carpov

Et bien ma chère! On en apprend! J'ai lu ta pièce d'une traite, et je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. J'ai trouvé le texte sincère et authentique. Je pensais que tu allais éteindre les lumières à la fin, puis les éclairer à nouveau sans Alex. Je croyais que tu allais montrer Léa face à un miroir. Les thèmes que tu abordes concernent chacun ici. Merci pour ce moment d'auto-analyse profond. Tout en résistance. On voit Léa s'ouvrir comme une fleur un matin de printemps et on s'y attache.

Bonjour, j'ai bien aimé vos nouvelles. Elles sont très bien écrites et explorent toutes le thème proposé. Vous m'avez surpris par des fins que je n'anticipais pas. J'ai noté un ou deux changements de narrateur qui m'ont un peu dérouté. Je les ai trouvé d'abord licencieux pour mes yeux classiques, mais, à bien y penser, ils font de l'effet et sont plutôt bien vus. J'ai moi-même publié un recueil de nouvelles dernièrement, et je me permettrais de vous voler l'idée du sommaire. Passez de bonnes fêtes de fin d'année!

C'est une sorte d'orchestre. Il y a bien sûr le premier violon, mais on y entend aussi le hautbois mélancolique et le tambour des regrets. Chacun joue sa partition de son côté, et participe pourtant à l'harmonie de l'ensemble. La langue est soignée et le projet très bien réalisé. Je suis content d'avoir enfin trouvé le temps de te lire.

C'est bien une éruption. Rose atteint son extase pendant que son grand échalas de mari la contemple. Et du ventre de la terre vous laissez exulter sa fureur. Le retour au calme ne semble pas être la fin. C'est fluide et ça se lit facilement.