Mais qui était vraiment cette Lola, une jeune femme très convenable, mais il ne faut jamais se fier aux apparences, avec qui Pierre Balsan avait vécu pendant plusieurs années une relation particulière, sans cependant jamais parvenir à découvrir sa vraie identité. Il avait poursuivi sa quête jusqu’à la dernière limite, au-delà de laquelle aucun billet n’est plus valable. Avait-il réussit à percer le mystère Lola ?
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@ Catarina Viti
merci pour le survol de mon texte. J'ai conscience de la nécessité de le retravailler pour qu'il devienne acceptable. Cent fois sur le métier, vous connaissez la suite. mon rythme est je vous l'accorde trop linéaire, mais pour le moment c'est le seul que je possède. Trop d'implication personnelle. Notre imaginaire se nourrit souvent de notre vécu, n'est ce pas? J'écris sans plan, hormis connaître la fin du récit . Trouver un bon début de récit me parait essentiel. Heureux commencement , disait l'autre. Je vais essayé de lire le bouquin de Philippe Roth, que vous mentionnez. Merci encore pour vos suggestions, j'essaierai d'en tenir compte. Vous savez ce qu'il en est des promesses!!!
Bonjour Jef,
J’ai survolé votre livre. Le thème est vraiment porteur (quoiqu’il arrive, sortez ce bouquin). Si j’ai bien compris votre commentaire, vous pensez retravailler le texte. Cela me semble une excellente idée. De ce que j’ai vu, le rythme est beaucoup trop linéaire, la construction trop attendue. Il y a trop de détails qui noient l’intérêt (pour faire mouche, vous devez mener votre intrigue sur le fil du rasoir), trop d’implication personnelle. Essayez de prendre du champ, de voir les choses de plus loin, plus haut, en développant un « ton » (ce peut-être l’ironie, le détachement, une forme de stoïcisme, ou une forme de nonchalance, parfois). L’immense, le kolossal Roth (Philippe pas Joseph, encore que l’autre est un tigre si le premier est un aigle) a traité le sujet dans « La tache », mais justement avec un jeu de miroir fabuleux. C’est peut-être ce qui pourrait faire décoller ce texte : le jeu de miroir.
Bref, bonne continuation et merci pour le partage.
@Caroline F
merci Caroline pour votre aimable commentaire. Merci aussi d'avoir eu le courage de lire cette histoire jusqu'au bout. Le rapprochement avec le film Pretty Woman est flatteuse. Vous avez du mal à croire à la réalité de mon intrigue, et pourtant ,souvent notre imaginaire se nourrit de notre vécu.. Je travaille sur une version modifiée de ce thème de l'amour des hommes âgés pour les jeunes femmes. Je ne suis pas Richard Geere et mon andropause doit sans doute me travailler.
Je vais essayer de rendre ma nouvelle mouture plus vraie. Encore merci pour votre utile commentaire. Jef
Votre roman a le mérite de poser des débats et de faire réfléchir sur des sujets de société que nous sommes beaucoup à se poser. En tant que féministe, je ne peux que m'opposer à l'ouverture des maisons closes et je suis scandalisée par tous ses proxénètes qui exploitent la misère des très jeunes filles qui viennent des pays de l'est pour gagner de l'argent sur leur dos.
Sinon votre histoire est agréable et distrayante mais j'ai eu du mal à croire à celle-ci. A part dans les films comme Pretty Woman, j'ai du mal à imaginer que dans la réalité un client d'un certain âge puisse avoir une relation amoureuse suivie de plusieurs années avec une très jeune femme prostituée..
Mais sinon j'ai trouvé que vous aviez une ou deux remarques percutantes et pertinentes notamment quand vous dites: "Tant qu'un homme écoute son sexe, il n'écoute pas son coeur". Plutôt bien vu comme remarque et observation. , je n'y avais pas pensé.