@Majead At-Mahel Art'felinat Quelle merveilleuse réussite, encore que je n'aie pas bien vu où virevoltait la poésie dans votre opus, mais c'est sans doute ma faute, je souffre en effet d'une occlusion biliaire qui m'interdit de goûter comme il siérait le chant de la muse et de ses affidés. Quoi qu'il en soit, j'ai beaucoup ri (et le rire n'est-il pas le meilleur antidote à la morosité des jours et à la hausse du prix des topinambours sur le marché de Boulon-en-Vexin, sans parler de la tristesse nauséeuse qui étreint les croque-morts devant les progrès de la médecine ?) ; de fait, je n'avais plus autant rigolé depuis le fameux "Comment vas-tu yau de poêle ?" qui enchanta ma jeunesse (quelque peu débridée, je dois l'avouer, même si ça ne retire rien à l'appétit que j'ai pour les blagues interlopes, voire cryptuaires). Bref, votre ouvrage se situe pour moi entre La Rochefoucauld, Alberto Godivo et Popeye. C'est vous dire toute l'estime que je lui porte. En un mot comme en mille : Bravo !

@Thierry Rucquois En voilà une langue, qu'elle est saisissante et pleine d'agrément ! Votre style est une bien belle chose, où chaque mot pèse son poids de vérité, d'humanité. C'est du grand art, ça, Monsieur.