Quel beau roman. Si différent dans l’économie, de ses mots, des sentiments, de l’action. Je me demandais en vous lisant ce que serait le film de ce récit ? Peut-être un film sans parole. Ou sans musique. En tout cas avec beaucoup de silences. Qui réponde justement, comme l’a dit fab, aux évocations que vous donnez à imaginer à vos lecteurs. Un film où la musique c’est le vent et le froid. Un film qui ressemble à la beauté d’un film sur les trappeurs, avec ce côté glacial, fort, ces hommes durs au mal. Et cette femme étonnante que vous décrivez à peine, mais dont on devine les contours. Vraiment un roman qui laisse une trace. Merci pour ce partage.
Publié le 12 Août 2019