Alors attention ce n'est pas un reproche mais quand je dis fouillis, c'est de raconter son dépucelage en passant par comment j'ai appris à faire du vélo. C'est comme ça que moi je le ressens après faut dire je suis très compliqué par moment.
@Catarina Viti
Tiens, tiens, une des rares véritables écrivaines de ce site ! Quel honneur vous me faites, Madame ! (Je n'osais pas m'adresser à vous, because ma longue absence inexpliquée. Entre parenthèses, j'ai relu très récemment votre "Homme oublié d'Atropos". Chapeau bas et révérences subséquentes !) Pour "Lafcadio", je vais voir ce que je peux faire. Il faut d'abord que je le relise. On verra.
Bises, bien sûr.
PS : Au fait, dame Catarina, comment vont tes espiègles poules ? Et ton chat ?
@Joseph Lestrange
Eh bien, merci, cher frère, pour cette gentille appréciation. Parce que, après toutes ces années, peut-être est-il temps de le révéler : sous chacun de nos pseudonymes nous sommes deux, frère et soeur, jumeaux et quelque peu incestueux, l'un totalement hétérosexuel et l'autre complètement lesbienne (tu es le seul et unique mâle qui m'ait jamais pénétrée), complices dans la vie, dans l'écriture et dans le sexe (combien de fois ne nous est-il pas arrivé d'échanger nos conquêtes, quand elles se prêtaient au jeu). Voilà, c'est dit, beaucoup nous jugerons immoraux, mais qu'est-ce qu'on en a à fiche des condamnations du troupeau ?!
@Kroussar
D'abord, merci, Monsieur, de m'avoir épargné les étoiles. De fait, je suis stellophobe de mère en fille depuis 1887. Ensuite, sachez que je suis ravie que votre relecture vous ait procuré quelque plaisir. Quant à savoir pourquoi Mlle Balibar, je crois que c'est en dehors de la question. Et je trouve qu'il serait un peu dommage d'en révéler plus sur elle. En tout cas, merci d'être passé.
@émilie brock
Je ne suis pas venu jusqu'à votre page pour me venger des propos acerbes (et non "à cerbes", comme le croient certains littérateurs étourdis, oubliant que le mot "cerbe" n'existe nulle part dans notre hémisphère) que vous avez concoctés pour flinguer ma nouvelle. Rassurez-vous (si tant est que vous ayez besoin de l'être, mais je ne le crois pas, vous me faites plutôt l'effet d'une jeune femme que rien n'effraie, je dirais même d'une guerrière qui ne donne bien toute sa mesure que dans le conflit de haute intensité) ; rassurez-vous, je ne cherche pas à venger mon honneur bafoué, ma clémence pour vous est entière et sincère, Auguste, comparé à moi, est un petit garçon (mais si, rappelez-vous, "Cinna, prends un siège, etc"), je suis juste venu constater de quoi vous étiez capable, nullement découragé par la critique à l'emporte-pièce de Mme Louicellier qui traite assez cavalièrement votre nouvelle de nullité. (Nul doute qu'elle vous aime, cette dondon félinophile ! Que lui avez-vous donc fait, pour qu'elle en oublie ainsi jusqu'à la moindre civilité ?)
Donc, je suis venu, j'ai lu et j'ai été vaincu. Parce que force m'a été de reconnaître qu'en dépit des airs d'amazone assoiffée de sang et de carnage que vous aimez adopter, couve en vous une jolie sensibilité, un sensibilité que vous prenez plaisir, semble-t-il, à dissimuler. Aux yeux d'un lecteur un peu frivole, votre nouvelle passera sans doute pour peu de chose. Ce sera tant pis pour ce lecteur, car le portrait que, par le seul truchement d'un dialogue plein d'humour, vous dressez d'une jeune adolescente rebelle à la bienséance et au prêt-à-penser est une très jolie réussite, encore que je comprenne très bien que les tenants des convenances puissent se sentir offensés. Bravo, donc, et si vous avez d'autres nouvelles, n'hésitez pas à nous charmer.
PS : Votre emploi du futur pour mener votre nouvelle est un coup de génie ! Je trouve qu'il ancre le dialogue (et l'amour et la tendresse qui en émanent) dans une sorte d'éternité.
