@marie.peterburger. Bonjour, J'ai bien aimé votre roman. Il a l'agréable saveur de ces romans anglais dans lesquels le personnage principal - souvent féminin - doit faire face à une série d'événements dont il n'est pas directement responsable. Vos personnages ont de l'épaisseur, on a l'impression de connaître Georgette depuis longtemps! Belle réussite que ce petit roman. Bravo!
Bonjour Marie,
J'ai commencé à lire votre roman mais comme je viens d'arriver en métropole- après 11 heures d'avion - je n'ai pas terminé. Je le ferai un peu plus tard lorsque je me serai installée. J'ai bien aimé ces quelques premières pages. Il y a quelque chose de désuet dans votre écriture. Elle sort de l'ordinaire et devient vite très attachante. Je vous recontacterai lorsque j'aurai terminé!
@du Cheyron Catherine Un tout grand merci pour avoir saisi l'essentiel de ce livre, et pour l'avoir commenté. Un très cordial merci pour vos cinq étoiles!
La solitude poignante de cette institutrice retraitée est très bien soulevée. Elle est dans une quête affective désespérée et touchante.
Merci pour ce partage.
@ Michèle Lamish Un tout grand merci pour vos cinq étoiles et pour votre appréciation. Je vous suis surtout reconnaissante d’avoir saisi les personnages en profondeur, de ne pas vous être arrêtée au simple fil de l’histoire, ce qu’on nomme le suspens. En ce qui concerne la création de chapitres, vous avez sans doute raison du point de vue éditorial, mais j’y ai renoncé parce qu’il s’agit d’une contrainte qui nuit à la liberté du récit, et qui, à mon sens, ne se justifie que lorsque celui-ci est long, se déroule sur le plan concret plus que sentimental, avec des digressions, des rebondissements. Pour mieux expliquer cela, je serais tentée d’utiliser une comparaison : une histoire d’une traite est par rapport à une histoire découpée en chapitres, un peu comme ce que le cinéma est au théâtre. Au cinéma on peut changer de lieux à volonté, accélérer, ralentir, c’est la liberté totale, tandis qu’au théâtre, il faut respecter un minimum les unités de lieu, de temps, d’action. C’est une difficulté ! En outre, une fois qu’un texte est écrit d’un premier jet, il n’est pas toujours bon de le charcuter. On risque d’en détruire le souffle. T rès amicalement, Marie Peterburger.
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@Paula Pons Un très grand merci pour vos étoiles. J'apprécie tout particulièrement que vous perceviez cette histoire, non pas comme simple, mais comme suggérant la psychologie des personnages. Merci encore de tout coeur!
C’est drôle, c’est fin. Vous avez une manière d’écrire à la fois posée et très alerte. Cela donne du sel à votre intrigue moins simple que vous voulez bien le faire croire. Dans un livre, l’histoire fait un peu démodée, alors que je suis sûre qu’elle ne le serait pas au cinéma. Je vois bien une ou deux actrices jouer Georgette. J’ai passé un bon moment avec elle et je vous en remercie !
@Alix Cordouan Merci beaucoup pour vos 5 étoiles. Je suis ravie que mon récit vous ait plu. J'apprécie énormément que vous ayez surtout accordé de l'importance au ressenti psychologique, aux émotions de mon héroïne. Très amicalement et au plaisir de vous lire. Marie Peterburger
@Marie Peterburger
Bonjour Marie,
J’ai beaucoup aimé votre histoire qui nous entraîne dans le quotidien de Georgette solitaire et attachante.
L’ambiance délicieusement surannée dans laquelle vous nous plongez nous emporte dans un univers dépaysant qui fait, à mon sens, tout l’intérêt de ce texte très plaisant à lire.
Combien de personnes se créent des mondes illusoires pour échapper à leur banale réalité ! Vous l’avez bien dépeint avec votre institutrice . Votre livre est plaisant à lire
@BernadetteL Merci beaucoup pour vos 4 étoiles, et merci d'avoir lu mon livre, mais je suis extrêmement surprise de votre interprétation. Je pense en effet avoir écrit une histoire d'amour et de solitude, où le suspense n'a qu'une importance tout à fait secondaire. A part quelques détails de ci de là, le sujet n'est pas à proprement parler amusant. Quant à la prétendue fable "Tel est pris qui croyait prendre", elle est, d'après moi, sans rapport précis avec le récit. En effet, dans la vie quotidienne comme dans n'importe quelle histoire, il y a toujours quelqu'un qui est pris alors qu'il croyait prendre. Mais votre remarque est instructive: elle montre à quel point chaque lecteur voit un texte avec un regard qui lui est propre. Amicalement, Marie Peterburger.
