CODE AGONIE

77 pages de Marie Berchoud
CODE AGONIE Marie Berchoud
Synopsis

Une enfance unique, merveilleuse et insensée ; douloureuse aussi. Trop de secrets dans la lignée, trop de mauvais sorts non élucidés... ainsi est-ce la base d'une personne qui écrira un jour ? En attendant, tu as quatre, cinq et six ans, il faut vivre et affronter la folie qui ne se sait pas comme telle; et toi non plus tu ne sais pas. Il s'agit de ton frère aîné, il est là, vivant comme il peut, on vit, iI mourra. Nulle folie ne perdure sans avoir des complicités solides et autorisées. Discrètes aussi lesquelles ? Hum, à chercher. Et moi j'endosserai mon costume définitif de pas-pareille-aux-autres. Marginale... et j'apprendrai comment tracer ma route libre. En partage : cela peut servir à d'autres qui errent... "les non-dupes errent", on le sait en silence. Annexe : sur Ecrire l'enfance

Publié le 26 Décembre 2023

Les statistiques du livre

  149 Classement
  210 Lectures 30 jours
  1640 Lectures totales
  -53 Progression
  46 Téléchargement
  6 Bibliothèque
 

"CODE AGONIE" est le "Livre le +" du 22 janvier. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Marie Berchoud, c’est pour cela qu'elle publie ses récits sur monBestSeller.

Publié le 22 Janvier 2024

Ce livre est noté par

17 commentaires , 6 notes
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@Maître Abla : supprimez votre commentaire qui n'en est pas un : c'est une publicité.
Je signale cela.

Publié le 22 Mars 2024

@ Cyril Sapocko, un grand merci pour avoir pris le temps de ce commentaire, c'est une remotivation à continuer. N'hésitez pas à dire ce qui vous a déplu ! (c'est ainsi qu'on progresse)

Publié le 13 Mars 2024

Merci pour ce récit qui vous entraine dès les premières pages dans votre histoire. Une écriture posée et maîtrisée, très agréable moment.

Publié le 12 Mars 2024

@vous. Je viens de démarrer un blog, encouragée par vos lectures ! Un grand merci. Il est là : https://www.marieberchoud.com/blog/

Publié le 10 Février 2024
5
Super témoignage
Publié le 10 Février 2024

@Mathieu Luci. Votre commentaire m'interpelle et suscite en moi une question : vous avez été "captivé" ? J'espère juste que ce n'est pas captif + déprimé ! Cela me peinerait.

Publié le 06 Février 2024

Merci pour ce récit très touchant, j'ai été captivé

Publié le 05 Février 2024

@CharlieJ, Toute ma gratitude pour ce commentaire ; vous avez bien capté le caractère nécessaire du texte, y compris ses faiblesses et imperfections, elles sont là et juste et à leur place, je crois pour évoquer l'indicible un tant soit peu. Comme vous, je me méfie du récit (macro-catégorie englobant tous les textes narratifs, et en particulier, en un sens plus pointu, ce qui est relié au réel socio-historique ; mais comment désigner un tel écrit sinon. Je me souviens d'une auteure à succès (médiocre à mon sens) qui avait intitulé un roman "D'après une histoire vraie". Quelle enfonçage de portes ouvertes ! Mais les journalistes en vue ont adoré... sans foute parce que la dame était elle aussi en vue, et femme de - bref.

Publié le 01 Février 2024
5
Merci pour ce texte intense. Merci aussi pour le deuxième texte qui explique pourquoi c’est si important de " s'interlire". Je lis peu de récits, préférant les romans. Mais là, votre écriture m’a happée, emportée par la main et ne m’a plus lâchée. C’est une écriture fiévreuse, sensible et poétique. Un style heurté, urgent mais qui coule pourtant. J’ai aimé le jeu avec les mots. Qui sont vivants. Ces mots qui sont refusés à Yann. Qui ne s’appelle pas. Qui a "fait refluer sa voix". J’ai aimé ce lien intime avec la rivière Kwaï, quoi, moi. La rivière secrète, la rivière des secrets, la rivière (de notre mémoire) qui détient peut-être des réponses mais les tait. Un personnage à part entière. J’ai aimé la description de cette relation avec votre "frère supérieur", votre "solitude dédoublée", votre "ventre à deux voix". J’ai aimé cette structure circulaire comme un escargot pour tenter de se rapprocher chaque fois un peu plus près de la source, des réponses et qui reflète le chemin de celui qui "s’encoquillait" de plus en plus. C’est un texte fort mais qui mérite à mon sens d’être encore travaillé (et relu pour corrections. Même si je sais que certaines absences de ponctuation sont voulues, parfois on a l’impression que les mots se sont deversés en jets sans relecture, chapitre 4 par exemple.) Bref, un texte déchirant. Je file découvrir votre site et les liens indiqués en deuxième partie !
Publié le 01 Février 2024

@Michelet Frédéric, un grand merci pour votre commentaire bien senti : la forme finale du récit que j'ai livré ici s'est nourrie de mes journaux d'époque + une ou plusieurs reprises durant mon analyse et + ces retrouvailles récentes (issue des rangements de l'été dernier pour trier ce qui part à la benne, ce qui demande un examen supplémentaire). Donc l'ambition d'un texte qui dise juste au plus près du senti, un texte fait de pièces et de "raponces" (mots de ma grand-mère = pas des réponses mais des petites pièces ajustées et cousues pour faire textile continu, et de présentation acceptable). Je l'ai mis sur MBS comme on lance un bateau, en ne sachant trop ce que je préférais (en évitant la question) : 1. qu'il passe et vogue inaperçu et coule (belle fin pour un bateau ! me disais-je, et alors je pourrai tourner enfin la page avec et malgré les jeunes générations) ; ou que quelques yeux doués d'âme et de mémoire soient durant un moment, co-présents.... avec le risque de réveiller des douleurs. Mais n'est-ce pas un signe de vie ?

