Un mot de la biodiversité

8 pages de Tomoe Gozen 6'
Un mot de la biodiversité Tomoe Gozen 6'
Synopsis

Où il apparaît que les semelles compensées ne sont pas le seul souci de l'homme actuel.
(Un recueil de mes textes précédents est posté sous le titre "Patchouli et sabre au clair" de Tomoe Gozen)

Publié le 22 Novembre 2024

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15 commentaires , 4 notes
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@Violaine Malicorne

!!!

Publié le 23 Novembre 2024

@Joker380, @Tomoe Gozen avait raison : "@Catarina Viti
Ne perdez pas votre temps à discuter avec Ducon380. Il est le seul, ici, à se trouver de l'esprit."
*
Avez-vous remarqué que vous savez fort bien utiliser le @ devant les noms pour que les destinataires soient informés de l'entrée d'un message les concernant, mais que vous cafouillez systématiquement quand vous "m'envoyer vos petites boulettes" ?
Ceci est le dernier message que je vous adresse. Vous pouvez désormais y aller de bon coeur.

Publié le 23 Novembre 2024

@Hector Karine
Merci pour cette analyse psychologique de haute volée, mais je vous en laisse la responsabilité.

Publié le 23 Novembre 2024

À Catarina Viti
Vous aviez besoin d’être rassurée sur votre état mental ? Non, sans blague ? Quel aveu déchirant ! En même temps, quel honneur pour moi d’être devenu, pour un temps, l’une de vos obsessions principales ! Cela m’émeut, enfin presque... Mais ce que vous avez en travers de la gorge, ce ne serait pas un peu votre ego ? Vous la voudriez vraiment, cette rue à votre nom ? L’acuité de votre analyse psychologique, qui me semble au même niveau que votre sens de l’humour, est fascinante : vous avez l’art de dresser des portraits-robots si détaillés qu’on pourrait croire que vous passez vos soirées devant un miroir. Comme notre propre existence est dérisoire face à l’éternité muette, ne trouvez-vous pas ?

Publié le 23 Novembre 2024

Il est pas mal du tout celui-ci, bravo !
Au fil de vos chapitres se dessine le portrait d’un homme (le narrateur) aux prises avec des fâcheux qu’il n’arrive pas à éconduire parce qu’il est trop poli. Alors il se contient, se contient, jusqu’au moment où il n’en peut plus et lâche un retentissant gros mot.
Il est intéressant cet homme victime de sa gentillesse et de sa politesse. Une sorte de prisonnier des conventions, et tout cela paradoxalement raconté dans une langue inventive et libérée. Peut-être que la morale est que cet homme souffre au fond de vivre dans une époque de surveillance ou auto surveillance où la langue est prisonnière, où il est interdit de laisser libre cours à ses colères, à ses indignations, à ses éclats mêmes de rire ?
Mais, d’un autre côté, il faut aussi ne pas blesser les autres, être délicat comme l’est votre héros ?
Bisous
Ernesto

Publié le 22 Novembre 2024
3
@Tomoe Gozen 6' A se tordre ! Et j'admire votre talent à camper vos personnages par le seul truchement des dialogues. Du grand art ! Bravo !
Publié le 22 Novembre 2024

@Alpha Keïta
Ne vous y trompez pas, il ne s'agit nullement de cryptozoologie. Les loups-garous existent réellement. J'en ai d'ailleurs un dans ma petite culotte.
Quoi qu'il en soit, merci.

Publié le 22 Novembre 2024

@Catarina Viti
Ne perdez pas votre temps à discuter avec Ducon380. Il est le seul, ici, à se trouver de l'esprit.

Publié le 22 Novembre 2024

@Thierry Rucquois
J'y vois là la marque d'un homme de goût...
Plaisanterie mise à part, je vous remercie de votre passage. Et de votre soutien de la première heure à Tomoe Gozen.
Amitiés.

