Annie G
Présentation

Lectrice curieuse

Annie G a noté ces livres

3
Je découvre une nouvelle façon d'écrire, plus expressive et détaillée, plus dense aussi. J'y trouve mon compte,moi qui aime les ambiances tendues, confinées. J'avais d'ailleurs bcp aimé 'Accord perdu'. Vous m'avez conquise avec l'élégance de ces années 60, élégance pourtant si durement jugée alors... Il fallait avoir du courage pour juste être , et vous le relatez parfaitement. Merci pour cela. Annie
Publié le 08 Avril 2025
3
Une courte lecture qui m'a surprise par sa poésie, d'abord, puis par sa sensualité. Le rapport à la nature y est très intense. Je l'ai lu comme un poème, avec presque des vers ryhthmés, presque des rimes. Puis comme un conte ou un rêve, empli de fantasmagorie. Joli style, sans prétention mais soutenu, délicat, avec quelques belles allitérations et autres paraboles. On aimerait vous croiser au détour d'un chemin, pour la paix que vous dégagez. Merci d'avoir partagé cette lecture, parfaite pour mon trajet en train.
Publié le 06 Février 2024
2.4
Petite nouvelle bien agréable qui mériterait, au début du moins, quelques descriptions (paysage, ambiance, senteurs, sons, personnages) pour que ce ne soit pas juste une succession de faits ou d’actions. Une suite serait la bienvenue. ----- Il faudrait apporter quelques corrections et faire une relecture approfondie car je n’ai pas tout relevé : p.1 Je mis un pied à terre et suivit ---- je m’y sentirais bien, ça ne faisait aucun doute ! (futur, plutôt que conditionnel, puisque cela ne fait pas de doute) ---- p.2 + p.3 Ne t’approches pas du phare. (sans s pour l’impératif) ---- P3 passes me voir quand tu veux (impératif sans s) ---- que quoiqu’il arrive, j’irais demain (virgule après que, futur à irai) ---- p.5 Je payai ma bière et sortit, anéantie. ---- passai une nuit blanche, et repartit ---- faire comme s’il ne c’était jamais rien passé. (ne s’était) ---- tomba d’une des pochette, ---- Répétition de « je sortis » « île » « mais »
Publié le 17 Janvier 2023
3
J'ai lu cette nouvelle comme un petit conte philosophique où la relativité de la beauté se cogne à celle de la morale de l'auteur qui assume la description du laid sans jamais le moquer. Exercice moins évident qu'il n'y paraît.
Publié le 17 Janvier 2023
3
Ce que j'aime chez vous, c'est l'ouverture sur la complexité des sentiments, en dehors de toute considération moralisatrice. Vos personnages me touchent autant par leurs faiblesses que par leur élégance. Le docteur Mornais n'est pas tombé de la dernière pluie, et le jeune Germain n'est pas qu'un adorable jeune homme. Il se dégage de ce roman une ambiance un peu étouffée mais feutrée aussi, délicate. On aérerait bien les pièces, et pourtant on voudrait que tout soit confiné ainsi. Ce monde intérieur parait plus riche (et plus tordu) que la mascarade extérieure habituelle.
Publié le 30 Décembre 2022

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