Un virus a exterminé l’ensemble ( ou presque ) de la population masculine.
Un homme a survécu à la crise alors qu'il était prisonnier dans un centre de détention.
Il réussit à s'évader et découvre alors le monde d'après.
@Mongo Le Hutin,
Merci pour votre observation, mais... Virian est un homme, dans toute sa psychologie en tout cas, car c'est bien l'esprit qui fait la richesse de l'humanité.
L'aspect culturel est essentiel. Virian sort de prison, il vient d'une culture machiste de la domination et là il est débordé.
Comme si le machisme ne pouvait exister que comparé à d'autre machos, pour une question de concurrence en quelque sorte.
Merci @Annie Pic pour votre commentaire,
Je suis navré de n'avoir pas répondu plus tôt.
Hé oui !
La gent masculine a toujours de grandes prétentions et souvent peu de suite en matière d'attente féminine.
J'ai aimé ! Virian ne maîtrise pas la notion de l'état de nécessité ! Dans cette situation, un véritable homme n'aurait pas eu des préférences. À quoi serviraient-elles? Il y avait multiple raisons d'aimer toutes ces femmes, belles ou laides, jeunes ou vieilles pourvu que l'espèce humaine ne disparaisse pas. La suite s'avère être formidable !
Bonjour @Wotan
Pour Virian, savourer sa liberté est tout d'abord enivrant. Puis, rattrapé par la réalité, il commence à déchanter au moment où il refuse de se soumettre aux attentes de la gent féminine.
Cette histoire dans la continuité des Résurgentes ne déroge pas à ce que l'on peut en attendre. Affaire à suivre.
Bonsoir
J'ai très vite été absorbée par votre histoire et j'en ai appréciée chaque page. Merci pour ce moment et au plaisir de lire d'autres nouvelles.
Bonne soirée
Merci @PRIN-ROCHIER Yannick pour ce commentaire élogieux.
Cette nouvelle, ainsi que "Recomposition" et "La squadrille" sont des histoires dérivées de l'univers des Résurgentes où le monde a basculé, bien malgré lui, dans la féminité.
Dans cette nouvelle j'explique la raison pour laquelle Virian a été épargné.
Dans le livre, la partie masculine de l'humanité disparaît sauf un homme, et il est en prison !
J'ai donc utilisé le temps présent (subjectif) pour amplifier son sentiment d'isolement, car il va se retrouver abandonné et enfermé. J'ai trouvé nécessaire de reprendre le point de vue omniscient pour son retour brutal en société.
Virian va poursuivre son aventure à Grenoble, Lyon et Genève. Mais ça c'est une autre histoire…
Magistral !
J'ai pu lire cette nouvelle d'une cinquantaine de pages très facilement. En premier lieu, ce qui m'a le plus frappé est la maîtrise des temps. Le récit commence, en effet, au présent avant de transiter de façon très habile au passé. Cette introduction est parfaite. Ensuite, j'ai également apprécié la justesse de l'enchaînement. On prend son temps, mais juste ce qu'il faut pour garder une excellente fluidité dans le texte. Enfin, j'ai été amusé par la tournure des phrases à double-sens à la toute fin de cette nouvelle (c'était très ambigü ^^).
Merci de nous avoir partagé cette nouvelle. Je mets 5 étoiles et, croyez-le bien, c'est largement mérité.
P.-S. J'ignorais l'existence de cette maladie «Syndrome de Klinefelter». Par curiosité, j'ai lu l'article Wikipédia et j'ai eu ma réponse par rapport au non-dit vers le milieu de la partie III. Je n'en dis pas plus (pour les petits curieux : lisez cette nouvelle !).
P.-P.-S. @Wotan Y a t-il une suite de prévue ?
Merci pour votre récit qui m'a bien divertie. Il est original et on ressent bien les émotions des personnages.
Bonne continuation sur le chemin de l'écriture.
@Wotan Ce monde des résurgentes continue de vous inspirer pour notre plus grand bonheur, vous construisez peu à peu un univers à la Balzac, et en plus le récit est captivant et émouvant, on en redemande !
Publié le 18 Février 2024
Wotan
Biographie
Je suis né avec le nouveau franc, peut-être est-ce la raison pour laquelle Je m'appelle Francis, sous un ciel alsacien, d'ascendants...
Ce livre est noté par
@Mongo Le Hutin,
Merci pour votre observation, mais... Virian est un homme, dans toute sa psychologie en tout cas, car c'est bien l'esprit qui fait la richesse de l'humanité.
L'aspect culturel est essentiel. Virian sort de prison, il vient d'une culture machiste de la domination et là il est débordé.
Comme si le machisme ne pouvait exister que comparé à d'autre machos, pour une question de concurrence en quelque sorte.
Merci @Annie Pic pour votre commentaire,
Je suis navré de n'avoir pas répondu plus tôt.
Hé oui !
La gent masculine a toujours de grandes prétentions et souvent peu de suite en matière d'attente féminine.
J'ai aimé ! Virian ne maîtrise pas la notion de l'état de nécessité ! Dans cette situation, un véritable homme n'aurait pas eu des préférences. À quoi serviraient-elles? Il y avait multiple raisons d'aimer toutes ces femmes, belles ou laides, jeunes ou vieilles pourvu que l'espèce humaine ne disparaisse pas. La suite s'avère être formidable !
Bonjour @Wotan
Pour Virian, savourer sa liberté est tout d'abord enivrant. Puis, rattrapé par la réalité, il commence à déchanter au moment où il refuse de se soumettre aux attentes de la gent féminine.
Cette histoire dans la continuité des Résurgentes ne déroge pas à ce que l'on peut en attendre. Affaire à suivre.
Merci @PRIN-ROCHIER Yannick pour ce commentaire élogieux.
Cette nouvelle, ainsi que "Recomposition" et "La squadrille" sont des histoires dérivées de l'univers des Résurgentes où le monde a basculé, bien malgré lui, dans la féminité.
Dans cette nouvelle j'explique la raison pour laquelle Virian a été épargné.
Dans le livre, la partie masculine de l'humanité disparaît sauf un homme, et il est en prison !
J'ai donc utilisé le temps présent (subjectif) pour amplifier son sentiment d'isolement, car il va se retrouver abandonné et enfermé. J'ai trouvé nécessaire de reprendre le point de vue omniscient pour son retour brutal en société.
Virian va poursuivre son aventure à Grenoble, Lyon et Genève. Mais ça c'est une autre histoire…
Merci pour votre récit qui m'a bien divertie. Il est original et on ressent bien les émotions des personnages.
Bonne continuation sur le chemin de l'écriture.
@Wotan Ce monde des résurgentes continue de vous inspirer pour notre plus grand bonheur, vous construisez peu à peu un univers à la Balzac, et en plus le récit est captivant et émouvant, on en redemande !