Arrivé à la cinquantaine
Une chose est certaine
Tu commences à te lasser
De tous les hochets
Passablement usés
Qu on te fait désirer
Ni l argent ni la gloire
Ni la sexualité
Ni la quête d identité
Ni les faux espoirs
Ne te font espérer
Ne te font avancer
Alors tu te poses la question
A quoi bon
A quoi bon
Je vais
Avec cet essai
Plutôt philosophique
Un brin mélancolique
T indiquer un chemin
Holzweg incertain
La présence
Le sens d une présence
Entre amis sans façons
Je réponds à la question
A quoi bon
A quoi bon
Ce livre est noté par
@lamish
Je vous rassure,moi aussi, je n'ai jamais été pris au piège des haec tria !
Oui le champ est ici différent, certes moins large, mais aussi plus "mystique", car cette présence est un nouveau rapport à l 'Etre.
Oui, il faut un rapport positif aux autres : "donner plutôt que recevoir ", et dans mes 2 essais j'essaye de donner !
Amicalement
Philippe
@lamish
Chère Michèle, je pense qu’il y a un malentendu.
Entre le Sens d’une présence et Quinze pas, il y a juste une question de nuance : le premier essai est plus dans les teintes de gris, le second, dans les teintes de bleu.
Le lien entre les 2 est logique : pour trouver le bonheur, il faut d’abord explorer un certain désespoir.
Le cœur du malentendu réside, sans doute, dans l’haec tria spinoziste.
Je constate, simplement que c’est l’argent qui l’a emporté sur le plaisir des sens et la gloire, constat repris dans 15 pas.
Je cherche autre chose : le sens d’une présence
Et là mon message est identique dans les 2 essais : une ouverture au monde, la poésie ?
Amicalement. Philippe
Je vous propose, à ,la suite du Sens d'une présence, de faire quelques pas vers le bonheur : http://www.monbestseller.com/manuscrit/6755-quinze-pas-vers-le-bonheur
@Marianne333
Merci, pour votre patience , et ce commentaire subtil et sensible !
Oui, la joie , mais aussi une dérive poétique !!!
Oui, la patience et la curiosité m'ont menée au bout de votre pensée et de votre livre. C'est ainsi aussi qu'on va sur le chemin de la vie... Ne rien attendre, ne rien chercher, une autre éthique de la joie ? ;-)
Cher Yves, je vous remercie pour votre lecture intelligente et attentive !
Je n'ai pas la possibilité de répondre à toutes vos remarques, je me contenterai de quelques précisions.
L 'essai doit beaucoup aux philosophes, j'essaye de donner du sens à des pensées " inactuelles" , juste un chemin, un chemin de traverse.
Ce qui me choque c'est le triomphe de la pornographie , et donc la mort du désir, car c'est cela que je recherche : un désir éternel !
Oui le format est dense , et pourtant , tout n'est pas dit , par exemple sur l' humour :
Humour
Ultime séjour
D une humanité
Blessée
Quand tu souffres à l intérieur
Terreur
Et peur
Le spectateur
Attend
Avidement
Tu vas
Tu dois
Crier
Hurler
Pleurer
Supplier
T effondrer
Demander pitié
Mais à la fin
Il n en est rien
D un ton badin
Avec le sourire
Tu te mets à rire
De ton malheur
Quand vient l heure
De la potence
A l assistance
Tu dis
Quel jour sommes nous
Lundi
La semaine commence bien
Et tu l étreins
Une dernière fois
Ce moi
Qui va mourir
Il va rire
Ce moi
Un rire de défi
Un adieu à la vie
Ton dernier amour
L humour
Humour
Ultime séjour
D une humanité
Blessée
Cordialement
C’est un anti-essai pour nous rendre intelligent mais surtout pour vous rendre intelligent . Les règles de l’essai sont toutes enfreintes. Pas vraiment, parce qu’elles n’existent pas en fait.,cela s'appelle un ESSAI, donc pas de "guide de forme ni de fond".. Amertume de la cinquantaine épuisée par le combat, sans défaite et sans victoire : la rançon des désillusions, comme vous dites, c’est "l’expérience" qui nous rend triste car elle nous rapproche de la mort., Car cette expérience ne vaut que par la transmission.
