
« Le Corbeau »
Dans un Paris hanté par un phénomène météorologique étrange et inhabituel, où la foudre et les éclairs qui zèbrent compulsivement l'horizon illuminent la ville d’une lumière aveuglante et surnaturelle, le capitaine Maurel gravit les escaliers de la rue Pascal pour se rendre boulevard Port- Royal. Il emprunte le même chemin parcouru par une femme qui a récemment kidnappé une fillette de six ans, toutes deux ayant ensuite mystérieusement disparu dans ces escaliers. Il est loin de se douter que lui-même et d'autres personnes vont également se
« volatiliser » au même endroit. La trame des histoires vécues par les personnages de cet ouvrage est ancrée dans un discours narratif fantastique et merveilleux.
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Est-ce la traduction pas toujours précise ou parfois un peu molle ? Est-ce la ponctuation hésitante ? Est-ce quelques réflexions sur le mariage, la lassitude avec le temps, un peu bateau, voire plus même ? Est-ce ma concentration défaillante ? Est-ce le découpage qui nous fait passer d’une scène à une autre qui fait qu’on a à peine le temps de s’installer qu’il faut déjà changer de fauteuil ? Sans doute un peu de tout. Je le regrette, car évidemment il y a un mystère qu’on a envie de comprendre et percer et cette promesse fantastique...