La Dame blanche, Fée et Fantôme

Chère @Alhéna Skat, je prends le risque d'apporter ce complément sur le sujet. J'emprunte par anticipation, à l'intention des contradicteurs éventuels, la très ancienne devise du roi Édouard III : « Honni soit qui mal y pense ».
J'ai eu, par le passé, l'opportunité de me documenter sur les écrits de Raymond Moody, contemporain né en 1944 aux États-Unis, docteur en philosophie, psychiatre, psychologue et médecin, connu pour ses travaux sur les expériences de "mort imminente" (terme repris du philosophe Français Victor Egger), et de "mort partagée".
Après avoir recueilli pendant plus de vingt ans des témoignages de personnes ayant vécu une expérience de "mort imminente", il a publié trois ouvrages populaires sur le sujet : « La vie après la vie » (1975), « Lumières nouvelles sur la vie après la vie » (1977), et « La Lumière de l'au-delà » (1988).
« La Vie après la vie » traite de la survie de "la conscience" après la mort du corps, de la quinzaine de traits communs décrits, dont les étapes par lesquelles ils sont passé jusqu'à la confrontation avec "l'être de lumière", le "retour sur le panorama kaléidoscopique de leur vie", "l'interrogation" pour rester dans ce "monde parallèle" ou "retourner" dans la vie qu'ils viennent de quitter, "comment témoigner" de cette expérience, les "répercussions sur la conduite future de leur vie", de "nouvelles perspectives sur la mort"…
Avec « l'Expérience de Mort Partagée » (2010), il fait part de témoignages de personnes qui, en assistant au décès d'un proche, ont éprouvé au moment de sa mort des vécus communs, de nature paranormale ou mystique. En particulier, ces personnes vivantes ont fait, par empathie, l'expérience d'une sortie hors du corps, ou ont perçu un flot de lumière claire, ou encore ont vu elles aussi se dérouler le film de vie du mourant (mémoire panoramique).
Vaste sujet, chers Alhéna et Jan ! Amitié ! MC

Chère @Alhéna Skat, je prends le risque d'apporter ce complément sur le sujet. Après tout, j'emprunte à l'intention des contradicteurs éventuels et par anticipation, la très ancienne devise du roi Anglais Édouard III : « Honni soit qui mal y pense ».
J'ai eu, dans un passé déjà lointain, l'opportunité de me documenter sur les écrits de Raymond Moody, contemporain né en 1944 aux États-Unis, docteur en philosophie, psychiatre, écrivain, psychologue et médecin, connu pour ses travaux sur les expériences de "mort imminente" (terme repris du philosophe Français Victor Egger), et de "mort partagée".
Après avoir recueilli pendant plus de vingt ans des témoignages de personnes affirmant avoir vécu une expérience de "mort imminente", il a publié trois ouvrages populaires sur le sujet : « La vie après la vie » (1975), « Lumières nouvelles sur la vie après la vie » (1977) et « La Lumière de l'au-delà » (1988). "La Vie après la vie" traite de la survie de la conscience après la mort du corps, de la quinzaine de traits communs décrits, dont les étapes par lesquelles ils sont passé jusqu'à la confrontation avec "l'être de lumière", le retour sur le panorama kaléidoscopique de leur vie, le choix de rester dans ce monde parallèle ou de retourner dans la vie qu'ils viennent de quitter, comment témoigner de cette expérience, les répercussions sur la conduite de leur vie, de nouvelles perspectives sur la mort…
Avec « l'Expérience de Mort Partagée » (2010), il fait part de témoignages de personnes qui en assistant au décès d'un proche, ont éprouvé au moment de sa mort, des vécus communs, de nature paranormale ou mystique. En particulier, par empathie, ces personnes vivantes font l'expérience d'une sortie hors du corps, ou perçoivent un flot de lumière claire, ou encore voient elles aussi se dérouler le film de vie du mourant (mémoire panoramique).
Vaste sujet, chers Alhéna et Jan ! Amitié ! MC

@Michel CANAL
Cher Michel, je vous remercie une fois de plus pour vos cœurs et pour votre commentaire détaillé.
Je vois que vous avez bien étudié ce phénomène paranormal. Vous avez bien décortiqué le problème et je ne saurais y rajouter quelque chose.
Cet au-delà est un grand mystère qui a intrigué tant de générations et auquel on ne peut apporter de réponse si ce n’est que des suppositions.
Très amicalement,
Alhéna.

Pour une fois, chère @Alhéna Skat, certaines histoires ne me sont pas inconnues. J'avais entendu parler de l'autostoppeuse dans la région de Nîmes (entre Montpellier et Nîmes précisément), et je crois aussi pour celle de Palavas. J'en ai même connu une autre, passée aussi en reportage à la télévision, dans un château celle-là, apparaissant la nuit, fantôme d'une jeune femme ayant vécu dans ce lieu. Tout cela est tellement bizarre, tout cela interpelle, lié aux fantômes qui hantent un lieu lorsque leur mort brutale ne leur a pas permis d'accéder au monde invisible (ce que l'on nomme les âmes en peine), leur âme n'ayant pas pu se détacher de leur enveloppe matérielle. Dans certains cas il a fallu l'intervention d'un médium pour les aider à trouver leur sérénité, à franchir le pas, à se détacher du monde matériel, à rompre avec les personnes mortifiées par un chagrin trop fort. On pourrait parler de mystères, mais en fait pour qui sait, l'explication (à laquelle tout le monde ne croit pas) est que notre "essence", notre âme, survit à la mort de son enveloppe matérielle dans un univers parallèle qui est "le monde invisible". Un monde invisible interconnecté intimement avec le monde visible. Si la religion catholique a opté pour la résurrection finale (ce qui ne serait pas possible tellement il y a eu des milliards de personnes au fil des siècles), d'autres croyances ont une autre approche, plus compréhensible, plus crédible. Pour ce qui me concerne, je rends grâce chaque jour à certaines entités que j'ai connues et qui évoluent désormais dans le monde invisible, ainsi qu'à mon ange gardien. Cette relation est importante, pratiquée aussi par les boudhistes. Je sais que vous partagez cette connaissance, chère Alhéna et cher Jan, qui contribue à notre amitié. MC

@Alain Lamoliatte
Cher Alain, merci pour vos cœurs généreux et pour votre commentaire détaillé.
Décidément, vous êtes bien particulier, vous arrivez à prendre une Dame blanche sur le pare-brise ! Enfin, il vaut mieux que ce soit une chouette ! C’est moins dangereux !
Très amicalement,
Alhéna.