Mary COUSIN

Biographie

Mary COUSIN a noté ces livres

2.4
Ce n’est pas un roman mais un bien beau témoignage que vous nous rapportez là. C'est dit avec simplicité, vérité et beaucoup d’émotion. On perçoit votre amour de la montagne à chaque page et vous savez très bien nous rapporter les émotions qui vous habitent. Merci de votre partage.
Publié le 29 Février 2016
2.4
C'est vraiment un poignant témoignage que vous nous rapportez et j'espère que l'écriture contribuera à vous apporter une part de réconfort. C'est dit avec simplicité et sans malice. On perçoit votre âme d'enfant dans cette retranscription de vos mémoires encore visuelles qui gagnerait à être écrit justement comme des mémoires ou un journal, au présent, en partant de votre naissance pour nous faire découvrir votre ressenti vis-à-vis de la perte de vision et l’évolution de la maladie au fur et à mesure des années et donner du corps et de l’intérêt au récit, car on sait que la perte de vision augmente justement la perception sensoriel de l’environnement. Ce n’est jamais que mon point de vue et vous n’êtes pas obligé d’en tenir compte, car je ne suis pas forcément la mieux placée pour vous conseiller même si j’ai une petite idée de ce que vous vivez puisque je suis née avec une grosse myopie qui n’a fait que s’aggraver au cours des années jusqu’à ce qu’une cataracte précoce s’en mêle et que je subisse une opération chirurgicale avec implant ! Depuis je n’ai jamais si bien vu. Alors j'espère qu'un jour, on arrivera à vous soigner Cordialement
Publié le 26 Février 2016
3
« Si tu t’appelles Mélancolie » nous chantait tristement Joe Dassin, vous, Lucige, vous en parlait simplement, mais avec une grande sensibilité. Ce joli mot qui vient du grec melas kholé, signifiant « bile noire », a pris au fil des siècles, différentes significations pour cacher son côté maladif, dissimulant ainsi la forme la plus grave d’une dépression où risquent de se multiplier idées suicidaires et passages à l’acte. Pour ne citer qu’eux : Le roi Charles VI qu’on surnomma « le fol » en souffrait, de même que Baudelaire où Van Gogh. Votre récit est un magnifique et poignant témoignage de la difficulté à reconnaître l’état du patient pour ses proches et d’en subir avec lui les conséquences. Bravo pour votre courage et votre partage.
Publié le 25 Février 2016
3
Votre style est clair et agréable, il y a de l'humour et de la joie de vivre à toutes les pages.J'ai aimé la poésie que vous mettez dans vos descriptions de cette belle région et de la vie de ses habitants. Vos mots sont directs, chantants, agrémentés des accents de ce patois qui fleure bon la vie rude des paysans aveyronnais tel celui de votre personnages vrais et attachant qu’est Charlou. Il m'est arrivé de passer des vacances dans le Massif Central et j’ai eu l'impression d’y revenir en vous lisant ! Bravo
Publié le 24 Février 2016
3
Un vrai casse-tête pour les méninges, ce jeu diabolique ! Une enquête angoissante, pleine de rebondissements que ce voyage dans le temps, sans fin, où Steven tourne en rond et revit inlassablement la même journée. L'auteur brouille les pistes et embrume nos esprits. Vous avez l’art de rendre les personnages confus, manipulables et on est curieux de savoir comment ils vont s'en sortir. Pas le temps de s'ennuyer avec votre récit, car dès les premières pages, on est pris au piège infernal de ce cercle vicieux à y perdre son latin. Votre plume est fluide et pleine de poésie. J’ai aimé le concept et l’écriture. Bravo
Publié le 24 Février 2016

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