Publié le 22 Novembre 2024
3
Dans le domaine de l'humour absurde, la cryptozoologie fait toujours mouche. Merci pour cette jolie pépite @Tomoe Gozen .
Publié le 22 Novembre 2024

@Joker380, puisque vous semblez me connaître et m'aimer particulièrement, pourquoi ne pas me dire ce que vous avez en travers la gorge sans vous cacher derrière votre masque ? A moins que vous ne sachiez que poser ici et là quelques phrasounettes avant de vite repartir dans votre trou... C'est marrant, ça, la lâcheté. C'est un truc qu'on reproche aux autres alors qu'on en abuse soi-même.
Bon, votre portrait robot est homme, assez âgé, ou vieillissant très mal, déçu, aigri, mal dans sa peau, sans autre occupation que le site, radin, posant ses petites crottes ici et là et encore ailleurs. On connaît vos soutiens... est-il encore nécessaire de dire votre nom ?
A toute fin utile, sachez qu'une plateforme comme celle-ci est fréquentée à 80% par des "nouveaux" qui se moquent de vous et de moi. Quant aux autres, ils se sont fait leur idée depuis longtemps. Et puisque vous me suivez depuis des années, vous savez que l'opinion des autres m'indiffère. On a déjà tout dit sur mon compte ; on m'a même menacée de mort... c'est vous dire.
Je veux bien, voyez-vous, être une impasse pour certaines personnes. Je dirais que cela me rassure sur mon état de santé mentale. Vous imaginez la chose ? Etre le Boulevard de Joker380 !

Publié le 22 Novembre 2024

@Tomoe Gozen6
Deux bannières triomphales pour votre Marie-Jeanne bicéphale, six étoiles à se partager.
Sans aucun doute, il y a un loup quelque part...
Mais j'aime bien vos orgies livresques, chère Sardanapale...

Publié le 22 Novembre 2024

Moi je veux bien... Mais tout de même, ce texte montre une lacune de son auteur en géographie. Tout le monde sait qu'il n'y a nulle rue Catarina Viti, mais une simple impasse...

Publié le 22 Novembre 2024

@Catarina Viti
Je vais tenter de réagir sobrement à cette double rafale ; je réserve la rougeur qui m'a envahi le visage à l’aspidistra qui me tient compagnie et qui se demande, du coup, si je ne vais pas trépasser de confusion ("Merdouille ! dit-il en agitant ses feuilles - je traduis -, et qui c'est qui va m'arroser, si l'autre couillonne défuncte ?") : merci, madame. Et pour répondre à votre interrogation implicite, je suis toujours très, très sérieuse lorsque je déconne (y a-t-il quelque chose de plus sérieux que l'humour ?), mais je crains fort d'être ensuite la première à rigoler comme une baleine ivre de mes clowneries.
PS : Mon petit doigt me dit que j'ai loupé le commentaire de @Michel CANAL, qui l'a supprimé sans doute plus vite qu'il ne l'a écrit. J'en suis fort marrie, car c'est toujours pour moi une joie incoercible de lire et méditer sa prose athlétique. Tant pis.