Comme une chronique policière de Province, une vieille fille amoureuse enquête et pimente sa vie de frissons… Une fable simple et amusante sur le thème de Tel est pris qui croyait prendre
Publié le 10 Février 2021
Marie Peterburger
Biographie
Je suis née en 1939, veuve et retraitée. J'ai toujours voulu écrire mais n'ai pu réaliser ce rêve qu'à partir du moment où...
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@marie.peterburger. Bonjour, J'ai bien aimé votre roman. Il a l'agréable saveur de ces romans anglais dans lesquels le personnage principal - souvent féminin - doit faire face à une série d'événements dont il n'est pas directement responsable. Vos personnages ont de l'épaisseur, on a l'impression de connaître Georgette depuis longtemps! Belle réussite que ce petit roman. Bravo!
@du Cheyron Catherine Un tout grand merci pour avoir saisi l'essentiel de ce livre, et pour l'avoir commenté. Un très cordial merci pour vos cinq étoiles!
@ Michèle Lamish Un tout grand merci pour vos cinq étoiles et pour votre appréciation. Je vous suis surtout reconnaissante d’avoir saisi les personnages en profondeur, de ne pas vous être arrêtée au simple fil de l’histoire, ce qu’on nomme le suspens. En ce qui concerne la création de chapitres, vous avez sans doute raison du point de vue éditorial, mais j’y ai renoncé parce qu’il s’agit d’une contrainte qui nuit à la liberté du récit, et qui, à mon sens, ne se justifie que lorsque celui-ci est long, se déroule sur le plan concret plus que sentimental, avec des digressions, des rebondissements. Pour mieux expliquer cela, je serais tentée d’utiliser une comparaison : une histoire d’une traite est par rapport à une histoire découpée en chapitres, un peu comme ce que le cinéma est au théâtre. Au cinéma on peut changer de lieux à volonté, accélérer, ralentir, c’est la liberté totale, tandis qu’au théâtre, il faut respecter un minimum les unités de lieu, de temps, d’action. C’est une difficulté ! En outre, une fois qu’un texte est écrit d’un premier jet, il n’est pas toujours bon de le charcuter. On risque d’en détruire le souffle. T rès amicalement, Marie Peterburger.
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@Fabyen Merci mille fois pour vos étoiles. Votre commentaire me va droit au coeur. Amitiés.
@Paula Pons Un très grand merci pour vos étoiles. J'apprécie tout particulièrement que vous perceviez cette histoire, non pas comme simple, mais comme suggérant la psychologie des personnages. Merci encore de tout coeur!
@Alix Cordouan Merci beaucoup pour vos 5 étoiles. Je suis ravie que mon récit vous ait plu. J'apprécie énormément que vous ayez surtout accordé de l'importance au ressenti psychologique, aux émotions de mon héroïne. Très amicalement et au plaisir de vous lire. Marie Peterburger
@Zoulou56 Un grand merci d'avoir consacré votre attention à la psychologie de mon héroïne! Très amicalement, Marie Peterburger.
@BernadetteL Merci beaucoup pour vos 4 étoiles, et merci d'avoir lu mon livre, mais je suis extrêmement surprise de votre interprétation. Je pense en effet avoir écrit une histoire d'amour et de solitude, où le suspense n'a qu'une importance tout à fait secondaire. A part quelques détails de ci de là, le sujet n'est pas à proprement parler amusant. Quant à la prétendue fable "Tel est pris qui croyait prendre", elle est, d'après moi, sans rapport précis avec le récit. En effet, dans la vie quotidienne comme dans n'importe quelle histoire, il y a toujours quelqu'un qui est pris alors qu'il croyait prendre. Mais votre remarque est instructive: elle montre à quel point chaque lecteur voit un texte avec un regard qui lui est propre. Amicalement, Marie Peterburger.