Le confinement vu par la marquise de Sévigné

Merci infiniment @mambouckou, pour le témoignage de votre passage. Ce n'était qu'une nouvelle, clin d'oeil à une reprise comportant beaucoup d'erreurs, sur un thème d'écriture limité en nombre de caractères. La recherche sur l'auteur d'origine est la partie la plus intéressante.
Je vous conseille celle écrite au moment du déconfinement : "Qu'eût pu inspirer un été presque parfait à la marquise de Sévigné ?", entièrement de ma plume celle-là (aussi sur ma page d'auteur à la date du 24 septembre 2020), plus dense et rapportant des faits. Elle est plus instructive sur les moeurs de cette époque.
Amicalement. MC

@Michel CANAL mes félicitations pour cet ouvrage qui m'a l'air fort intéressant !

Merci infiniment, @Emmanuelle de Verdilhac, pour le témoignage de votre passage sur cette page. Ce n'était qu'un clin d'oeil à une reprise comportant beaucoup d'erreurs, sur un thème d'écriture limité en nombre de caractères.
Je ne doute pas que vous apprécierez l'autre thème sur la fin du confinement : "Qu'eût pu inspirer un été presque parfait à la marquise de Sévigné ?", entièrement de ma plume celui-là (aussi sur ma page d'auteur à la date du 24 septembre 2020), plus dense et rapportant des faits.
À titre d'info, passe en ce moment le film : "Madame de Sévigné", dont le personnage est incarné par Karin Viard et celui de sa fille Françoise par Ana Girardot. Il est axé sur la relation toxique de la mère pour sa fille (on est plutôt habitué au bon côté de l'amour maternel), mais l'ensemble est un bon rendu des moeurs de l'époque et d'une réalité généralement occultée.
Avec toute ma sympathie. MC

Un régal beaucoup trop court!

Oui, @du Cheyron Catherine, on ne la louangera jamais assez, pour plusieurs raisons ; la plus importante étant qu'elle s'exprimait en tant que femme lettrée et mère aimante.
Peu de femmes s'exprimaient comme "écrivains" à son époque. Et peu de mères avaient (j'imagine) un lien si fort avec leur(s) enfant(s), élevés par des nourrices et des gouvernantes. Les femmes savantes étaient même moquées, la tendance étant de les voir plutôt soumises, silencieuses, faites pour plaire et séduire, enfanter, servir de faire-valoir, intéressantes pour la dot qu'elles apportaient à un époux souvent désargenté, libre de moeurs.
Qu'eût été ce siècle sans les enseignements sur les moeurs qu'elle a pu nous transmettre à travers ses correspondances à sa fille chérie.
Merci pour votre commentaire.

C'est un joli clin d'oeil à Madame de Sévigné.

Merci infiniment @Marie Gallicher pour votre passage sur cette page.
Le texte initial n'est pas de moi comme je le précise, mais mon plaisir a été d'essayer de retrouver l'auteur initial (un descendant doublement naturel de Napoléon III, c'est-à-dire sur deux générations, ce que je précise dans mon commentaire d'introduction) et comme vous le soulignez, de relever les invraisemblances (nombreuses... ce n'est pas un historien).
Par contre, l'autre pastiche "déconfinement" est celui-là entièrement de moi, avec le plaisir de rechercher des événements ayant "pu avoir lieu" ou "ayant eu lieu" cette année 1687.
Oui, Marie de Rabutin-Chantal aurait trouvé là l'occasion d'en informer sa fille chérie.

@Michel CANAL
Quelle joie de se retrouver au coeur du patrimoine littéraire français en peu de pages. L'idée est amusante et je vous reconnais bien là de préciser toutes les invraisemblances. J'ai beaucoup aimé et je pense que Madame de Sévigné aurait certainement chroniqué ce confinement si elle avait vécu à notre époque avec ce style que vous avez si bien apprivoisé.
Je repars à la recherche des étoiles qui m'ont envoyée sur une page d'accueil, je suis une grande voyageuse informatique sur les chemins du non-sens...

@Joelle.Dormant, merci d'avoir laissé une trace de votre passage. C'est on ne peut plus précis et concis, mais croyez bien que j'en apprécie la teneur. Bien à vous. Peut-être est-ce ce qu'aurait dit la marquise de Sévigné. MC

Intéressant..

Merci infiniment @MALZIEU, pour le plaisir de lire votre commentaire, qu'il s'agisse de la mention de Pauline (quelle chance vous avez de flirter avec l'Histoire), ou de la rigueur avec laquelle je traite mes synthèses sur les phases de ce quinquennat.
Comme je l'expliquais précédemment, j'ai été formaté par ma fonction d'officier rédacteur dans un grand état-major et comme chef de cabinet en Afrique. Analyser une somme de documents et en faire une synthèse était mon quotidien. Le plus difficile est de rester neutre, objectif, sans quoi mon travail serait voué à l'échec.
Vous faites je pense mention à mon travail en cours d'écriture sur la pandémie et aux suites sur le quinquennat, inéluctables. Il y aura beaucoup à dire !
Avec toute ma sympathie.
MC

Rien de pire qu'un mauvais pastiche. Là c'est vraiment réussi. L'attention à Pauline me touche car j'habite une maison lui ayant appartenu dans la Drôme. J'y étais ce week-end. J'attends avec impatience votre synthèse sur le confinement. Vos résumés des évènements sont excellents car vous êtes rigoureux sans parti pris. je pense même qu'il pourrait fournir aux historiens futurs une matrice pour comprendre notre époque. Tous réunis ce serait le livre d'heure du quinquennat.