Même si mon commentaire ne respecte pas la sacro-sainte règle monbestsellérienne, celle d'attribuer à tour de bras des constellations de comètes sans queue, sachez que j'ai aimé relire cette vive et charmante discussion, entre deux ingénues, que sont Zoé et sa sœur Océane...
J'espérais trouver la réponse à mon éternelle question : pourquoi Mlle BALIBAR ? Et bien non, cette nouvelle publication n'apporte pas la solution.
Déçu, je suis. Je m'en retourne nourrir mon crabe. "C'est un vorace".
PS : un grand merci, pour vos pseudos, cela va me faire gagner un temps fou, et me faciliter l'accès à vos œuvres.
Que l'auteur du "Manuel d'acclimatation du Français à Genève" (un pensum de près de deux cents pages écrit dans une langue qu'on croirait née sous la plume d'un dysorthographique en phase terminale) vienne jusqu'ici pour déclarer nulle ma nouvelle, voilà qui ne manque pas de sel. Ne me reste plus qu'à attendre le poivre.
@Kroussar
C'est juste nul sa nouvelle ou paraît-il son ancienne... Quoique un poil (et pas de goudou) mieux que celles de ses acolytes/pseudos Lestrange et Isabelle Blackeney...
@Kroussar
A vue de nez, il s'agirait de Joseph Lestrange, jzbl, jzbl 2 et, donc, émilie brock. En tout cas, pour le moment, car M. Monbestseller a parfois des sursauts de censure et m'envoie valdinguer dans ses oubliettes.
PS : Les crabes sont des bestioles ingrates. Et, d'ailleurs, ils ont trop de pattes pour être bien honnêtes.
Bien le bonjour cher maître de la plume, des bons mots et de la ponctuation. Absent pendant un long moment, trop occupé à élever un crabe, qui n'est même pas reconnaissant ; j'ai probablement loupé vos nombreuses nouvelles toujours très pertinentes et récréatives.
À très vite après lecture de "Zoé et Mlle Balibar" dont je pressens le contenu...
PS : m'accorderiez-vous une faveur ? Celle de me communiquer tous vos nouveaux pseudos.
Ce livre est noté par
Alors attention ce n'est pas un reproche mais quand je dis fouillis, c'est de raconter son dépucelage en passant par comment j'ai appris à faire du vélo. C'est comme ça que moi je le ressens après faut dire je suis très compliqué par moment.
Pertinente et pleine de fouillis cette nouvelle, j'aime beaucoup... merci!
@Catarina Viti
Tiens, tiens, une des rares véritables écrivaines de ce site ! Quel honneur vous me faites, Madame ! (Je n'osais pas m'adresser à vous, because ma longue absence inexpliquée. Entre parenthèses, j'ai relu très récemment votre "Homme oublié d'Atropos". Chapeau bas et révérences subséquentes !) Pour "Lafcadio", je vais voir ce que je peux faire. Il faut d'abord que je le relise. On verra.
Bises, bien sûr.
PS : Au fait, dame Catarina, comment vont tes espiègles poules ? Et ton chat ?
Puisque nous sommes dans les rééditions : nous fûmes nombreux zici à apprécier "Lafcadio".
Alors, un ch'tit coup de refeuleumeleu ?
@Joseph Lestrange
Eh bien, merci, cher frère, pour cette gentille appréciation. Parce que, après toutes ces années, peut-être est-il temps de le révéler : sous chacun de nos pseudonymes nous sommes deux, frère et soeur, jumeaux et quelque peu incestueux, l'un totalement hétérosexuel et l'autre complètement lesbienne (tu es le seul et unique mâle qui m'ait jamais pénétrée), complices dans la vie, dans l'écriture et dans le sexe (combien de fois ne nous est-il pas arrivé d'échanger nos conquêtes, quand elles se prêtaient au jeu). Voilà, c'est dit, beaucoup nous jugerons immoraux, mais qu'est-ce qu'on en a à fiche des condamnations du troupeau ?!
@Kroussar
D'abord, merci, Monsieur, de m'avoir épargné les étoiles. De fait, je suis stellophobe de mère en fille depuis 1887. Ensuite, sachez que je suis ravie que votre relecture vous ait procuré quelque plaisir. Quant à savoir pourquoi Mlle Balibar, je crois que c'est en dehors de la question. Et je trouve qu'il serait un peu dommage d'en révéler plus sur elle. En tout cas, merci d'être passé.
