Alex, 12 ans, est en colère contre la vie, l'injustice, les escaliers et… les pigeons. Il vit avec Henry et Anne au 3 étage d'un immeuble sans ascenseur. Alex est un garçon sensible qui décrit son univers à hauteur d'enfant avec un langage hors norme souvent drôle et décalé.
« La vie, je la trouvais bien plus raide qu’un escalier"," Dans la vie, il faut s’attendre à tout et surtout à l’inattendu », « La mort ne me fait pas peur. Tant que je suis en vie, j’ai rien à craindre ». Alex va accompagner son père dans la mort et même au delà en terminant à sa place le roman de sa vie. L’injustice, la vie, la mort, , tous ces thèmes s’entremêlent savamment pour donner un récit atypique teinté d’humour et de tendresse.
Ce livre est noté par
@Alix Cordouan, oh, merci infiniment pour votre commentaire Alix. Venant d'un auteur émérite comme vous, j'en suis d'autant plus ému et sincèrement touché. Le commentaire d' un collègue auteur me procure toujours un effet singulier, comme celui d'un ami, ou d'un proche. C'est très étrange, très intime, un peu comme un magicien qui dirait à un autre magicien "Bien joué, j'ai plongé dans ton tour les yeux fermés !".
Encore merci Alix, et je ne manquerai pas de lire "Une araignée dans le plafond" et de vous en faire un retour.
Bien à vous,
Amitiés, Paul
Pas de problème @Paul Vernon .
Je vous invite à lire et à commenter mon recueil poétique.
@Marco Psy, merci pour votre commentaire. Amitiés. Paul.
Intéressant de décrire comment un enfant innocent perçoit la mort. L'idole d'un enfant est souvent son père. Il essaye de le réincarner au fil de sa vie.
Dans ce roman, la réincarnation est littéraire mais très forte car en littérature il faut une empathie parfaite avec l'idole pour lui terminer un livre.
@Cecduh, merci beaucoup pour votre vote et pour votre commentaire. Amitiés, Paul.
@Marine Plouvier-Vivien, Merci beaucoup pour votre commentaire. Vos mots me vont droit au cœur, Amitiés. Paul.
@Marie-Claude Bonmariage, merci infiniment pour vos mots, Amitiés. Paul
@sbtoualbi, merci beaucoup pour votre commentaire. Amitiés. Paul
Je ne suis qu'au 3ème chapitre mais je me réjouis de pouvoir continuer ma lecture tant ce jeune Alexandre est attachant.
Vous avez une belle belle plume Paul.
Je me réjouis de découvrir la suite.
Une histoire attachante, pleine de sensibilité et d émotions. J ai beaucoup aimé.
Les expressions hilarantes et tendres. Une vie d enfant et sa vision des choses
Faite d enthousiasme et de peine’ j ai aimé.
@Sophia Desliet, merci beaucoup pour votre commentaire. Amitiés. Paul
Une histoire racontée avec allant et truffée de trouvailles par un jeune personnage attachant, candide et philosophe à ses heures. Malgré la gravité du sujet, le ton et le style nous réservent des passages très drôles. On se laisse porter au fil des pages.
Nice
@Ahmed Bouchikni, merci beaucoup pour votre commentaire. Amitiés. Paul
@ Paul Vernon J'ai lu votre texte en deux jours. C'est profond et plein d'émotions. Toutes mes félicitations.
@Lauren Back, merci beaucoup pour votre avis éclairé. Vous n'avez pas passé votre chemin sur la pointe des pieds...Est-ce à dire que vous avez aimé ? Presque, peut-être… J'ai noté votre remarque sur la citation, vous avez tout à fait raison, c'était gros comme un éléphant dans un couloir ! Je viens de faire la correction. Sur la question du style, c'est toujours très subjectif, mais je note également votre remarque. La fluidité, c'est important et en tant qu'auteur, c'est pour moi un point essentiel. Je partage aussi votre référence à Romain Gary, mon auteur préféré. Merci encore, Amitiés. Paul.
1ère phrase de Romain Gary, je ne peux qu’apprécier cette référence majeure, mais n’y aurait-il pas une petite faute malheureuse sur le à ? L’écriture d’un enfant par un adulte, bien sûr que c’est un exercice difficile, d’autant que le cinéma nous a collectivement influencés, que l’on voit autant qu’on lit. Je trouve que vous y êtes presque très bien arrivé (si je peux me permettre), on rentre dans ses pas, dans sa tête, mais il y a des petites phrases qui rappellent trop souvent la réalité. Par exemple : "il y avait les immeubles qu’on appelle des HLM". Pourquoi sentez-vous le besoin de nous le dire ainsi vs "il y avait des HLM" ? ça casse un peu le rythme. Mais cela dit, oui c’est une belle histoire, pleine d’émotion et d’émotions. Bravo.
1ère phrase de Romain Gary, je ne peux qu’apprécier cette référence majeure, mais n’y aurait-il pas une petite faute malheureuse sur le à ? L’écriture d’un enfant par un adulte, bien sûr que c’est un exercice difficile, d’autant que le cinéma nous a collectivement influencés, que l’on voit autant qu’on lit. Je trouve que vous y êtes presque très bien arrivé (si je peux me permettre), on rentre dans ses pas, dans sa tête, mais il y a des petites phrases qui rappellent trop souvent la réalité. Par exemple : "il y avait les immeubles qu’on appelle des HLM". Pourquoi sentez-vous le besoin de nous le dire ainsi vs "il y avait des HLM" ? ça casse un peu le rythme. Mais cela dit, oui c’est une belle histoire, pleine d’émotion et d’émotions. Bravo.
@Neven, merci à vous pour votre commentaire éclairé ! Amitiés. Paul
@Ryla, Merci beaucoup d'avoir pris le temps de lire cette histoire. Je suis heureux que le style vous plaise et que vous vous reconnaissiez en Sophie. Bien à vous.