Argent, sexualité, remords: des définitions revues à l'aulne de votre regard sur les grands philosophes.
Sexualité qui tourne en rond, pornographie itou et qui finit par générer l'ennui. Oui sauf que souvent,on ne sait pas pourquoi tout redémarre à chaque fois comme en quarante, à tous les âges.; et cela ça ne colle pas trop avec ces pensées philosophiques.
J'adore vos propos sur l'identité numérique , c’est moi,mais cette identité numérique est par nature même identique aux autres identités numériques dans une forme (et même un fond : nous sommes tous des hommes) inébranlable. Toutes ces identités sont standardisées donc sans a^me. L'identité est ailleurs , pas fichable, pas lisible.
Et puis d'autres que je déforme :
La présence n'a de sens que par son intensité. Comme c'est vrai, ça l'est aussi pour l'absence.
Le temps détruit les mensonges. C'est pour cela qu'on n'arrive à survivre n'est-ce pas ?.. Bon format pas plus de 50 pages par 50 pages...Un peu dense tout de même..
Merci Lisa!!
Un petit bréviaire d'une philosophie poétique.Sexualité et Argent ne sont pas mal. On monte dans le wagon , puis on part parfois dans le décor. Un exercice de pensée libre, à abandonner puis à reprendre. Pas mal.
Mais la vie m 'est beaucoup!
Et se savoir admiré est un plaisir!^^^^
Commencer par la fin
Chemin incertain
Mais qui peut aider
Celle qui s est égarée
Mince !! Je vais donc faire un effort, et lire à l'envers... Lol
Mes conclusions : Il me paraît opportun de Répondre à ces miliers de mots Par ce simple poème, sans respect des règles, ni des conventions. Libre d'écrire, libre de m'exprimer. Pauvre âme torturée, Rongée par une grande souffrance, Votre chemin est long, laborieux, tortueux Mènera-t-il jusqu'à la lumière ? Je n'en suis pas certaine. Je suis sûre d'une chose, La Présence comme vous l'appelez, A placé en chacun de nous la pensée de l'éternité. Pour le chercher... Et qui cherche (sincèrement) trouve... Chacun est unique (chaque flocon de neige est unique) Même si le système veut nous faire croire le contraire et je vous rejoins sur votre conclusion de la page 46. Bien à vous
(Dommage, l'indentation ne suit pas, tant pis !!)
Désolé pour la typographie.
Dommage, l'essentiel est à la fin!
Je suis surpris , dès le départ le lecteur est prévenu: le voyage se fait avec les philosophes. Je tiens mes promesses. Merci.
Bonjour monsieur le philosophe,
J'ai commencé la lecture, me suis arrêtée à la page 19 (il faut être précis) car j'ai été atteinte du syndrome de l'ennui.
Pourtant, j'ai beaucoup aimé le début, vos poèmes, votre prose... Je m'attendais à ce que ce soit vous qui vous révéliez, mais n'ai vu que des commentaires sur les écrits des philosophes, certes intéressants mais ce n'était pas mon objectif en vous lisant.
Je voulais vous écouter, vous ! Entendre votre avis et non les sempiternelles écrits philosophiques (attention, je ne les dénigre pas)
Du coup, je me suis lassée.
Je ne laisse pas de note, juste un commentaire pour vous encourager.
PS : il y a aussi des fautes de typographie (pas d'espace avant la virgule, une espace après la virgule...) et des coquilles mais je ne vous jetterai pas la pierre.
Courage, car je sens quelque chose de profond et j'aurais bien voulu échanger.
Bien à vous