Marie Peterburger

@Julien Rochard Je ne suis pas du tout d’accord avec Julien Marsan, qui a certainement de bonnes intentions en vous conseillant, mais à chacun ses goûts. Vos dialogues n’ont nul besoin d’être densifiés ! Tout ce qui est trop cérébral, trop recherché, alourdit le texte, tue la spontanéité et l’émotion communicative ! Je pense que vous avez trouvé le style idéal, transparent comme une vitre. Il ne faut pas que le lecteur s’arrête sur les mots (sauf en matière de poésie). Les mots ne doivent être que des instruments et non une fin en soi. Ils ne doivent que rarement retenir l’attention du lecteur et surtout pas le distraire de son émotion. Bravo pour votre livre, pour votre façon de raconter, bravo pour le tout ! Je vous souhaite une belle carrière !

@Anne.E. Je ne suis qu'à la page 12, mais je ne puis résister à l'envie de vous mettre dès à présent 3 petits cœurs. J'adore votre style tellement simple et en rapport avec le sujet traité. Et, ce qui ne gâche rien, aucune faute d'orthographe ni de syntaxe, de nos jours, un vrai miracle! Aucune entorse au bon langage, qui ne soit volontaire et propre à la langue parlée! Je suis très curieuse de lire la suite et vous remercie très sincèrement pour ce partage. À plus.

@Neven Ce livre enchantera ceux (j’en fais partie) qui ont adoré David Copperfield, Sans famille, le Comte de Monte-Cristo, pour ne citer que quelques exemples, et qui n’ont pas boudé leur plaisir devant Joséphine, ange gardien (en tous cas les plus anciens épisodes, avant essoufflement). L’histoire est parfaitement cohérente, intelligente, et le fait qu’elle soit mélodramatique ne lui enlève rien de son intérêt, au contraire. Il en faut de pareilles pour pouvoir nous évader du quotidien de temps en temps. Le vocabulaire est excellent et évocateur . Le style tient plutôt du langage parlé, d’où sa vivacité, son naturel, sa façon de traduire les émotions. Ce qui suit ne doit pas empêcher le lecteur de se plonger dans ce livre destiné aux adultes qui ont conservé une partie de leur âme d’enfant. Ouvrons une parenthèse. Il s’agit manifestement d’un premier jet qui, étant donné ses qualités, mériterait une bonne relecture par un correcteur sérieux, capable, sans dénaturer le texte, de corriger les fautes de concordance des temps, d’accords, et d’outrages divers à l’orthographe française, sans parler de la ponctuation, tout cela surtout vers la fin, comme si l’auteur était fatigué.) Refermons vite cette parenthèse très amicale envers la sympathique autrice, à laquelle il faut adresser un grand merci pour ce charmant ouvrage.

@Philippe Aquilina Quel magnifique roman ! Pas un mot inutile ! Toute l’importance va à ce qui est dit, avec des mots justes, sans emphase, sans descriptions inutiles ou style ampoulé. Une histoire poignante, racontée avec simplicité et profondeur, une narration riche en rebondissements, extraordinairement vraisemblable et vivante. Bravo et merci pour cet émouvant chef-d’œuvre !

@ Junel Amorin J'ai adoré votre livre à tous points de vue (style, atmosphère...) Un seul petit regret: celui qu'à la fin le méchant ne soit pas puni. Je trouve qu'avec votre talent, vous devriez pouvoir imaginer une fin en ce sens. Merci pour cette lecture d'une rare qualité!