@émilie brock
Je ne suis pas venu jusqu'à votre page pour me venger des propos acerbes (et non "à cerbes", comme le croient certains littérateurs étourdis, oubliant que le mot "cerbe" n'existe nulle part dans notre hémisphère) que vous avez concoctés pour flinguer ma nouvelle. Rassurez-vous (si tant est que vous ayez besoin de l'être, mais je ne le crois pas, vous me faites plutôt l'effet d'une jeune femme que rien n'effraie, je dirais même d'une guerrière qui ne donne bien toute sa mesure que dans le conflit de haute intensité) ; rassurez-vous, je ne cherche pas à venger mon honneur bafoué, ma clémence pour vous est entière et sincère, Auguste, comparé à moi, est un petit garçon (mais si, rappelez-vous, "Cinna, prends un siège, etc"), je suis juste venu constater de quoi vous étiez capable, nullement découragé par la critique à l'emporte-pièce de Mme Louicellier qui traite assez cavalièrement votre nouvelle de nullité. (Nul doute qu'elle vous aime, cette dondon félinophile ! Que lui avez-vous donc fait, pour qu'elle en oublie ainsi jusqu'à la moindre civilité ?)
Donc, je suis venu, j'ai lu et j'ai été vaincu. Parce que force m'a été de reconnaître qu'en dépit des airs d'amazone assoiffée de sang et de carnage que vous aimez adopter, couve en vous une jolie sensibilité, un sensibilité que vous prenez plaisir, semble-t-il, à dissimuler. Aux yeux d'un lecteur un peu frivole, votre nouvelle passera sans doute pour peu de chose. Ce sera tant pis pour ce lecteur, car le portrait que, par le seul truchement d'un dialogue plein d'humour, vous dressez d'une jeune adolescente rebelle à la bienséance et au prêt-à-penser est une très jolie réussite, encore que je comprenne très bien que les tenants des convenances puissent se sentir offensés. Bravo, donc, et si vous avez d'autres nouvelles, n'hésitez pas à nous charmer.
PS : Votre emploi du futur pour mener votre nouvelle est un coup de génie ! Je trouve qu'il ancre le dialogue (et l'amour et la tendresse qui en émanent) dans une sorte d'éternité.
Même si mon commentaire ne respecte pas la sacro-sainte règle monbestsellérienne, celle d'attribuer à tour de bras des constellations de comètes sans queue, sachez que j'ai aimé relire cette vive et charmante discussion, entre deux ingénues, que sont Zoé et sa sœur Océane...
J'espérais trouver la réponse à mon éternelle question : pourquoi Mlle BALIBAR ? Et bien non, cette nouvelle publication n'apporte pas la solution.
Déçu, je suis. Je m'en retourne nourrir mon crabe. "C'est un vorace".
PS : un grand merci, pour vos pseudos, cela va me faire gagner un temps fou, et me faciliter l'accès à vos œuvres.
@émilie brock
;)
Que l'auteur du "Manuel d'acclimatation du Français à Genève" (un pensum de près de deux cents pages écrit dans une langue qu'on croirait née sous la plume d'un dysorthographique en phase terminale) vienne jusqu'ici pour déclarer nulle ma nouvelle, voilà qui ne manque pas de sel. Ne me reste plus qu'à attendre le poivre.
@Kroussar
C'est juste nul sa nouvelle ou paraît-il son ancienne... Quoique un poil (et pas de goudou) mieux que celles de ses acolytes/pseudos Lestrange et Isabelle Blackeney...
@Kroussar
A vue de nez, il s'agirait de Joseph Lestrange, jzbl, jzbl 2 et, donc, émilie brock. En tout cas, pour le moment, car M. Monbestseller a parfois des sursauts de censure et m'envoie valdinguer dans ses oubliettes.
PS : Les crabes sont des bestioles ingrates. Et, d'ailleurs, ils ont trop de pattes pour être bien honnêtes.
Bien le bonjour cher maître de la plume, des bons mots et de la ponctuation. Absent pendant un long moment, trop occupé à élever un crabe, qui n'est même pas reconnaissant ; j'ai probablement loupé vos nombreuses nouvelles toujours très pertinentes et récréatives.
À très vite après lecture de "Zoé et Mlle Balibar" dont je pressens le contenu...
PS : m'accorderiez-vous une faveur ? Celle de me communiquer tous vos nouveaux pseudos.