Publié le 22 Novembre 2024
3
C’est loufoque. C’est drôle. C’est une époque... de celles où l’on savait causer. Que Tomoe Gozen [alias La Chauve, Le Débris, Bilboquet à Roulettes, Escalier Sans Cage, Rouleau Dépressif, Gangue Mortelle, Cagibi à Camemberts, Rutabaga Moisi, Joker360, Zozo au Pays de Ouioui, Brelan Frit, Madone des Zliping, En Passant par la Lorraine, Corsica Canal Historique, Pertuis Hystérique, Mortadelle aux Pistaches, Zonzon au Pays de Nonnon, Echappé de l’Azil, Bocal Enturbanné, j’en passe, et des mille et des cent], sait écrire, plus personne ne peut en douter. Plus personne... à part un village d’irrrrrrrrhaaaaaaaaaaaarg. STOP. Je me retiens, je me contiens, j’allais mettre 10 cents dans le bastringue. Voilà, c’est bon, et ça fait du bien de lire un texte qui ne se prend pas au sérieux (l’auteur, on ne sait pas) tout en mettant en valeur les ressources de la langue. La précision et la justesse décontractées. L’élégance. Que cela plaise ou déplaise, agace, exaspère, révulse, horripile, électrise, désespère, hystérise, accable, consterne, les faits sont là : ce texte est drôle et parfaitement écrit.
Publié le 22 Novembre 2024
3
C’est loufoque. C’est drôle. C’est une époque... de celles où l’on savait causer. Que Tomoe Gozen [alias La Chauve, Le Débris, Bilboquet à Roulettes, Escalier Sans Cage, Rouleau Dépressif, Gangue Mortelle, Cagibi à Camemberts, Rutabaga Moisi, Joker360, Zozo au Pays de Ouioui, Brelan Frit, Madone des Zliping, En Passant par la Lorraine, Corsica Canal Historique, Pertuis Hystérique, Mortadelle aux Pistaches, Zonzon au Pays de Nonnon, Echappé de l’Azil, Bocal Enturbanné, j’en passe, et des mille et des cent], sait écrire, plus personne ne peut en douter. Plus personne... à part un village d’irrrrrrrrhaaaaaaaaaaaarg. STOP. Je me retiens, je me contiens, j’allais mettre 10 cents dans le bastringue. Voilà, c’est bon, et ça fait du bien de lire un texte qui ne se prend pas au sérieux (l’auteur, on ne sait pas) tout en mettant en valeur les ressources de la langue. La précision et la justesse décontractées. L’élégance. Que cela plaise ou déplaise, agace, exaspère, révulse, horripile, électrise, désespère, hystérise, accable, consterne, les faits sont là : ce texte est drôle et parfaitement écrit.
Publié le 22 Novembre 2024

@Zoé Florent
Vous m'excuserez, n'est-ce pas ? de ne pas vous lire. J'imagine que vous faites preuve ici de votre sublime HPIsme, et je ne suis pas armée moi-même pour affronter un pareil hurricane. D'un autre côté, je sais me servir d'un dictionnaire et je n'ai nulle utilité d'une guide, aussi ménopausée soit-elle. Quoi qu'il en soit, je vous remercie.

Publié le 22 Novembre 2024

LÂCHER, verbe transitif

Détendre, desserrer quelque chose. Cette corde est trop tendue, lâchez-la un peu. Il faut lâcher ce corset qui est trop serré. Lâcher un cordon, lâcher une courroie. Les cordes de cette harpe se sont lâchées. Dans cette acception, il s'emploie aussi intransitivement pour signifier Se desserrer, se détendre. Prenez garde que la corde ne lâche. En termes de Manège, Lâcher la bride, la main à un cheval, Lui tenir la bride moins courte pour le laisser ou le faire courir. Il signifie figurément Donner à quelqu'un plus de liberté qu'à l'ordinaire. Lâcher la bride à ses passions, S'y abandonner entièrement. À certains jeux de Cartes, Lâcher la main, La laisser aller à un autre, quoiqu'on ait de quoi la lever. Il signifie aussi figurément Céder de ses prétentions, diminuer du prix qu'on demandait d'une chose. Lâcher pied, Reculer, s'enfuir. Il signifie figurément Céder, montrer de la faiblesse. N'allez pas lâcher pied dans cette occasion : tenez ferme.

