Sarah et sa fille Christine mènent une vie simple et normale. Toutes deux vivent dans une demeure avec Jack Leaderway, père de Sarah et grand-père de Christine. Madame Leaderway, mère de Sarah et grand-mère de Christine, est atteinte du syndrome de Guillain-Barré. En lisant les chapitres du roman jusqu’à le chapitre 21, on croit que madame Leaderway est morte des suites du Guillain-Barré, mais à la fin du roman on va découvrir une surprise choquante et inattendue.
( Note : il y a des passages en manière de poèmes. Le chapitre 21 se compose de 302 vers : lyrisme. )
Ce livre est noté par
@Philippe De Vos
Je suis faux auteur ? Comment cela ?
Bonjour @Philippe De Vos
Je vois que vous ne pouvez pas répondre. Je suis sûr que vous ne vous êtes pas attendu à un chapitre ( chapitre 21 ) qui vous laisse bouche bée.
Bonjour @Philippe De Vos
Avez-vous lu le chapitre 21 ? J'attends votre réponse.
Bonjour @Philippe De Vos
Je vous invite à lire le chapitre 21 et dites-moi ce que vous en pensez.
@ESSADIQ BENARREG
Eh ben ça alors ! Les bras m'en tombent et pardonnez-moi, je suis pris d'un fou rire. Vous m'aviez répondu que vous étiez sérieux le 12 janvier, mais j'avais encore des doutes sur votre réponse. Vous pensiez vraiment avoir le prix concours mBS ??? Et si vous ne commentez pas quelques autres auteurs, vos livres seront désactivés. Je ne sais pas si vous suivez bien le fonctionnement de ce site. Eh oui que voulez-vous, c'est le jeu. Au bout d'un moment, les livres perdent des lectures (si tant est qu'on soit lus au-delà de quelques lignes) et dégringolent dans le classement. Vous avez eu une chance unique que Philippe se penche sur votre texte et vous donne ses conseils avisés. Pour ma part, j'en ai pris note, car j'apprécie la justesse de ses interventions et que lui il le mérite le prix concours mBS avec 7 petits cœurs sur ses livres. Et pourtant il n'a jamais était nominé. Il est resté sur le seuil et, malgré tout, il n'en est pas désespéré et continue d'écrire et de s'intéresser aux autres auteurs sur ce site. Vous savez que lorsqu'on n'accroche pas à un livre dès les premières lignes (les plus importantes), il est inutile d'insister et que vos 402 lectures ne veulent absolument rien dire. Une lecture s'incrémente dès que l'on ouvre une lecture. Et quand on écrit en se prenant pour un ÉCRIVAIN, on a TOUT faux ! Je ne comprends pas trop, moi qui suis modeste et qui poste mes écritures, justement, pour avoir de précieux conseils pour m'améliorer et il y a encore du boulot depuis 10 ans que je me suis lancé dans cette aventure, pleine d'écueils, mais tellement passionnante ! Allez, jeune homme prenez du recul et vous verrez que dans quelques années, vous rirez, vous aussi, de la fougue de votre jeunesse. Avoir des rêves, c'est bien, mais il faut se méfier des illusions qui peuvent être destructrices. Remettez votre ouvrage sur le métier comme vous le conseille Philippe. Cordialement. DC
@Dick C.
@Michael Sherwood
@madline
Vous voyez ? Mon roman commence à perdre son classement et, bien sûr, sans avoir obtenu le Prix Concours monBestSeller.
Bonjour @Philippe De Vos
Je vois que vous ne commentez que la première page du premier chapitre de mon roman. Avez-vous lu tout le roman ?
Bonjour @ESSADIQ BENARREG
Vous êtes un curieux personnage qui racole large en demandant aux autres auteurs de lire votre roman.
Alors, avant de m'attacher à la lecture de votre roman, je vous invite à lire le mien :
https://www.monbestseller.com/manuscrit/9494-cambodge-la-longue-quete
Cordialement
Bonjour @Marie Morvan
Je ne comprends pas "Superfependiant". Que signifie-t-il ?
Superfependiant
Bonjour @Dick C.
Oui, je suis tellement sérieux.
@ESSADIQ BENARREG un doute me vient : vous êtes sérieux ou est-ce de l'humour ?
@Dick C.