Encore merci, énigmatique @cats008, pour ton passage sur cette page.
Oui, toujours dans l'écriture, moi qui n'avais jamais songé à me publier. Si j'avais toujours écrit, avec une certaine facilité depuis le secondaire, je l'ai fait plus tard professionnellement, mais pas bien évidemment avec le même attrait pour les lecteurs. Officier rédacteur en état-major de forces m'a formaté à un style, à l'excellence du travail bien fait, mais... pas de quoi en faire son livre de chevet.
Je suis en ce moment sur l'écriture d'une chronique sur la pandémie, toujours dans l'esprit d'en faire une synthèse permettant aux lecteurs de bien comprendre.
Tu as raison, ce pastiche a été une petite recherche bien agréable qui m'a en plus permis d'approfondir la descendance naturelle de "Badinguet". Personne n'a cherché à en savoir plus, je suis un peu déçu du manque d'intérêt.
Après George Sand, m'intéresser de plus près à la délicieuse et aimante marquise fut un plaisir.
J'essaierai d'être plus présent pour mes amis après la rentrée de septembre, j'ai un programme chargé jusque-là. Bisous à toi, sympathique et fidèle C.
MC

Tu ne me surprendras pas par cette idée de perfection qui t'anime. J'ai vu effectivement ce "pastiche" à l'état brut sur les réseaux sociaux. Par tes recherches sur l'auteur présumé et les incohérences (que tu signales), puis par cette magnifique présentation de madame de Sévigné, tu as apporté ta valeur ajoutée. J'en déduis donc que tu es toujours dans l'écriture, ce qui explique qu'on ne te voit plus, pas seulement à cause du confinement qui nous a été imposé. Tu nous manques. Bisous virtuels. C.

Merci @Jean-Michel Joubert pour avoir laissé une trace de votre passage avec un avis pertinent.
Effectivement, ce "pastiche" a pas mal circulé, dans son état brut et perfectible.
Pour ce qui me concerne, je l'ai reçu d'une amie et la similitude avec la situation actuelle de confinement m'a donné envie de satisfaire mon âme d'historien, d'où les incohérences multiples relevées, associées à une mise en forme et à quelques corrections pour en faire quelque chose de présentable, d'abouti.
Je suis allé jusqu'à rechercher l'auteur d'origine "supposé". Et comme son nom méritait des recherches plus approfondies, j'ai eu le plaisir de remonter jusqu'à son impérial ascendant. Le clin d'oeil de l'Histoire est que son impérial ascendant est lui-même un fils naturel (ce qui est établi par l'ADN), qu'après lui la lignée jusqu'à Jean-Marc Banquet d'Orx comprend encore deux générations d'enfants naturels et que pour certains la ressemblance avec Napoléon III est frappante.

l'idée est intéressante et amusante, le style bien rendu. A tel point que j'ai vu circuler un des pastiches sur Facebook l'auteur le présentait comme une sorte de comparaison politico-philosophique avec la situation actuelle . Dans un premier temps, je m'y suis laissé prendre et ensuite je l'ai descendu en flammes comme "fake news" car il y avait deux erreurs factuelles. Le jour de la semaine ne correspondait pas à la date et Mazarin était mort depuis longtemps.

@la miss, désolé (ou désolée) ? Un lapsus révélateur ! Peut-être que le mieux serait de retirer ces commentaires pour être pardonné (ou pardonnée) de votre ingratitude. Affaire à suivre donc !

Désolé pour mes commentaires, je me sens très mal en ce moment (peut-être le confinement), j'ai des céphalées indomptables, et le cerveau qui me rend folle. Pardonnez-moi mon ingratitude.
Cordialement
la miss

"Honni soit qui mal y pense" ! Les recherches — sérieuses — sont un travail. MC.
PS : la miss est plus seyant que "porphyre"

@Michel CANAL Cher Monsieur, je vous trouve, comment dire ? gonflé de présenter comme venant de vous, provenant de vos recherches, les commentaires historiques qui entourent la parution sur les réseaux sociaux de ce pastiche de la célèbre marquise : vous vous êtes contenté de pomper ce qu'on trouve aisément sur divers sites du Net. Ce n'est pas joli-joli, ça, Monsieur, la tricherie. PS : Je vous accorde quand même cinq étoiles, parce que, plus que le pastiche lui-même, vos commentaires m'ont beaucoup amusée.

Merci @lamish de ton nouveau passage sur la page non polluée. Tu me connais, mon âme d'historien que j'ai partagée trop brièvement avec "Claire" me procure énormément de plaisirs. Je suis toujours prêt et partant pour me lancer dans des recherches sur tel ou tel personnage.
Je t'avais ajouté sur la page supprimée :
"Le seul mérite qui me revient est d’avoir repris ce texte, de l’avoir mis en valeur, d’avoir informé le lecteur qu’il s’agit d’un « pastiche » comprenant pas mal d’incohérences, d’avoir fait des recherches sur son auteur présumé : un personnage intéressant à découvrir (réplique surprenante de son impérial ancêtre). De quoi avoir bien occupé ma matinée de dimanche, dernier jour du confinement à plein temps."
Et plus loin :
"En terme de confinement, le grand sujet du temps présent, l’émission d’hier soir « Secrets d’Histoire » nous aura permis de méditer sur celui d’une tout autre nature qu’a subi la famille royale après la prise des Tuileries jusqu’à l’exécution de Louis XVI et de Marie-Antoinette, et plus longuement pour leur fille Marie-Thérèse. Passer d’une vie agréable au château de Versailles et ses dépendances du Petit Trianon et du Hameau de la Reine à la prison du temple dans les conditions les plus sordides a sans doute permis à plus d’un de se dire que notre confinement, fût-il imposé, assujetti à des attestations, contrôlé par les forces de l’ordre, sanctionné parfois, ne fut cependant pas une privation de liberté intolérable."
Bonne journée à toi. Bises. MC