FANNY DUMOND2

Biographie

Avant tout, passionnée de lecture.

Depuis une dizaine d'années, j'écris chaque semaine des courts sur des propositions originales d'écriture de " l'éveilleur d'idées " Pascal Perrat. Pour en garder traces, je les regroupe pour en faire des recueils : "Cocktail à ma façon" et "Dans le courant de ma plume". Le troisième "Évasion en courts" sera peut-être sur les rayonnages de ma bibliothèque l'an prochain !

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Bonjour@Alexan je vous remercie pour la lecture de votre fable sur nos relations aux autres, bien trop souvent superficielles, et sur le savoir écouter, entendre et comprendre en faisant fi de ceux qui ne comprennent rien, mais savent tout ! Cordialement.
Publié le 05 Juin 2021
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@galodarsac bonjour Léon. J'ai rejoint votre esprit jouasse et j'ai ressenti votre amusement à écrire vos fatrasies malgré le remarquable boulot en coulisses. Faire rire sans moquerie est l'art le plus difficile au monde. J'en aurais bien lu davantage hier soir et j'étais prête à vous laisser mes impressions dès ma lecture terminée, mais... le système est ainsi fait que pour recharger nos accus, nous devons les doser au compte-goutte ! C'est ce j'ai cru comprendre ! Je vous remercie de cette belle lecture. Cordialement.
Publié le 18 Mai 2021
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Bravo à mon écrivain préféré sur ce site ! Pat
Publié le 03 Mai 2021
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@L. Moussard Que de chemin parcouru depuis plus de 5 ans, déjà, par l'écrivain Laurent Moussard lorsque je l'ai découvert ici en lisant "100 raisons d'adorer ou de haïr Jeanne Berto" ; texte qui avait particulièrement retenu mon attention et qui a fait que je l'ai suivi au fil de ses diverses publications qui ne m'ont jamais laissée indemne. Dans son recueil dédié à La Femme, je retrouve le citoyen du monde, l'homme hyper-sensible aux innombrables questionnements, sa quête de l'absolu dans le silence, mais son besoin de dire par l'écriture et surtout le Papa et sa Nina chérie, bouleversants. 5 étoiles plus que dérisoires parce que Laurent, tout comme seulement quelques auteurs/Écrivains sur cette plate-forme, est largement au-dessus de la mêlée. Un avis que j'assume. Amicalement et de gros bisous à Nina. Patricia
Publié le 29 Août 2020
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Bonjour @Ph. De Vos. Nous n’avons pas eu besoin d’une Doloréane ni de bricoler une horloge pour nous rendre là où nous en sommes. Durant les fêtes de fin d’année passées dans l’insouciance et la joie du partage en famille, nous étions loin de nous douter que nous retournerions, lentement mais surement, dans un passé que la plupart d’entre nous n’avons pas connu. L’humain est aveugle et aime se boucher les yeux, les oreilles et se taire. Pourtant, lorsque je voyais les petits chinois masqués, vêtus tels des cosmonautes, asperger de désinfectant toutes surfaces, construire un immense hôpital à la vitesse de l’éclair, j’ai réellement commencé de me poser certaines questions. Retourner dans le passé en visionnant un film est agréable pour notre imagination, puis on se dit qu’ Ouf ! il s’agit d’un conte à dormir debout tant l’histoire est enchevêtrée et compliquée. La nôtre ne l’est pas, elle est d’une simplicité déconcertante. Il était pourtant bien là notre ennemi qui n’a pas un seul neurone pour réfléchir, qui frappe au hasard sans aucune considération de qui est qui et qui se moque dans les grandes largeurs de nos armements sophistiqués et de plus en plus performants pour nous entretuer sans aucun remord. Nous défendons notre bout de gras comme les imbéciles que nous sommes. Lui, il s’en fout de nos possessions que nous n’emmènerons pas dans nos tombes. Nous étions parés contre toute attaque possible et comme cela n’arrive qu’aux autres, nous l’avons ignoré longtemps, trop longtemps ce monstre digne d’un conte à apeurer les enfants. J’aime beaucoup votre parallèle, Philippe, avec les temps obscurs de la Seconde Guerre mondiale. Ne dit-on pas que l’Histoire se répète. Nos soldats partaient au front, insouciants, la fleur au fusil. Mais, il s’est vite avéré qu’il n’avait qu’un fusil, qu’un pantalon, des godillots pour deux, qu’ils subissaient ordres et contrordres des généraux, à la science infuse, planqués dans leurs bureaux à tirer des plans sur la comète. Puis la population a connu les files d’attentes devant les magasins, les tickets de rationnement, les ausweiss, le marché noir, les fortunes faites sur le dos de ceux qui voulaient sauver leur vie, les trafics en tout genre, les vols de biens, la délation entre bons Français, les laissés-pour-compte, l’exode de ceux qui n’en pouvaient plus de se planquer comme des rats dans les caves, la faim, l’angoisse pour les enfants, pour les soldats, pour les résistants ingénieux et anonymes, les informations contradictoires et optimistes que cette guerre, la der des der, serait courte… Oui, le jour de gloire reviendra au chef et tous ceux qui auront contribué à faire fonctionner l’Économie retourneront dans l’anonymat le plus complet et devront encore se battre pour obtenir un peu de reconnaissance. J’ai frissonné en lisant votre dernière phrase : « Et lorsque la fin du couvre-feu retentira, étrangement, à l’inverse de 1945, les cloches de Notre-Dame resteront muettes ». Je vous remercie de cette lecture qui m’a donné l’occasion de vous rejoindre, longuement, mais spontanément ! Et je comprends votre désappointement quant au décalage de votre texte dont la publication a bien tardé ! L’actualité va si vite, comme tout dans nos vies, que votre texte perd un tout petit peu de sa portée plus d’un mois après le début des évènements. Mais l’essentiel est d’avoir participé et bien participé avec votre texte dans lequel j’ai retrouvé votre patte. Bien cordialement. Patricia
Publié le 02 Mai 2020

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