@Michael Sherwood
@madline
Je vois que le site monbestseller est très intelligent, voire machiavélique. Ce site laisse le classement de mon livre avec progression pour me plaire et me donner l'impression que mon roman a un bon classement, mais j'ai l'intuition qu' à la fin de tout cela mon livre va perdre son classement sans obtenir, bien entendu, le Prix Concours monBestSeller.
@Dick C.
@Michael Sherwood
@madline
J'ai l'intention de supprimer mon livre, car je vois que ce dernier n'est pas un bon roman pour le Prix Concours monBestSeller.
@Dick C.
@Michael Sherwood
@Blanchet Rachid
@madline
@Constantin Malheur2
Bonjour,
" Sarah Leaderway, c'est moi ". Qu'en pensez-vous ?
@Dick C.
@Michael Sherwood
@Blanchet Rachid
@madline
@Constantin Malheur2
Bonjour,
" Sarah Leaderway, c'est moi " veut dire qu'il y a des points communs entre moi et Sarah Leaderway.
@Dick C.
@Michael Sherwood
@Blanchet Rachid
@madline
@Constantin Malheur2
Bonjour,
Vous connaissez tous la fausse citation intéressante : " Madame Bovary, c'est moi " qui aide à l'étude de l'œuvre de Gustave Flaubert !
Pour vous aider à étudier mon œuvre, je peux dire : " Sarah Leaderway, c'est moi ".
Bonjour @ESSADIQ BENARREG
Rien d'irrespectueux dans ma remarque, au contraire, c'est même dans mon esprit plutôt valorisant ou flatteur.
C'est dû au contenu de votre roman, qui semble montrer une bonne connaissance des USA, de sa géographie, de sa culture. Le fait aussi que vous ayez choisi une maison d'édition New-Yorkaise pour votre livre (alors qu'il est écrit en français ! )
Mais peut-être pourriez-vous vous en expliquer à vos lecteurs ?
MS
@Michael Sherwood
Bonjour Michael,
Auriez-vous la bonté de m'expliquer pourquoi me prendre pour quelqu'un qui a soit vécu aux USA, soit s’est imprégné de la culture, ou a effectué un travail de recherche précis sur une secte religieuse aux USA. Ou tout cela pris ensemble ?
@Blanchet Rachid
Bonjour Ernesto, ou Bruno, ou Rachid,
Il y a un mystère Essadiq Benharreg ! Et un mystère Sarah Leaderway !
Je vois déjà le professeur prêt à fondre avec son stylo rouge sur la copie du malheureux
pris en faute :- )
Non, rien de tel. Les passages empruntés et traduits sont en définitive peu nombreux, utilisés au moment d’expliciter des faits culturels compliqués difficiles à reformuler.
L’auteur qui a une vidéo sur YouTube s’explique en français très fluide (le son très bas ne permet pas de saisir grand-chose.)
C’est pour moi quelqu’un qui a soit vécu aux USA, soit s’est imprégné de la culture, ou a effectué un travail de recherche précis sur une secte religieuse aux USA. Ou tout cela pris ensemble.
Je pense qu’il ne faut pas juger trop vite ce roman (en mettant de côté la correction grammaticale) qui mérite une analyse formelle et psychologique plus poussée. Ainsi la répétition des repas simples de la petite fille avec sa mère, pris souvent dans leur chambre, la sorte d’adoration que voue la mère à la fille, et bien d’autres choses (la secte religieuse, les rapports à la maladie, les grands-parents, …) que je n’ai pas analysées.
Amitiés, MS
Bonjour @ESSADIQ BENARREG
Roman intéressant à plus d'un titre. Lisant plus souvent des livres anglais et américains que français, la forte connotation culturelle anglo-saxonne m'a vite intrigué. J'ai vérifié les noms propres, les lieux géographiques, les paroles des nursery-rhymes, les films cités. Tout est parfaitement crédible. Jusqu'à un nom de banquier français, Marc Roche américanisé en Marc Chrowch !
Ce livre semble, au moins pour parties, fait de collages d'ouvrages anglo-saxons : ainsi p 149-150 on trouve mot pour mot un extrait de "The Wedding day in all ages and countries" traduit en français.
Ce qui explique peut-être la qualité inégale du texte : des passages très fluides et d'autres moins, signalés par Constantin Malheur dans son commentaire.
MS