Les Bons Mots (d'un inconnu) : Société 2

72 pages
Extrait
de Anthony Valber
Les Bons Mots (d'un inconnu) : Société 2 Anthony Valber
Synopsis

Cogito ergo sum : "Je suis donc, je pense" (Descartes).

Or peut-on, cependant, penser sans forcément devenir ?
Peut-on dire sans être le résultat de la matérialisation même du verbe ?

Tant de questions sur les sociétés, tant de réflexions sur le sort des hommes qui les peuplent. Questions laissées à la fois sans réponses, et en même temps qui nous démontrent une panoplie évidente de toutes caractérisations.
Observons, mesurons, déduisons sous des interprétations plurielles, et laissons échapper un rictus sur cette couche de facettes sur la condition humaine que nous partageons malgré la distance, pour ne pas se mêler à une folie contagieuse et, tristement, de plus en plus grandissante vers l'irréfutabilité.

Le savoir est une arme, la pensée est une boussole.

Publié le 23 Septembre 2024

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5 commentaires , 1 notes
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@Emeline Boivin

Merci bien. :)

Publié le 29 Septembre 2024
3
Pour rejoindre l’avis d’un commentaire sans être aussi "âpre" -LOL- votre synopsis est un peu verbeux, mais ce que vous proposez dans la forme et le fond de votre manuscrit est très intéressant et nous fait passer un moment utile. Dans le cadre d’une démarche personnelle, je recherchais dans ce site un ouvrage de ce genre ; qui condenserait des apophtegmes ou des aphorismes originaux et de préférence à thème. Je ne vous cache pas le plaisir ressenti d’être tombée sur vos « Bons Mots » ainsi que sur des passages marquants et criant de vérité. Je vous en liste quelques uns tout en vous avouant que j'ai quand même cherché sur internet si votre plume et vos pensées étaient authentiques : La perfection c’est se soucier du détail, la médiocrité c’est se contenter des grandes ligne.// Déterrer les souvenirs, c’est vouloir mourir avec eux.// Le plus fort n’est pas celui qui est le plus puissant, mais celui qui t’empêche de gagner.// Rien ne sert de courir si on ne sait pas où on va pour y arriver à point.// Le meilleur coup de la femme, ce sera toujours un vêtement qui sait l’épouser.// Une société malade est lorsque l’opinion est plus importante que les faits…// La misère sexuelle des hommes est le seul moyen par lequel les femmes s’assureront toujours une véritable fortune, bien que même par ce moyen, leur business restera dans les mains des hommes...// Alors oui, tout ne nous illumine pas à chaque page même si je compte pas mal de passages qui m’ont mis dans une longue pause réflexion, et que certaines citations auraient mérité d’être un peu plus développées pour en saisir toute la substance. Mais je présume que cette obscurité a été volontaire de votre part. Vous cherchez à nous pousser vers notre propre réflexion, notre propre analyse. Et en ça, cette démarche est bien amenée. Donc, bravo et merci d’avoir rendu utile ma curiosité.
Publié le 26 Septembre 2024

"Confidence pour confidence"... c'est moi que j'aime à travers vous. (Je pense que vous devez connaitre la référence) : c'est Jean Schultheis, au cas où. ;)

Très bien , ma foi, écoutez...
Autant d'attention ne peu que me rendre reconnaissant. C'est déjà mieux que l'indifférence.

Bonne journée @Tomoe Gozen et merci d'avoir usé de votre temps en me commentant malgré tout.

;)

Publié le 24 Septembre 2024

@Anthony Valbert
Je ne vois pas bien de quel dogmatisme vous m'accusez, au prétexte que je remets en cause et une ponctuation extravagante et une traduction du même alliage. Pour ce qui est du reste, je ne vois pas non plus où vous pêchez que j'aurais quelque envie d'échanger avec vous. Je me contentais seulement, et généreusement, afin de vous garder du ridicule, d'attirer votre attention sur une cornichonnerie de la plus belle espèce.
Bien à vous malgré tout.
PS : Confidence pour confidence, votre synopsis tout entier est un parfait exemple d'imbitable charabia.

Publié le 24 Septembre 2024

Bonjour @Tomoe Gozen et merci de votre commentaire empli d'intérêt.

Votre critique aurait mérité d'être un peu plus développée pour établir un échange et bonne et due forme. Hélas, je crains, par votre dogmatisme et votre opinion vraisemblablement arrêtée, de ne pouvoir être en mesure d'être dans cet échange qui aurait mérité plus de cordialité, même dans la virulence la plus zélée du désaccord.

Dommage d'y mettre, d'emblée, cette barrière à la civilité pour en bloquer ce qui aurait pu traduire une maturité d'échange entre deux personnes adultes (du moins, je le suppose vous concernant). :/

Excellente journée à vous et merci derechef pour votre intérêt. Amicalement. Et c'est sincère. ;)

Publié le 24 Septembre 2024

@Anthony Valbert
"Je suis donc, je pense", écrivez-vous. Sans parler d'une ponctuation délirante, êtes-vous bien sûr de votre traduction ?

Publié le 24 Septembre 2024