Valsa, un policier de banlieue en dispo, est réveillé en pleine nuit par des cris venant de l'appartement du dessus, il monte et découvre une femme gisant à terre ainsi que l'homme qui vient de la frapper. Un affrontement survient et l’agresseur s’enfuit. L'affaire pourrait s'arrêter là mais, Valsa, accompagné de 3 amis ‘border line’ et boxeurs, Bromure, Panama et Le Chien, vont se retrouver mêlés à une sombre histoire . Coincés entre édiles véreux et pègre de l'Est. A L'histoire policière se greffe en outre d'autres grands problèmes humains qui submergent la société d'aujourd'hui. Le tout, raconté dans un style sans fard, nerveux, réaliste, jamais édulcoré et souvent à l'humour noirci par l'environnement; Violence, noirceur, tendresse, humour. Un cocktail à consommer sans modération.
@JoeyNat
Hé bien ma foi, que répondre à vos louanges sinon regretter que vous ne fussiez point éditrice :), désormais, lorsque j'enverrai mon texte à un éditeur (sans grande conviction) je me permettrai, (sans vergogne) d'utiliser votre commentaire en guise de présentation, exercice pour lequel je ne suis pas vraiment doué, s'il est pris vous serez la 1ère prévenue...en attendant, faite le connaître autour de vous, le bouche à oreille, ce n'est pas si mal. Merci encore de tout cœur.
@Salvador Ricardo
Je tiens à vous féliciter pour votre saisissant roman "Et le Diable était aux anges." Votre écriture, vive et tranchante, a su capturer avec une intensité rare l'atmosphère d'un Paris nocturne et ses figures marginales. Le personnage principal, avec son passé de flic et sa tendance à s'impliquer dans des situations périlleuses, est dessiné avec une profondeur qui le rend aussi attachant que complexe.
Le mélange de suspense et d'émotion humaine crée une dynamique captivante tout au long du récit. Vos dialogues, percutants et pleins d'esprit, donnent une voix authentique à chacun de vos personnages, rendant chaque scène vivante et crédible.
Votre talent pour tisser des histoires où la noirceur des âmes se confronte à des éclairs de tendresse est remarquable. Ce roman ne se contente pas de divertir ; il interroge, dérange et, finalement, touche profondément le lecteur.
Merci pour ce voyage au cœur des ténèbres et de la lumière des êtres, j'attends avec impatience de découvrir vos prochaines œuvres.
@Catherine Snyers
Merci Catherine, déjanté, c'est un peu ma marque de fabrique...:)
@A.P. Gounon
Merci mille fois Anne, pour votre commentaire, c'est toujours un plaisir de 'convertir' une lectrice à un genre qu'elle n'apprécie pas forcément, un style, des personnages, une histoire qui se tient, qu'importe le genre!
Merci également pour votre contribution à l'Oulipo, d'autant plus que je ne connaissais pas la forme des rimes de votre poème.
Bravo à vous
@Le Duigou
Bonjour, vous avez aimé le style, c'est déjà ça mais vous n'étiez pas obligé de suivre à la lettre ma suggestion de sauter un paragraphe c'était juste une façon de me rapprocher du lecteur :)mais vous conviendrez cependant que j'ai deviné le moment exact du livre où certains lecteurs seraient tentés d'abandonner.
@DebJ
Merci pour ce précieux commentaire, les personnages sont pour moi le coeur et l'âme d'un livre, que vous vous soyez sentie si proche, voire complice de Corrida me permet de croire que j'ai atteint mon but..et si en plus le style vous a plu...
Bonjour.
J’ai commencé à lire votre livre. J’aime beaucoup le style et je ne trouve pas que ce soit vulgaire, je dirais plutôt populaire. Cependant on démarre avec une fille qui se fait tabassée, on continu dans un gymnase avec des personnages au sobriquet curieux (bromure, le chien, Panama … Pourquoi pas.) Et puis on embraye avec la famille du personnage (Corrida) et alors là vous expliquez que « vous pouvez sauter le paragraphe si ça vous saoule et passer à la suite. » He bien là j’ai arrêté. Quel drôle d’idée que de dire ça. C'était déjà pas très limpide mais il si y a encore d’autre paragraphe à sauter.
@SALVADOR Ricardo. Je viens de finir. J'ai beaucoup aimé. Le style, le phrasé, cette impression d'être assise à côté de Corrida et de l'écouter, de faire partie de sa bande. L'histoire est très prenante et sans faux semblants.
