C'est une histoire d’amour comme une autre, celle d’une amoureuse de l’amour abonnée aux « il faut, on doit ». Comme toute histoire d’amour, chacun,e évolue en miroir de l’autre. En premier lieu motivée par un amour qui ne m’a jamais quitté malgré la distance, malgré le désintérêt de l’être aimé, je n’ai jamais cessé de croire en mon intuition profonde. J’ai baissé les bras parfois, je me suis battue pour me sentir légitime d’être qui je suis et j’ai compris deux ou trois petites choses sur nous, les humains. J'ose croire de toujours y croire.
Ce livre est noté par
@Solange E. un grand merci pour votre magnifique commentaire!
Comment arrive-t-on à toujours aimer quelqu'un qui vous fait souffrir pendant des années ? C'est la question que je me suis posée tout au long des pages. Les explications des réactions de la narratrice arrivent enfin, parfaitement logiques pour qui admet que nous sommes la somme d'influences qui dépassent notre conscience actuelle.
@MinaTwig et @KellyK je vous remercie beaucoup pour vos commentaires. Très intéressant de lire vos retours!
Plus un témoignage qu’un roman, je parle du style, j’avais le sentiment de lire un long article d’un féminin, comme si plusieurs femmes témoignaient. Je sais que l’expérience des autres ne se décline pas sur sa propre vie, n’empêche, je pense que je garderai une petite trace de ce qu’il ne faut pas trop faire, comment on doit plus et mieux se protéger.
Non mais je rêve, quel macho cet Alois il se prend pour qui pour traiter sa femme avec tant de mépris et d'irrespect. Monsieur a besoin de se sentir viril et tous ces désirs doivent être des ordres. Franchement sa femme il la prend pour une bonniche alors je comprends qu'elle pleure et qu'elle soit désespérée. Comme vous pouvez le remarquer, votre roman a su susciter chez moi ma colère, mon indignation, ma passion, ce qui est plutôt bon signe. En tou cas votre récit m'a bien plu. après au niveau de la construction des phrases je pense que vous pouvez encore faire mieux car j'ai eu le sentiment que vous parlez et non que vous écrivez.