalaient cyniquement telle page, tel chapitre, telle ligne de dialogue.. Bref, au moment de rédiger ma biographie (je n'aime pas plus que cela les biographies), ce fut le néant, le trou noir. Que dire à ceux qui auront la gentillesse de me lire, que j'aime les pétunias, le grésil et les frimas de l'automne en Ontario ? Que dans ma jeunesse, j'étais fan de Zembla, du Cap'tain Swing et de Mandrake le magicien ? Que j'aime bien noircir des carnets le long des sentiers côtiers de Belle-Île-en-Mer ? Bref de bref, je tombe par hasard sur un article au sujet de Gao Xingjian, l'écrivain et Prix Nobel de littérature en 2000, et sur cette citation du dit-dramaturge. Je me dis en mon for que ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais que cela remplira la case. Voilà pour l'anecdote ! Platitude pour platitude, la prochaine fois, c'est promis, je dirais que j'adore les pétunias ! Bien à vous !