@soso64, Merci beaucoup pour votre note et votre commentaire. Bien à vous.
@Delphine ROBIN, Merci beaucoup Delphine ! J'apprécie énormément votre commentaire. Et vos 5 étioles me vont droit au cœur. Bien à vous
J'ai bien aimé votre histoire, et plonger dans le quotidien de ce petit garçon, son amour pour cette petite fille qui m'a donné une note de douceur et de nostalgie.
Cinq étoiles pour vous ici car depuis mon téléphone je n'arrive pas à les mettre.
@Hugues Cayzac, merci infiniment pour votre avis éclairé. Je suis sensible à vos mots. Bien à vous.
Extrait :
Le dimanche, on allait voir la mer. C’est l’avantage d’habiter près des côtes, la mer n’est jamais très loin. On y allait en voiture avec les suspensions de la Citroën de papa. Au loin, on apercevait les îles anglo-normandes qui sont toujours au même endroit. Nous, on était pas loin sur une presqu’île. Presque, c’est presque ça mais pas tout à fait. Papa et maman fumaient les vitres ouvertes. Le coude de papa était posé contre la portière. A la radio, on écoutait Monsieur Alain Souchon dire à sa maman qu’il s’était fait des bobos. C’était le bonheur. Un bonheur de carte postale.
Ensuite, on allait déguster une glace à l’italienne sur la plage. Je ne suis pas raciste comme beaucoup de Français et je ne compte pas le devenir un jour parce que j’aime bien le coyote qui est né à Marseille comme Arabe et que je ne veux pas d’histoire de religion entre nous. Et pour les glaces, je suis italien, qu’on se le dise. Après, on s’allongeait sur le sable et on regardait défiler les nuages. Chez nous, ils sont très nombreux car ils ont l’esprit de solidarité et les solutions sont toujours collectives comme dit Monsieur Guérant. Ce qu’on aimait faire, c’était de leur imaginer des formes. Maman était très fortiche à ce jeu, elle voyait des fleurs, des visages heureux ou des papillons. Moi je voyais des nageoires de baleines, des trompes d’éléphants ou les cheveux bouclés de Sophie. Papa ne voyait rien par manque d’imagination et il préférait creuser un trou dans le sable et s’enterrer dedans pour ne rien voir. Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés.
@Jean Guellec
Merci beaucoup Jean. Vos mots me vont droit au cœur ! Bien à vous. Paul
Extrait :
Le docteur a remonté ses lunettes sur son nez et s’est gratté le menton. Je crois qu’il était un peu surpris mais il fit semblant de rien. C’est vrai que des fois je me surprenais moi-même et c’était toujours une surprise quand ça arrivait.
—Dis moi Alex…Est-ce que tu ressens des sentiments pour cette Sophie ?
— Des sentiments comment ?, j’ai demandé
—Comme de l’amour par exemple.
J’ai repensé aussitôt à la madeleine et à l’orage, aux yeux verts et aux 47 francs 50 que j’ai jetés dans le caniveau et aussi à tout ce qu’on n’avait pas vécu encore ensemble et j’ai dit.
— Sophie est ma meilleure amie, elle est comme ma sœur et je ne suis pas un pervers qui montrerait sa bite à sa sœur, il y a des limites tout de même. Jamais je ne ferais un truc pareil, juré, craché.
Le docteur Hakiki a froncé les sourcils et m'a regardé par en dessous par dessus ses lunettes.
— Je ne parle pas de l’amour physique, Alexandre, mais de l’amour du cœur.
Alors là, s’il compte que je lui parle de la foudre, des jambes qui flageolent et des bruits d’éviers dans l’estomac, il se fourre le doigt dans l’œil jusqu’à l’os. Je regardais le voilier qui filait à cent à l’heure, j’étais à mille lieux d’ici grâce à l’imagination et le docteur Hakiki ne pourrait jamais me rattraper avec ses questions intimes. L’intimité, c’est personnel, et ça ne regarde personne.
@Gabriel Schmitt
Vous le savez fort bien, étant auteur vous-même, nous courons tous derrières les avis et les commentaires avec une soif sans égale ! Je fus étonné tout comme vous de l'absence de commentaires sur mon livre malgré un nombre important de lecteurs, et j'en fus même un peu triste je dois le reconnaître, (le syndrome de l'imposteur et du cancre s'est réveillé en moi après des années de silence). Mais à bien y réfléchir, je préfère volontiers les recevoir au compte gouttes s'ils ont la qualité et la pertinence du votre ! Car, cher Gabriel, que mon roman vous ait plu ou non, vous l'avez compris et vous m'avez démasqué ! Vous m'avez fait le plus grand honneur et j'ose penser que vous n'avez pas perdu votre temps en parcourant ces pages. Notre rapport à une œuvre (le mot est fort mais tant pis, je l'assume) est riche et complexe et je crois profondément que le but de créer n'est pas de plaire à tout prix mais d'embarquer le lecteur et de lui faire partager notre univers. Un bon roman, c'est celui qui résonne en nous après l'avoir refermé.
J'ai entendu vos remarques constructives et argumentées et, vous avez raison, les références que je mentionne dans le synopsis font très certainement peser sur le roman une promesse et une comparaison qu'il ne peut soutenir. On ne se compare pas impunément à des génies sans recevoir l'opprobre. J'ai manqué d'humilité (je n'en manque pas dans la vie)et je m'en vais de ce pas le corriger.
Pour le reste, tout est une question de subjectivité et j'ai apprécié la vôtre !
Alors, on reste en contact et je ne manquerai pas de vous faire part de mes commentaires sur votre travail ! Bien à vous et encore merci Gabriel !