Merci pour ce livre et bonne continuation. Deb
@Zoé Florent
Que vous répondre, Zoé Michèle? Vous allez encore subir les foudres de ce Constantin de malheur qui ne supporte visiblement pas que l'on dise du bien d'un roman.
Ce qui me touche particulièrement dans votre retour, d'autant plus qu'il vient d'une lectrice que je sais avertie et exigeante, c'est votre 1ère réflexion: Un roman comme j'en lis rarement et qui m'a alpaguée" Sans parler de l'attention que vous avez porté à toutes les petites phrases qui émaillent( persillent est bien plus joli mais je vous laisse l'exclusivité) le récit. Ces petits riens qui retiennent l'attention qui marquent une réflexion, qui parfois soulèvent un problème sans pour autant se lancer dans un débat d'idées fâcheux ou un prosélytisme de circonstance.
Je dois avouer que ma 'langue' , mon style, s'il faut parler de style, ne respectent pas forcément les canons de l'écriture, ( n'en déplaise à l'incontournable C.M...) et qu'un éditeur ou deux m'ont taxé de vulgarité dans leurs réponses, ce qui m'a un peu surpris. Vous signalez avec acuité l'e non-emploi des négations, ces tournures de langage m'ont posé des problèmes, reprochant assez souvent que le langage utilisé pour les dialogues de films ou de romans étaient toujours très éloigné de la réalité. (Ils parlent tous comme des agrégés de lettres classiques) alors j'ai fini par supprimer toutes les négations du texte au risque de heurter l'oeil pour favoriser l'oreille. Oralité contre lisibilité( ou scripturalité?), voila un beau sujet de tribune pour Mbs.
Merci encore, Michèle, d'avoir poussé la porte de mon roman, tout étroite qu'elle fût.
@ Leo Ninne
Merci infiniment pour l'accueil que vous faites à mon dernier roman, c'est un vrai réconfort.
J'ai 2 romans que vous pouvez trouver sur le site des éditions Kyklos.com : "Les gens sont méchants' et La zygène de la filipendule',
Mais je tiens à vous prévenir afin que vous ne soyez pas déçue, qu'il sont assez éloignés de celui-ci, comme je le dis dans mon profil, j'ai un peu modifié ma trajectoire. Ce sont deux polars plutôt déjantés et sans souci de réalisme policier, Mais si vous aimez mes personnages, vous en trouverez dans 'la zygène' : des farfelus, des burlesques, des méchants très idiots et très méchants ainsi qu'un Orang-outan fort sympathique.
Vous apprécierez le second si vous aimez l'humour noir parfois un peu gore.
Ensuite 'Arsenal et vieux dentiers' que je ne saurai trop vous conseiller, drôle et déjanté de bout en bout: Deux grands -mères aux prises avec des malfrats encerclés par des policiers toujours aussi inefficaces.
Enfin, 'Comme les oiseaux du même nom", que je qualifierai de 'Black romance' avec une écriture plus sombre, toujours un peu d'humour malgré une trame sentimentale mêlée de polar.
Ces deux derniers ne sont trouvables que sur les sites d'occasion, assez facilement m'a t-on dit.
Voilà, j'ai été un peu long mais je préfère que vous sachiez à quoi vous en tenir, l'achat d'un livre n'est pas une chose anodine surtout sur internet où vous devez y aller à l'aveuglette, une vingtaine d'Euros pour une déception, ce n'est pas rien.
Maintenant, si vous me demandez mon avis, je les trouve tous les 4 très chouettes ( en toute objectivité, cela va sans dire) s'ils n'ont qu'une seule qualité en commun, c'est ma façon d'écrire, si vous avez aimé le premier alors...
Au cas où vous en achèteriez un , n'hésitez pas me faire part de votre sentiment.
Merci encore votre commentaire est précieux , diffusez le sur ce site ou ailleurs !!
@Salvador Ricardo
J’ai malheureusement terminé la lecture de votre livre. Je me suis régalée de l’histoire et ai beaucoup aimé les personnages. Votre écriture est impeccable et fait naître les images. Bravo
Si je peux trouver un autre de vos livre, donnez-moi ses ou leurs références. Merci et encore bravo.
Bien cordialement
Léo
@LAULAULA
Merci infiniment pour votre commentaire, il me touche d'autant plus que vous mettez le doigt sur ce qui m'importe; Que le lecteur (trice)prenne la peine de s'aventurer un peu plus profondément dans le roman, d'y déceler tout ce qui est caché (plus ou moins) d'y trouver quelques phrases quelques mots, quelques situations lui paraissant inédit(e)s. Certes, cela rend la lecture difficile mais permet que le roman laisse une trace même minuscule dans la mémoire,.
merci encore pour le réconfort que vous apportez.