LÂCHER signifie aussi Laisser aller, laisser échapper. Il tenait cela dans ses mains, il l'a lâché. Lâcher un prisonnier. Lâcher un oiseau. Lâcher sa proie. Lâcher un âne dans un pré. Lâcher prise, Laisser aller ce qu'on tient avec force. Il signifie aussi, figurément, Cesser une poursuite, une dispute, un combat, etc., ou Rendre malgré soi ce qu'on a pris. Lâcher les chiens, Les laisser courir après la bête. Lâcher une laisse de lévriers. À la Chasse du vol, Lâcher l'autour, l'épervier, etc., Le laisser partir. Lâcher des pigeons, Donner l'essor à des pigeons voyageurs. On dit aussi Lâcher un ballon. Substantivement, Un lâcher de pigeons, un lâcher de ballons. Fig. et fam., Lâcher une personne après une autre, sur une autre, La mettre à sa poursuite, pour l'inquiéter, pour la tourmenter, ou pour l'amener à faire quelque chose qu'on désire. Lâcher les huissiers après un débiteur, sur un débiteur, Leur donner charge de faire contre lui des actes de leur ministère. Lâcher la bonde d'un étang, lâcher une écluse, Lever la bonde d'un étang, lever la vanne d'une écluse. On dit aussi dans le même sens Lâcher les eaux. Lâcher le robinet d'une fontaine, Le tourner de manière que l'eau s'échappe. Fam., Lâcher une parole, lâcher un mot, Dire inconsidérément quelque chose qui peut nuire ou déplaire. Lâcher une épigramme contre quelqu'un. Il a lâché une parole qu'il voudrait bien avoir retenue. Je suis fâché de ce que j'ai dit, mais le mot est lâché. Il signifie aussi Dire une chose avec quelque dessein. Il lâcha un mot qui fit une grande impression. Fam., Le grand mot est lâché, Le mot qu'on retenait est enfin échappé. Dans ce sens, LÂCHER s'emploie pronominalement dans le langage familier et signifie Tenir des propos offensants, indiscrets, indécents. Il se repentit de s'être tant lâché devant eux. Se lâcher en propos imprudents, en propos injurieux contre quelqu'un. Fig. et fam., Lâcher la parole, lâcher le mot, Dire le dernier prix qu'on veut avoir ou donner quand on discute les conditions d'un marché, ou Donner son consentement, dans une négociation, après avoir fait quelques difficultés. Le mot est lâché, vous ne pouvez vous en dédire. Lâcher un coup de fusil, un coup de revolver, un coup de canon, Faire partir ces armes, en tirer un coup. Il lui lâcha un coup de fusil dans la tête. Le vaisseau lâcha une bordée. Le participe passé

OUBLIER, verbe transitif

I. − Empl. trans. Perdre, de façon volontaire ou non, définitive ou momentanée, normale ou pathologique, le souvenir d'une personne ou d'une chose.
A. − [Oublier implique un acte plus ou moins involontaire]
1. [Oublier procède d'un défaut de mémoire]
a) Empl. abs. Ne rien garder en mémoire, laisser s'effacer de son souvenir. Oui, madame... Mais une eau délicieuse, l'eau du fleuve Léthé... Oui, c'est pour oublier que je bois, pour oublier la triste condition où je suis tombé!... (Crémieux, Orphée,1858, ii, 2, p.59):
1. Je me suis souvent demandé si tenir un journal n'était pas contraire à cet instinct qui veut que nous oublions, car oublier, c'est s'alléger d'un poids, et le souvenir nous tire en arrière, nous empêche d'avancer. Green, Journal,1943-46, p.28.
b) Oublier qqn/qqc.
− [Le phénomène est individuel]
♦ Ne plus avoir le souvenir de quelqu'un ou de quelque chose. Oublier le temps, le jour où, une date, les événements, une aventure, un visage, cette histoire. Je n'ai pas oublié un mot de notre entretien (Jouy, Hermite,t.4, 1813, p.41). Eh bien! Oubliez-nous, maison, jardin, ombrages! (...) Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas (Hugo, Rayons et ombres,1840, p.1097).J'ai oublié son nom, mais non l'aspect imposant du château tel qu'il a été encore plusieurs années après cette époque (Sand, Hist. vie,t.2, 1855, p.280)…
@Tomoe Gozen Bla, bla, bla...

Publié le 22 Novembre 2024

@Zoé Florent
@Michel CANAL
Chers amis auteurs, je me permets de vous dédier ce texte, car je suis intimement convaincue que, sur ce site de damnés, vous êtes bien les seuls à être à même de goûter la fervente souveraineté de ma prose bénévole, quoique multifonctionnelle. Avec tout mon respect autonome mais sincère.

Publié le 22 Novembre 2024