Voyage en Ecriture

Exercice sûrement très intéressant. Je vois, aux commentaires précédents, des avis pas forcément encourageants… Et alors ? l’important j’imagine a été d’apprendre d’un maître, et d’essayer d’appliquer ses recettes (sans jeu de mots !), d’écrire ses gammes, comme lorsqu’on apprend indéfiniment au piano un air un peu ardu, comme lorsqu’on continue à prendre des cours de peinture, de sculpture, alors qu’on peint, qu’on sculpte, et qu’on aime ça ! Merci d’avoir partagé votre expérience.

@Cortex3

J'attendais pour vous répondre que l'article que vous m'avez inspiré soit publié; je vois que vous en avez déjà pris connaissance. Comme quoi, il faut toujours retirer quelque chose d'une critique, qu'elle soit bonne ou mauvaise ;).
En tous les cas, merci d'avoir réapparu après la suppression de votre premier commentaire car j'avais commencé à lire vos nouvelles que j'appréciais; je pourrai donc y retourner.
J'en profite également pour remercier la personne de l'équipe de MBS (qui se reconnaîtra) pour son soutien et ses encouragements.
Belle fin d'année !

@VALERIE POINTET

Bien... "de bonne facture", ai-je écrit, mais cela se rapportait à deux ou trois phrases que j'ai lues, un avis que j'ai trouvé indigne de faire. Quel droit avais-je de juger votre travail, alors que je n'avais lu qu'une infime partie de votre texte. J'ai retiré mon commentaire pour cette raison, et pour une autre aussi. Je vous disais que vous annoncer comme élève d'un cours d'écriture n'engageait pas à vous lire, qu'écrire ne s'apprend pas, que raconter une bonne histoire oui, mais qu'écrire c'est autre chose. Lire, c'est écrire et peut-être qu'après on peut écrire. Mais que ceux qui prétendent vous apprendre à écrire sont des illusionnistes, c'est cela qu'il m'importait de vous préciser parce que l'écriture, c'est autre chose que raconter des histoires. Là aussi, j'ai jugé trop rude cette manière de vous le dire, pouvant vous faire penser que l'écriture n'était pas votre truc, ce que j'ignore totalement, n'ayant jamais lu vos romans, et ne lisant ici que le minuscule échantillon d'un rendu d'exercice... bonne continuation... et surtout continuez d'écrire, ne faites pas attention à ces commentaires lancés sur le coin d'une heure où la tolérance et l'honnêteté intellectuelle sont compromises par une soudaine et désagréable humeur (dans laquelle vous n'êtiez pour rien!) Bonnes fêtes.

@Richard Piolay

Bonjour Richard,
Contente de vous voir de retour ! J’apprécie la raison qui vous a poussé à supprimer votre commentaire d’hier ; pour tout vous dire, il y en a eu un troisième à peine plus agréable bien qu’ayant admis que cela était, je le cite, « de bonne facture », mais il s’en prenait surtout au fait de vouloir apprendre à écrire avec ces masterclass. Sur le coup, j’ai regretté ma décision de revenir sur MBS après presque dix ans d’absence. Alors, oui, l’accueil a été rude, je m’attendais à un peu plus de bienveillance de la part des autres auteurs. Je n’avais pas imaginé une telle réaction quelques minutes seulement après la publication de mon recueil. Le point positif, c’est que celui-ci fait parler de lui ! Cela n’a pas traîné ! C’est au moins ça ! Comme je l’ai dit à Jean Pierre, en venant ici, on s’expose à la critique et on doit l’accepter, sinon, on garde ses textes pour soi. J’ai choisi de rester malgré des débuts peu engageants qui n’écornent toutefois pas mon désir de continuer à écrire. J’ai déjà six livres derrière moi et je sais ce que mes lecteurs en ont pensé ; l’un d’eux a même retenu l’intérêt de mon éditeur en cinq jours seulement.
Mon erreur a été probablement de vouloir publier des textes que vous-même jugez « pas publiables », car pas assez travaillés. En effectuant ces exercices de la masterclass, mon intention n’était pas d’écrire un best-seller ni un prix Goncourt, mais juste de m’amuser à inventer des histoires sur des thèmes imposés. Maintenant, il est vrai que sans connaître le contenu des cours, il est peut-être moins évident de juger de la pertinence des textes. Au départ, je ne pensais vraiment pas les poster ici. C’est en voyant un article de presse qui évoquait MBS que je me suis dit « pourquoi ne pas tenter le coup, pour voir ? » Là, je crois que j’ai vu !
Cela ne m’empêchera pas de vous souhaiter une belle fin d’année !
Valérie

Et moi, j'aime bien votre réaction...très positive. J'ai toujours peur d'avoir blessé.. Mon honnêteté me dicte souvent mes mots, pas toujours agréables, je le reconnais ! Je ne lis, hélas, que les textes courts sur mBs ( même si j'ai déjà lu quelques romans ). Je préfère mille fois le papier d'un livre et le plaisir de tourner les pages ( je n'utilise même plus ma liseuse ).
Je vous souhaite, également, une très belle année 2024 avec beaucoup d'inspiration,
Jean-Pierre

@J-P LAURIER

Merci Jean-Pierre d’avoir pris le temps de parcourir quelques pages de mon recueil. Je suis désolée de voir que cette lecture ne vous a pas emballé, mais on ne peut pas plaire à tout le monde, n’est-ce pas, il en faut pour tous les goûts. Or, je vous dois quelques explications.
J’ai écrit ces petits textes en quelques heures, comme un jeu, voire un défi lancé après chaque leçon de la masterclass. Alors, oui, je reconnais ne pas y avoir mis toute l’énergie ni le temps que je consacre à l’écriture de mes romans qui dure des mois ou plusieurs années pour l’un d’entre eux. Et je crois pouvoir dire, en toute modestie, que je réussis en général à mettre dans ceux-ci les petites étincelles que vous n’avez pas trouvées ici puisque certains de mes lecteurs dévorent mes récits d’une traite.
Par ailleurs, je suis surprise de constater que deux autres lecteurs qui avaient laissé des commentaires hier les ont supprimés alors que je m’apprêtais à leur répondre également.
Vous seul avez eu le courage finalement d’exprimer votre ressenti et je vous en remercie. En publiant sur cette plateforme on s’expose forcément à la critique et on doit l’accepter ; il y a bien souvent du positif à en retirer, il est dommage que ces deux lecteurs ne m’aient pas laissé le temps de méditer sur les leurs.
Je vous souhaite une excellente année 2024 pleine d’écriture.
Valérie