@Watt sonne,
c'est déjà ça, si vous l'avez lu jusqu'au bout, l'objectif est atteint.
@Agostini Francois-Xavier
Merci pour votre commentaire et votre note, j'ai comme beaucoup été adepte de Colombo (pas le plat, le policier ), mais comme vous l'avez vu, je suis assez éloigné des archétypes de l'imperméable et du cigare, en tout cas, je suis heureux que mon récit vous ait 'accroché', quant à en faire une pièce de théâtre, j'avoue que l'idée m'effraie un peu.
@anthony Vernon
Merci pour votre avis Anthony, ce 'petit bijou' est un terme qui me va droit au cœur, que demander de plus à un bouquin?
@ durez pierre
Merci pour cette comparaison, espérons que les inconditionnels de Frédéric Dard ne s'en offusqueront pas.
Pour ce qui est des solutions...à chacun sa vérité.
@mancini.anne-marie@orange.fr
Merci à vous Anne; Super avec 4 points d'exclamation, c'est un peu court mais tellement convaincant :)
@Michel laurent
Merci pour votre appréciation si enthousiaste Mr Laurent, vous résumez fort bien ma démarche dans ce roman. J'en profite pour signaler vos publications, en particulier la tribune sur Jim Thomson, incontournable écrivain du polar américain.
@SALVADOR Ricardo
Ben mon colon, ça décoiffe ! Ça démarre sur les chapeaux de roue. Une jeune lituanienne Karolina, qui se fait défoncer le portrait par une brute féroce, un certain Bosko. Le voisin du dessous, Corrida, intervient, neutralise Bosko, et tombe raide dingue de Karolina. Enfin, pas tout de suite, Corrida saute Karolina et moi quelques péripéties. Corrida, c’est le héros, le narrateur. Il est flic, pour l’instant en disponibilité.
Très vite, Karolina disparaît, probablement enlevée par Bosko. Celui-ci est un vrai danger, membre d’un réseau de proxénètes venus de l’Est, et en affaire avec des puissants. Corrida n’a plus qu’un but dans le reste du bouquin : retrouver et libérer la belle (puis probablement « la marier et lui faire deux beaux enfants », mais ça ce n’est pas dit dans le texte, Ricardo Salvador a définitivement renoncé à marcher sur les plates-bandes de la Comtesse de Segur).
L’intrigue est solide, elle tient la route, et surtout il y a un vrai style. C’est vif, enlevé et souvent très drôle. On ne lâche pas le bouquin. On dirait que les personnages secondaires, les trois potes de Corrida, ont été portraiturés par Audiard. Bromure par exemple : « il tape comme un damné dans le sac de sable.[...] Quand on le voit s’entraîner comme ça, ceux qui ne le connaissent pas jureraient que le sac vient d’insulter sa mère et toute sa famille ». Son pote Le Chien, autre boxeur, n’est pas en reste : « il a encore les idées qui s’embrouillent, quand il veut dire quelque chose c’est le bordel, on dirait que tous les mots et les syllabes ont une urgence, qu’ils veulent sortir en même temps sans prendre le temps de se mettre bien dans l’ordre ». C’est vraiment du grand art !
@Jack50
Merci pour cet avis, vous mettez l'accent très précisément sur ce qui m'importe dans un roman, une approche et une langue un peu moins lisse et conventionnelle et pas si facile que cela à appréhender... je sais que mes 'formules' ou mon vocabulaire ont un côté désuet qu'il faut en quelque sorte assimiler en se donnant un peu de peine.
(Mon admiration pour Brassens y est sans doute pour quelque chose, lui qui disait d'en d'autres termes que les vôtres:" Dans mes chansons, j'ouvre une porte pas si facile à pousser... mais si les gens veulent se donner la peine... "
(Il va sans dire que je n'ai nullement l'outrecuidance de me comparer à Lui , avec un L majuscule, mais votre remarque m'a frappé
Auteur de 4 romans policiers plus ou moins ( plutôt plus) déjantés dont les héros sont plus proches de l'inspecteur Clouzot que de...
"Et le Diable était aux anges..." est le "Livre le +" du 30 octobre. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à SALVADOR Ricardo, c’est pour cela qu'il publie son roman policier sur monBestSeller.