Publié le 26 Janvier 2024
5
Merci pour votre livre. Merci pour votre récit poignant, touchant. Merci pour votre courage, car il en faut pour livrer ou dé-livrer un tel passé, une telle histoire. La poésie est là, la poétique, la justesse du récit, nous emportent. Mêlant dans mes romans fiction et souvenirs, cicatrices personnelles, je sais combien il faut de temps pour s'emparer de la plume, recouvrir la page blanche de nos réminiscences, de ces enfances marquées. Merci encore, vous m'avez arrachez sourires et larmes.
Publié le 26 Janvier 2024

@Isabelle Lestine : un grand merci pour votre petit mot, il me touche ; j'ai écrit aussi et donc partagé en pensant à tous les ex-enfants qui avaient souffert (et souffrent encore au présent...)... et chacun chacune mérite que sa souffrance soit prise en considération.
Amitiés.

Publié le 18 Janvier 2024

Il y a beaucoup de très belles phrases dans votre témoignage poignant, profondes, fondamentales. Ce récit, celui des déchirures, c’est l’écriture du cœur, une écriture à laquelle vous avez donné tant de légèreté malgré… tout.

Publié le 18 Janvier 2024

@Constantin M : en fait, je n'ai rien compris : c'est quoi votre projet ? Autre chose, si mon texte déplaît, je le retire !

Publié le 04 Janvier 2024

@Fanny Dumond3 et @Aouadi Ahmed, un grand merci pour votre attention et vos commentaires.... En effet, cette histoire revient de très loin !

Publié le 29 Décembre 2023
5
@Marie Berchoud Un recit qui merite de le lire et le relire vu l'importance de son contenu.C'est triste pour toute la famille.,surtout pour la fillette qui aimait tant son frere.un recit bien soigne,on sent de la poesie ,un rythme musical et enchantant.le beau style de narrer..formidable.a chaque recit ,je decouvre en vous une personne admirable.je vous felicite.mes salutations amicales.
Publié le 29 Décembre 2023

@Philippe de Vos _ La fin de ce texte est +/- "acting out", mais cette nuit j'ai rêvé l'autre fin, la juste et je vais l'écrire dès les tâches courantes effectuées (durant lesquelles je ne la perds pas, je la module)

Publié le 29 Décembre 2023
5
@Marie Berchoud " Mais la rivière QUOI chante toujours et dans ma mémoire et dans mon ventre à 2 voix. "
Publié le 28 Décembre 2023

@Marie Berchoud
Voilà, je suis allé au bout de votre histoire, celle de Yann, votre frère "supérieur". Une histoire bouleversante. J'avoue ! La fin tire les larmes. C'est bouleversant, oui, mais aussi révoltant. Ne pas en dire plus pour que vos lecteurs découvrent ce qu'il advint.
J'imagine fort bien la douleur qui subsiste en vous, mais aussi le courage qu'il faut pour se remémorer cette enfance à deux, à quatre, à six (comptant les parents)… Mais finalement à deux.
Vous avez porté ce souvenir avec une écriture qui m'a embarqué. Je vous souhaite beaucoup d'autres lecteurs et qu'ils partagent leurs émotions avec vous.
Cordialement
Philippe

Publié le 28 Décembre 2023

@Philippe de Vos, etc. Et voilà, j'ai relu puis corrigé : la version que je propose ce soir est donc meilleure. Merci pour les alertes !

Publié le 27 Décembre 2023

C'est drôle car j'en suis rendu à la page 82 et je comprends que le récit que vous nous déposez avec la complicité de la rivière qui charrie un peu tout, vos émotions, vos souvenirs, la rancoeur vis à vis d'une soeur en cornette, d'un voisin paralysé qui n'en n'est pas moins un vieux machin dont il faut se méfier, ce récit donc est comme une peinture. Tel un peintre, vous esquissez les portraits des personnages et vous revenez dessus, vous y ajouter de la couleur, des ombres, le relief. Certaines scènes ne sont pas une répétition, mais comme je l'ai dit, tel un peintre, vous affinez au fur et à mesure les portraits, quitte à la répétition de mêmes phrases. Doucement le tableau apparait devant nos yeux. Très original comme procédé.

Publié le 27 Décembre 2023

@Philippe De Vos. Grand merci, quel soulagement lorsque quelqu'un comprend et sent, sent et comprend ! Le pendant à ce récit est mon ouvrage le plus récent "La Maison du secret", résultat de 10 années de recherches sur archives perso-départementales et internationales (profession Pr, enseignant-cherheure, ça aide !) Enfin, je suis venue à bout de ce secret de famille qui a tué mon frère et empoisonné une partie de la famille (mes frères et chacun sa femme étrange ou égoïste ou les deux, mes deuils, etc.)

Publié le 27 Décembre 2023
5
Oh là là ! J'en ouvre des tonnes de textes ici et en referme très vite autant. Celui-là ! J'ai lu les 30 premières pages et je vais continuer. C'est une belle écriture. Sûrement le sujet vous a portée, vous a inspirée. La rivière, vos Vosges… et ce frère différent. Vraiment ! Il y a des compliments galvaudés sur mBS, des compliments pour en attirer d'autres, mais ceux-là sont sincères. Votre prose est imagée, les mots choisis l'ont été pour apporter poésie et fraicheur. Je recherche la fameuse musicalité dans les textes, elle y est. On l'entends chanter votre rivière, votre Moselotte. On voit les éléments se mettre en place doucement. Philippe
Publié le 27 Décembre 2023